Cela fait un an que l’actualité est dominée, sinon monopolisée par « la » pandémie du Covid 19. Une véritable mise en condition de la population française au moyen de cette « peur structurante » dont parle Attali. Avec accompagnement d’un « n’importe quoi » gouvernemental. Remémorons-nous : après qu’Oliver Véran nous a assuré, le 24 février 2020 que « la France ne comptait … plus aucun malade infecté par le coronavirus », voilà que deux semaines plus tard, tous les Français étaient incarcérés à domicile pour tenter de bloquer la déferlante covidienne qui submergeait la France !
La raison ? Tout simplement l’impréparation du régime à toute crise sanitaire d’importance ou réputée telle, l’absence de masques que l’inénarrable Sibeth Ndiaye nous disait inutiles … avant que leur port ne devienne obligatoire sous peine d’amendes de 135 euros ! Des masques qui sont des muselières à streptocoques et autres bactéries … que les piétons doivent porter, à la différence des coureurs à pied ! Mais arrêtons là cet inventaire à la Prévert des mesures gouvernementales – tel ce couvre-feu laissant suggérer que le virus commence à circuler après 18 heures – et qui suffisent à discréditer la politicaille régimiste.
Plus gravement, tout se passe comme si le pouvoir interdisait aux Français de se soigner contre le Covid 19. En effet, pourquoi a-t-il interdit de fait l’hydroxychloroquine, les traitements combinés à l’azytromicine, ignoré l’’ivermectine, et conseillé aux médecins – privés du droit médical de libre prescription – de renvoyer les gens infectés chez eux avec du Doliprane pour toute médication, en attendant qu’ils appellent le SAMU, tandis que l’on sabotait les expérimentations de ces traitements comme l’a montré le scandale de la revue Nature à propos de la chloroquine ?
Ces mesures liberticides ont pour effet immédiat d’inciter les Français à se laisser mener à la vaccination de masse pour le plus grand bénéfice du « Big Pharma ». Or cette vaccination pose problème : parmi les vaccins actuellement retenus, Pfizer et Moderna ne sont pas des vaccins à proprement parler puisqu’ils ne sont pas « traditionnels », de source microbienne (comme le vaccin chinois ou le Spoutnik) mais à base d’ARN messager et sont autorisés à titre temporaires, la période d’essai se terminant le 31 janvier 2023. Cela pose deux problèmes : tout se passe de fait comme si une expérimentation grandeur nature était effectuée sur toute une population, avec les risques inhérents ; ensuite, lorsque l’on injecte ces produits à base d’ARN, le corps ne sait pas qu’il a été infecté ; pendant une semaine le produit va évoluer dans le corps sans être reconnu, créant une période de fragilité pouvant provoquer des effets pervers. Cette technique relève du transhumanisme, ce qui revient à nous modifier génétiquement. L’affaire est très grave car ces modifications sont irréversibles et personne ne sait quels effets il en résultera. Déjà, on a enregistré des décès suite à l’injection de ces produits et la liste des effets secondaires s’aligne au point que le remède prévu peut devenir plus dangereux que la maladie elle-même, étant entendu qu’à l’instar du virus de la grippe, il mute sous forme de « variants » mettant en cause son efficacité.
Quant au vaccin Astra Zeneca, il est fabriqué à partir d’un Adénovirus de chimpanzé recombiné avec de la protéine de Sars-Cov-2 mis en culture dans des cellules de reins d’embryons humains eux-mêmes recombinés. Outre d’autres effets secondaires, nous touchons là un aspect particulièrement grave de cette opération, car ces vaccins utilisent des lignées cellulaires HEK 293 produites à partir des cellules embryonnaires humaines fœtales normales de rein. Autrement dit, elles proviennent d’embryons humains, avortés, ce qui pose le grave problème d’une sorte d’anthropophagie médicale. Comment une civilisation peut-elle exister sainement en tuant des êtres en devenir pour soigner des êtres devenus ? Cela pose le problème de la barbarie de notre époque.
Mais ces sujets n’entrent pas dans les préoccupations de politiciens qui, avec leur loi Bioéthique, autorisent l’avortement jusqu’à 9 mois, autrement dit l’infanticide, et la fabrication de chimères.
Ce n’est pas tout. Dans l’actuelle course au vaccin, n’est-il pas inquiétant, dans un contexte où les questions morales sont inconnues, de constater l’absence de la France ? Il nous est dit que les laboratoires français, Pasteur et Sanofi, recherchaient un vaccin sur la filière vaccinale classique et n’ont pas abouti. Certes. Mais Cécil Czerkinsky, directeur de recherche à l’Inserm, déplore le manque de moyens, des fonds trop limités ayant été débloqués tardivement. Plus gravement, la recherche vaccinale française est sous-développée, ajoute-t-il : « On a les bras, on a la volonté, on a du savoir-faire. Il faudrait capitaliser là-dessus, simplifier tout ce qui est tampon et signature. Il faut être vraiment plus réactif, encourager les partenariats. Ce n’est pas un échec, mais c’est un retard de la recherche française ».
Retard ? Cela peut arriver. Le problème est que la France « décroche » un peu partout. Non pas que les Français deviennent idiots, loin de là ; mais depuis au moins une quarantaine d’année, l’oligarchie régimiste n’a cessé de travailler contre l’industrie française et la puissance de la France.
Les entreprises préfèrent verser des dividendes aux actionnaires plutôt qu’investir, obérant l’avenir de l’économie française. Les entreprises du CAC 40 continuent de s’enrichir tout en détruisant notre économie. Elles ont perçu plus de 525 Mds d’euros de dividendes et de rachats d’actions entre 2009 et 2019. A l’opposé, les 4/5 des bassins d’emplois français ont perdu des emplois industriels.
La désindustrialisation de la France n’a jamais cessé au point que notre industrie compte pour 10% du PIB contre plus de 22 % voici quarante ans. Nos filières nucléaires sont largement démantelées, tandis que Macron, au nom d’une prétendue souveraineté européenne qui n’existe pas, en vient maintenant à placer de fait sous contrôle allemand notre aéronautique militaire.
La crise du Covid, – stupidement ou volontairement ? – entretenue par Macron et consorts va aggraver le mal. Parmi les milliers de commerçants, restaurateurs, cafetiers contraints à la fermeture, combien vont éviter la faillite, et « charitablement » rachetés à bas prix par quelque société commerciale ?
La France est en cours de paupérisation et de régression. Un indice ? Selon un sondage BVA pour la Fondation April de 2018, 7 Français sur 10 renoncent à se soigner pour des raisons financières, l’impossibilité de trouver un médecin ou des délais d’attente trop longs, la France ayant 3,2 médecins pour 1000 habitants, l’Allemagne, 4,2, la Suède, l’Autriche, la Russie, plus de 5, Cuba, 8,2. D’ailleurs cela n’a-t-il pas été une honte d’être obligé de recevoir l’aide de médecins chinois, russes, cubains, vietnamiens ?
Pour redresser la seule économie, les solutions existent. Elles consistent à mener une politique d’intérêt national qui, à défaut de quitter l’U.E. avec fracas, remette Bruxelles à sa place et tienne un discours de fermeté à l’égard de nos voisins qui profitent comme actuellement l’Allemagne de l’effacement de la France, le tout passant par la maîtrise monétaire avec le rétablissement des avances de la Banque de France au Trésor, n’en déplaise aux maastrichiens, une politique industrielle privilégiant les investissements productifs, le rétablissement d’une instruction de qualité.
Cette politique, les nationalistes ne sont pas les seuls à la préconiser. Mais elle ne sera qu’un feu de paille si elle ne s’accompagne pas d’une remise en ordre intérieure, avec une politique sans concession contre l’invasion migratoire et ses métastases multiples. Pour cela, il faut mettre fin au pouvoir des minorités qui dictent leur loi au sein de leur Ve République, tels le CRIF, les loges, les LGBT et autres sectateurs antiracistes et droit de l’hommistes. Cela, actuellement, les nationalistes sont les seuls à le dire. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils sont réprimés sévèrement par un régime qui, en dépit des apparences, se sent plus fragile que jamais.