Hommage aux rats noirs d’antan et d’aujourd’hui
Nous sommes jeunes, tristes, et nous vivons d’espoir,
Nous marchons dans de grands manteaux d’officier noirs,
Nostalgiques d’un temps que nous n’avons connu…
Nous nous demandons : « Mais qu’est-il advenu ? »
« Nous relèverons-nous ? Combattrons nous en vain ? »…
Personne ne répond… Peut-être est-ce la fin.
Nous rêvons de grandeur, du pays de nos pères,
Nous rêvons de nos villages et de nos terres,
Nous rêvons de nos églises, de nos cités,
Nous rêvons d’antan, d’honneur et de fierté.
Mais nous voyons s’effondrer le monde avili…
Tout semble dépravé, livré à la folie.
Nous marchons dans nos grands manteaux d’officier noirs,
Nous discourons des heures quand s’en vient le soir…
Aux cafés nous lisons des journaux interdits,
On nous donne partout des surnoms de bandits,
Et ça nous plaît. Nous allons, dans nos manteaux noirs,
Mains, lames et croix, unies dans le fond des poches,
L’air facho, l’air soldat, peut-être l’air fantoche…
Nous rêvons de révolutions, de lendemains,
De panache, de hauts faits, d’empire romain,
De chevalerie, d’étendards et d’idées nobles,
Nous rêvons de nos campagnes, de nos vignobles,
Nous rêvons de reconquérir notre héritage,
De reprendre notre pays, notre apanage…
Nous marchons, dans nos grands manteaux d’officiers noirs,
Mains, lames et croix, unies dans le fond des poches…
Merci infiniment pour ce superbe rappel.
Leur rendre ce bel hommage en ait tout a fait normal ..il manque à l’heure actuelle des gens de cette trempe , comme en ce temps ou fût jadis l’Ordre Nouveau ou l’Oeuvre Française..!
Bonjour.
Merci pour cet hommage .
Nous ne lacherons rien quand même.
GUD et Troisieme voie.
CB
Ce que les gauchistes se prenaient dans la tronche. Nous les tenions en resoect même à Toulouse (c’est dire), à 1 contre 10.
Quelle école de la camaraderie et du courage !
Aujourd’hui, l’ anarchie ! Demain l’Ordre Nouveau !
« Ni à droite, ni à gauche, mais en dehors et au-dessus ! »
Pierre Drieu La Rochelle.
Que de souvenirs Jack !
Assas était notre bastion et, avant O.N, nous tenions Paris avec moins de 400 de nos camarades grâce à notre excellente dialectique : celle du manche de pioche, arme fatale contre la gangrène gauchiste.
Salut à toi « Bonne soupe », aux frères Vanden.., à Jean-Luc, à « petit Robert », à « Pelle U.S » et à tant d’autres combattants, réels nationalistes défrichant le terrain pour O.N, puis le FN et le PFN.
Pas de nostalgie ni de remords, le combat continue encore et encore, car la Flamme brûle toujours au fond de notre cœur et nous combattrons férocement le petit gnome sioniste que certains nous présentent aujourd’hui comme un « homme providentiel » !