Le 5 juin à 8 heures du matin, une équipe de policiers anglais a pénétré chez Simon Sheppard à Hull, dans le Yorkshire. Après son arrestation, une seconde équipe a fouillé son appartement et volé divers objets, notamment ses deux ordinateurs et des livres. Il a été contraint de payer une caution pour être libéré et son matériel n’a pas été rendu. Il est soupçonné de distribution « de matériel raciste », une qualification qui peut recouvrir de nombreux crimes contre la pensée dans ce pays, depuis les revendications nationalistes jusqu’aux études révisionnistes. Il aurait été dénoncé après avoir été vu à un bureau de poste préparant un colis avec un livre sur Anne Franck.
La justice dispose de trois mois pour décider d’éventuelles poursuites.
Il n’existe pas en Grande-Bretagne de loi spécifique contre le révisionnisme. La distribution de matériel « raciste » relève de l’article 19 de la Loi sur l’Ordre public de 1986. Les personnes poursuivies encourent jusqu’à 7 années de prison.
Âgé de 57 ans, Simon Sheppard a déjà passé plusieurs années de prison, après trois précédents procès. En 1995, cet ingénieur du son a été condamné aux Pays-Bas pour avoir remis en cause la version officielle de la Seconde Guerre mondiale imposée par les occupants de l’Europe depuis 1945. En 1999 et 2000, c’est dans son pays qu’il a été jugé, avec David Hannam, pour « incitation à la haine raciale », une accusation utilisée par le système contre ceux qui défendent leurs peuples contre les invasions, durant une campagne électorale avec le Parti national britannique (BNP, British National Party) – duquel il fut alors exclu.
Face à de nouvelles menaces en 2008, il avait quitté le pays avec son associé Steven Whittle, également accusé. Alors que leur site est hébergé aux États-Unis, ils furent arrêtés dans ce pays, qui leur refusa l’asile politique. Après trois mois de prison aux États-Unis, ils furent déportés vers l’Angleterre où ils furent immédiatement incarcérés et jugés. Simon Sheppard écopa de quatre ans et dix mois de prison, une peine par la suite réduite à trois ans. Le représentant de la police d’Humberside pour le procès, un nommé Adil Khan, se félicita d’une aussi lourde peine et qualifia la sentence de « révolutionnaire ».
Libéré en 2011, Simon Sheppard a été incarcéré à nouveau en 2013 durant trois mois pour avoir violé les conditions de sa libération conditionnelle ; il fut emprisonné à la prison de Northallerton.
Après avoir obtenu un diplôme universitaire en mathématique, il est devenu écrivain et éditeur indépendant, publiant ses livres dans sa propre maison d’édition, Heretical Press. Il possède un site, heretical.com, où sont diffusés des articles – certains en français – révisionnistes, contre le génocide des Blancs – il aborde la question dans un sens darwiniste social –, dénonçant le féminisme, le multiculturalisme, etc. Outre ses propres écrits, différents auteurs, comme Steven Whittle (Luc O’Farrell), Carlos Porter, Udo Walendy, Kenneth McKillian ou Robert Faurisson.
Le 5 juin à 8 heures du matin, une équipe de policiers anglais a pénétré chez Simon Sheppard à Hull, dans le Yorkshire. Après son arrestation, une seconde équipe a fouillé son appartement et volé divers objets, notamment ses deux ordinateurs et des livres. Il a été contraint de payer une caution pour être libéré et son matériel n’a pas été rendu. Il est soupçonné de distribution « de matériel raciste », une qualification qui peut recouvrir de nombreux crimes contre la pensée dans ce pays, depuis les revendications nationalistes jusqu’aux études révisionnistes. Il aurait été dénoncé après avoir été vu à un bureau de poste préparant un colis avec un livre sur Anne Franck.
La justice dispose de trois mois pour décider d’éventuelles poursuites.
Il n’existe pas en Grande-Bretagne de loi spécifique contre le révisionnisme. La distribution de matériel « raciste » relève de l’article 19 de la Loi sur l’Ordre public de 1986. Les personnes poursuivies encourent jusqu’à 7 années de prison.
Âgé de 57 ans, Simon Sheppard a déjà passé plusieurs années de prison, après trois précédents procès. En 1995, cet ingénieur du son a été condamné aux Pays-Bas pour avoir remis en cause la version officielle de la Seconde Guerre mondiale imposée par les occupants de l’Europe depuis 1945. En 1999 et 2000, c’est dans son pays qu’il a été jugé, avec David Hannam, pour « incitation à la haine raciale », une accusation utilisée par le système contre ceux qui défendent leurs peuples contre les invasions, durant une campagne électorale avec le Parti national britannique (BNP, British National Party) – duquel il fut alors exclu.
Face à de nouvelles menaces en 2008, il avait quitté le pays avec son associé Steven Whittle, également accusé. Alors que leur site est hébergé aux États-Unis, ils furent arrêtés dans ce pays, qui leur refusa l’asile politique. Après trois mois de prison aux États-Unis, ils furent déportés vers l’Angleterre où ils furent immédiatement incarcérés et jugés. Simon Sheppard écopa de quatre ans et dix mois de prison, une peine par la suite réduite à trois ans. Le représentant de la police d’Humberside pour le procès, un nommé Adil Khan, se félicita d’une aussi lourde peine et qualifia la sentence de « révolutionnaire ».
Libéré en 2011, Simon Sheppard a été incarcéré à nouveau en 2013 durant trois mois pour avoir violé les conditions de sa libération conditionnelle ; il fut emprisonné à la prison de Northallerton.
Après avoir obtenu un diplôme universitaire en mathématique, il est devenu écrivain et éditeur indépendant, publiant ses livres dans sa propre maison d’édition, Heretical Press. Il possède un site, heretical.com, où sont diffusés des articles – certains en français – révisionnistes, contre le génocide des Blancs – il aborde la question dans un sens darwiniste social –, dénonçant le féminisme, le multiculturalisme, etc. Outre ses propres écrits, différents auteurs, comme Steven Whittle (Luc O’Farrell), Carlos Porter, Udo Walendy, Kenneth McKillian ou Robert Faurisson.
Une atteinte de plus à la liberté de penser. Le mondialisme est réellement l’idéologie la plus totalitaire qui soit, sur la planète Terre. Soutien à M. Sheppard.