Savoir d’où l’on vient vraiment : voilà ce que nous devons nous appliquer à faire, pour résister aux mensonges et aux idéologies. Si l’esprit se souvient, le peuple se maintient. Alors quelles sont les origines des Européens, existe-t-il des Européens de souche ?
Source : la chaine vidéo de Thaïs d’Escufon
Tous ça c’est de la théorie gauchissante qui disent et rabâchent sans cesse ,que les blancs de souche n’existe pas et viennent majoritairement d’Afrique , or que nous venons d’Europe centrale !Notre pays comme on le sait pertinemment s’est enrichie de migrants venus d’Europe ( Celtes , Nordiques ..) ces gens qui en sont venus furent avant tout Européen , et nous avions puiser ces racines !..Par la suite viennent les Romains, Mérovingiens, les francs ,les Gaulois ..qui est devenue par la suite la France par Clovis ..! Ces salopards de l’éducation nationale ont tout fait pour déformé et le mettre à leur sauce nos racines , coutumes , religion auprès de leurs élèves ..mais on sait très bien que leur mensonge ne tient pas à un fil !
Au soir de toute une vie dédiée au militantisme politique, je ne puis que considérer que les diverses vidéos animées par Thaïs d’Escufon expriment la quintessence de l’intelligence en géopolitique.
Et je ne m’étonne pas de constater à quel point les patriotes les plus éminents de notre temps convergent dans l’analyse de ce qui est essentiel : la continuité du substratum biologique des peuples.
Quand Thaïs d’Escufon nous affirme qu’un peuple peut se relever de tout, sauf de sa disparition biologique, je crois entendre, par exemple, le général le plus prestigieux de la seconde moitié du XXème siècle, Marcel Bigeard, m’affirmer : « La seule défaite dont un peuple ne se relève jamais est la défaite des maternités ! Quand des étrangers polygames font chez nous, à nos frais, de six à huit enfants, contre un et demi par couple français de souche, nous assistons à la fin de notre monde »
Ce qui rejoint en somme cette sentence définitive d’un des hommes politiques les plus puissants du siècle précédent, Benjamin Disraëli : » La race est tout. Il n’y a pas d’autre vérité. Et toute nation qui abandonne son sang à des mélanges est destinée à périr »…
Force est de constater que, si les Européens de souche existent, ils sont aujourd’hui portés au suicide racial. Cette propension au suicide est selon moi le résultat d’un sabordage culturel et religieux, qui a permis l’installation d’un virus dans le logiciel collectif. La première cible de ce virus a été la conception des rapports entre hommes et femmes. L’homme et la femme ont été institués en rivaux, incitant ainsi la femme à vouloir jouer le même rôle que l’homme dans la société, et à négliger ses fonctions propres.
Restaurer la conception traditionnelle et naturelle des rapports homme-femme est selon moi la clé de la restauration d’une identité collective forte. Cela suppose en particulier une restauration religieuse, et pas la simple exaltation des racines chrétiennes. Que celui qui se prétend héritier de valeurs religieuses chrétiennes régénère son lien avec Dieu. Qu’il renie la tromperie religieuse de l’Église catholique officielle et sache distinguer la vérité du mensonge. Que l’homme revendique sa place de chef de famille et la femme un statut de mère et de garante de la paix du foyer.
Moyennant l’application de ces principes, la question de l’identité ne se posera plus, car elle sera liée à des principes sains. Et si nos concitoyens préfèrent persister dans la voie qu’ils ont acceptée progressivement depuis la révolution, qu’ils cessent de pleurer sur une identité révolue et acceptent leur dégénérescence, car elle est loin d’être achevée.
C’est valable aussi pour les autres nations.
J’ai beaucoup goûté cette vidéo de cette jeune, charmante, allègre et courageuse aristocrate toulousaine, nous avons ici le meilleur du sud-ouest et de la France tout simplement, de ses élites historiques du moins, tout le contraire des bons à rien incultes (l’ENA et « science po » ne sont absolument pas des garanties de culture) et des ploucs qui nous gouvernent aujourd’hui, sans aucune conscience de nos héritages (ce qui explique leur prurit de destruction) : la haute culture et le bon goût de l’ancienne aristocratie sénatoriale gallo-romaine (Rutilius Namatianus, Ausone, Sulpice Sévère) mélangée à l’énergie et au caractère germanique et wisigoth (Alaric, Athaulf, Wallia). Ce qu’elle dit est juste, les Européens de l’ouest possèdent les trois composantes génétiques qu’elle mentionne, les pays du nord de l’Europe possèdent simplement plus d’ADN steppique (indo-européen) et les pays du sud plus d’ADN néolithique (agriculteur anatolien). Je viens d’achever un très gros numéro des Ecrits de Paris sur l’histoire du peuplement de l’Europe de l’Ouest où j’explique moi-même cette ethnogenèse. Je convoque l’archéologie au premier chef, la paléoanthropologie, la linguistique, la paléogénétique, la mythologie comparée, les études indo-européennes et l’histoire. Je commence depuis le début, l’apparition de l’homme, non pas Homo sapiens, mais Homo ergaster il y a deux millions d’années. Tous ces disciplines ont concouru, je l’espère, à l’élucidation de l’objet d’étude que je me suis proposé de scruter. Ce numéro en deux tomes sans doute, devrait sortir dans quelques mois.
En revanche la probité intellectuelle nous enjoint d’agréer les décrets de la science, que ceux-ci nous plaisent ou non. Beaucoup d’imposteurs se répandent derechef en inepties ici encore pour prouver je ne sais quoi. La théorie hors d’Afrique dite « out of Africa » est vraie, il faut le reconnaître. La génétique des populations qui a fait d’énormes progrès depuis deux lustres l’atteste. Ici s’opposent en fait deux théories sur les origines de l’homme moderne, l’une susmentionnée hors d’Afrique, monogéniste, que l’on appelle aussi l’ Arche de Noé et celle polygéniste, multirégionaliste dite aussi du candélabre. La théorie hors d’Afrique fait remonter toutes les populations actuelles à une seule population originelle, le plus souvent africaine. Puis à un certain stade de son évolution, cette lignée d’hommes modernes aurait quitté son berceau pour se répartir sur l’ensemble de l’Eurasie et du monde ensuite. Le second modèle admet que les populations actuelles sont issues de différentes lignées d’hommes archaïques, qui remontent à plusieurs centaines de milliers d’années et qui auraient évolué chacune dans leur propre région. Mais ces humanités anciennes étaient sorties quand même d’Afrique, mais il y a beaucoup plus longtemps, Homo ergaster (-2 millions d’années) qui a donné homo erectus en Asie, Homo antecessor en Espagne (-800000) sur le gisement d’Atapuerca à côté de Burgos, Homo heidelbergensis (-600000, l’homme de Mauer, l’homme de Tautavel) duquel a dérivé Néandertal vers -350000, venaient d’Afrique aussi. Entre ces deux schémas évolutifs, on rencontre des hypothèses intermédiaires, ce sont des modèles dit réticulés.
Pour le cas de l’origine de notre humanité, on peut dire que nous avons un modèle réticulé, mais qui valide la théorie d’Afrique. Il est constant que notre humanité actuelle vient complètement d’Homo sapiens sorti d’Afrique vers -100000 et qui est arrivé en Europe vers -40000, la culture archéologique de l’aurignacien témoignant de son arrivée. Ce que la paléogénétique a prouvé, mais la paléontologie humaine l’avait trouvé aussi avant, c’est qu’Homo sapiens s’est métissé à la marge avec Néandertal, l’homme préhistorique européen autochtone en quelque sorte, présent ici depuis 350000 ans. Tous les Eurasiens actuels ont entre 2 et 4% d’ADN néandertalien, ce que n’ont pas les Africains.
David Reich parle dans son ouvrage présenté par Thaïs d’Escufon de « théorie essentiellement hors d’Afrique » dans la mesure où Neandertal a participé à la genèse de notre humanité actuelle.
Je ne vois pas où est le problème ensuite. Quand Homo sapiens est arrivé en Eurasie, il était certes noir, mais il s’est vite dépigmenté à certains endroits, notamment dans les latitudes les plus septentrionales. Le manque de soleil a procuré un avantage évolutif à ceux qui avaient des peaux plus claires et partant pouvant mieux synthétiser la vitamine D. Nos trois races sont nées ici simplement. Que l’humanité soit une n’empêche pas qu’elle se soit différenciée ensuite sur 40000 ans, la difficulté est de savoir quand cette dépigmentation est intervenue: pendant le dernier maximum glaciaire en -20000 au solutréen ou au mésolithique à partir de -9000. Il faut lire absolument l’ouvrage de Philipp Rushton, « Race, évolution et comportement », dont la publicité a été faite sur ce site en février ou mars 2021 par Jonas. Vous pouvez l’acquérir chez notre cher ami Jean Plantin et sa belle maison d’édition Akribeia. Rushton est un psychologue canadien reconnu. Son génie est d’avoir appliqué le modèle évolutif r-K trouvé par le biologiste et entomologiste E. O Wilson (il est mort récemment, la revue élément dans sa dernière livraison lui consacre un article) aux humains. Rushton est loin d’être un gauchiste cosmopolite, il fut ostracisé par le monde universitaire et eut quelques problèmes avec l’institution. Rushton en scientifique honnête valide bien entendu la théorie hors d’Afrique, tout en insistant ensuite sur la différenciation darwinienne de l’humanité en trois races avec des caractéristiques physiques, et comportementales surtout, très accusées qu’on leur connait. Nos Indo-Européens avaient donc aussi des ancêtres chasseurs-cueilleurs Homo sapiens, ils viennent en fait d’un mélange entre chasseurs-cueilleurs orientaux et chasseurs-cueilleurs caucasiens. Leur dépigmentation et la formation de leur caractère pugnace et belliqueux a dû intervenir dans les latitudes septentrionales de l’Eurasie ou plus bas dans les steppes pontiques du sud de la Russie, la dernière région de la communauté indo-européenne commune avant la dispersion. Pour toutes ces questions sur la paléogénétique en langue française, hormis David Reich et son bel ouvrage susmentionné traduit en français récemment, je vous recommande aussi le beau numéro de Nouvelle Ecole n° 68, année 2018, numéro intitulé « palégénétique des Indo-Européens ».
Bravo à Thaïs pour sa vidéo, ainsi qu’à JN pour l’avoir retransmise.