Une école anglaise a caché le violent racisme antiblanc que les Pakistanais y faisaient régner, recourant même à l’inversion accusatoire et protégeant ostensiblement les Pakistanais alors qu’ils étaient responsables de comportements criminels, du harcèlement aux attaques très violentes.
La justice d’occupation britannique a blanchi l’école et infligé de simples peines de prison à quelques-uns des autoproclamés « envahisseurs d’Asie » pour leur participation à une agression à 13 contre un jeune Anglais qui en garde des séquelles cérébrales. Il n’avait alors que 15 ans et avait été laissé pour mort par les criminels étrangers.
Le lecteur pourra noter l’expression « racisme inversé » (des Pakistanais contre les Blancs) digne d’Orwell, comme si le racisme était obligatoirement le fait de Blancs contre des « minorités ».
Ci-dessous un extrait du Daily Mail.
Un cas de « racisme inversé » [sic] a été dissimulé, les enseignants fermant les yeux sur un groupe organisé de Pakistanais qui s’en prenaient aux Blancs à l’école.
La police fut chargée de protéger un groupe de vingt écoliers dont les professeurs [aveuglés par l’antiracisme officiel] craignaient que ces envahisseurs puissent être persécutés à leur arrivée [sur la terre anglaise]. Mais c’est [bien entendu] l’inverse qui se produisit dans cette école.
Selon la mère d’Henry, dont le fils faillit être tué, tout le monde savait ce qui se passait dans cette école, à savoir que les élèves pakistanais avaient des comportements culturellement racistes. Il y avait de nombreux incidents. Un autre garçon a eu le nez cassé par la même meute que celle qui a tabassé Henry. La police savait, mais les professeurs refusaient d’affronter ce « racisme inversé ». Ils s’imaginaient que les enfants pakistanais étaient agressés pour des motifs raciaux, alors que c’était l’inverse qui se produisait !
Ils créèrent même une zone de protection des Pakistanais à l’école et continuèrent d’affirmer que les enfants pakistanais étaient victimes de racisme. Cette école craignait d’être perçue comme ayant un problème de racisme et ne savait pas comment traiter ce problème.
Henry avait 15 ans lorsqu’il fut agressé par un groupe de jeunes pakistanais qui se faisaient appeler « Invasion asiatique » [Asian Invasion].
Il avait accepté une confrontation en un contre un pour en finir avec le harcèlement dont lui et ses amis faisaient l’objet.
Mais Henry, qu’on remarquait par ses cheveux roux et sa forte stature, fut l’objet d’une attaque éclair particulièrement vicieuse et frappé à coups de poing, de pieds et reçu six coups d’un marteau arrache-clous [à la tête].
Cela lui occasionna trois fractures du crâne – le marteau pénétrant dans le liquide cérébro-spinal – qui nécessitèrent une intervention chirurgicale pour lui sauver la vie.
Ceux des assaillants qui furent punis écopèrent de huit mois à huit ans de prison.
Il y eut des exclusions scolaires jusqu’à dix-huit mois, sachant que seulement quatre barbares étaient scolarisés dans cet établissement scolaire.
L’école nia sa responsabilité et la “justice” lui donna raison. S’ensuivit un rapport éducatif qui, lui, mit l’accent sur les tensions raciales, les incidents sur les terrains de sport et les mesures consensuelles à prendre pour apaiser les tensions raciales.
La mère d’Henry maintient que cette école est responsable de ce qui est arrivé, qu’elle n’a pas pu se rendre compte de la gravité de la situation et qu’on a cherché à lui cacher la réalité.
[Puis on lui rapporte tout de même des propos politiquement corrects et antiracistes] : « si l’intégration des lycéens Pakistanais avait été bien prise en mains, nous sommes certains que cette attaque ne serait jamais produite. »
Henry est maintenant à l’université, mais continue de souffrir de problèmes de fatigue.
Si l’affaire fait grand bruit en Grande-Bretagne, ce n’est pas parce qu’elle révèle un nouveau cas de racisme antiblanc, fait aussi banal que censuré d’ordinaire. Le problème pour les médiats, c’est que l’un des protagonistes de cette affaire, Robert Buckland, vient d’être nommé Avocat général pour l’Angleterre et le pays de Galles, l’une des plus hautes charges judiciaires en Grande-Bretagne.
Or ce député britannique libéral a caché qu’il avait été condamné en marge de cette affaire pour y être intervenu illégalement, et avoir fait pression pour que les criminels pakistanais ne soient pas condamnés et que l’école ne soit pas accusé de racisme contre les Blancs. Après une plainte de la mère d’Henry, ses pairs l’avaient reconnu coupable de mauvaise conduite professionnelle, ce qui aurait dû l’empêcher d’obtenir ce prestigieux poste et provoque de nombreux appels à la démission.