« La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin »
Par ses propos, Bernard Cazeneuve a placé d’emblée les réformes à venir sur l’« immigration » et le droit d’asile dans une perspective antifrançaise et antiblanche, fondée sur la volonté de poursuivre le génocide des populations européennes. Le gouvernement a présenté hier lors du conseil des ministres ses deux nouveaux projets de loi concernant les étrangers en France, évoqués depuis de nombreux mois et repoussés par Manuel Valls à plusieurs reprises alors qu’il était ministre de l’Intérieur. Le premier concerne « l’immigration »-invasion ; le second est une réforme du droit d’asile.
Le titre même du texte, « projet de loi relatif au droit des étrangers » signifie bien qu’il n’est pas question ici d’éventuels devoirs des colons, ni des droits des Français, mais des seuls droits des étrangers. Le gouvernement ne s’en cache pas et l’AFP le précise clairement : le sort et les attentes des Français comptent pour rien : il s’agit de « faciliter la vie des étrangers ».
L’une des principales mesures est la création d’un titre de séjour pluriannuel pour les étrangers, qui permettra aux colons de n’avoir même plus à se déplacer chaque année en préfecture pour renouveler leur titre de séjour. Cette mesure a pour but de rendre moins visible l’invasion, notamment en supprimant la venue de plusieurs millions de personnes chaque année dans les préfectures. Ainsi après l’obtention d’un titre de séjour d’un an, les étrangers obtiendront des titres valables de deux à quatre ans. Jusqu’ici, les étrangers devaient faire renouveler chaque année leur titre de séjour avant, dès cinq ans, de pouvoir accéder à des titres de séjour de dix ans.
Si cette loi était adoptée en l’état, les étrangers, dès le premier renouvellement, pourraient obtenir des cartes jusqu’à quatre ans, puis directement obtenir des titres leur permettant d’occuper notre terre pendant 10 ans. Certains, ceux dont le gouvernement souhaite s’attacher les « talents », des étrangers à « fort potentiel » comme les artistes et les sportifs, auront immédiatement des titres de quatre ans ; les étudiants auront eux une carte qui couvrira la durée de leurs études. Le gouvernement a également validé l’ensemble des demandes des associations antifrançaises concernant la réforme de l’accès à la carte des étrangers malades ; plus encore qu’aujourd’hui, ils bénéficieront d’un système de santé auquel ils n’ont jamais cotisé, mais qu’ils participent activement à détruire.
Le contribuable français payera par ailleurs la mise en place d’un « parcours d’accueil et d’intégration [sic] » de très longue durée – jusqu’à cinq ans. Face aux innombrables abus, le gouvernement ne propose que la création d’un misérable « droit de communication » – les préfectures pourraient, si elles le souhaitent et si elles le peuvent, recueillir des informations auprès d’autres administrations – et par des mesures censées faciliter les expulsions dont il est évident qu’elles ne seront jamais appliquées.
Le deuxième projet de loi concerne le droit d’asile, un puits sans fond qui coûte des milliards aux Français, pour la seule partie financière et sans compter les terribles coûts sociétaux, humains, culturels à moyen et long termes, alors que les demandes d’asile explosent : 66 000 en 2013 contre 35 500 en 2007. Il ne s’agit pas pour le gouvernement, bien au contraire, de mettre fin à l’afflux de réfugiés, d’expulser les nombreux faux demandeurs d’asile, ou de prendre en considération en priorité les besoins des Français qui rejettent massivement l’invasion, mais de s’adapter aux impératifs de l’Union “européenne”.
Les Français seront rackettés pour financer la construction de nouveaux logements pour les prétendus « demandeurs d’asile », puisque si plusieurs centaines de milliers de Français ne peuvent se loger dignement, chaque demandeur d’asile a, lui, « droit » à un hébergement. De nouveaux centres d’accueil de demandeurs d’asile (CADA) seront construits et d’autres seront agrandis.
Le gouvernement veut profiter de ce projet de loi pour diffuser encore les étrangers dans la population. Dans la suite de ce qui avait été fait dans le cadre du BUMIDOM1, les demandeurs d’asile seront répartis à travers la France, sans que les communautés autochtones soient avisées ou que leur avis soit sollicité.
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1 Le Juif Michel Debré avait créé en 1963, avec l’accord de Charles De Gaulle, un « Bureau pour le développement des migrations dans les départements d’outre-mer », dit BUMIDOM. Cette institution imposera la venue en France, notamment en région parisienne, mais aussi dans des zones jusque-là épargnées par l’invasion comme la Creuse, de plusieurs dizaines de milliers de non Blancs entre 1963 et 1981 depuis les départements d’outre-mer.
Bravo, très bon article, clair et qui fait le tour du problème sans ambages. La Solution Finale du Problème Blanc, le Génocide par rupture de la chaîne des générations, est en marche. Il est mis en oeuvre par nos propres gouvernements traîtres en France, et dans toute l’Europe. Les institutions politiques des nations sont antinationales. Du jamais vu dans l’Histoire de l’humanité! Le Droit de la Race doit protéger la Race, et les législateurs antiracistes doivent être détruits si nous voulons sauver la Race. L’électeur ne se rend compte de rien, parce qu’il ne pense qu’à son porte-monnaie quand il va aux urnes. On voit bien que la démocratie parlementaire, celle des intérêts des partis, est nulle quand la race est en danger de mort. Les élections ne détruiront pas les législateurs antiracistes, alors qu’IL FAUT DETRUIRE LES LEGISLATEURS ANTIRACISTES. ………… Tiens, voilà que je finis mes discours comme Caton l’Ancien: « Il faut détruire Carthage! »
Excellente analyse !!!!
Mais le génocide blanc étant programme depuis très longtemps et vu que nous sommes devenus minoritaires à force de métissage , nous devrons quitter ce pays ou jurer allégeance à la religion musulmane !!!!!
Si les Europens avaient la possibilité de voter pr la limitation de l’immigration, ils voteraient comme les Suisses. Si l’invasion continue, des guerres civils, partout en Europe risquent d’éclater lorsque les caisses de l’états seront vides et que les Européens auront faim.