Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane]. Des sympathisants radounauds [habitants d’Oradour] participent même à une filière d’évasion de pilotes alliés.» À la même époque, un survivant, Marcel Darthout, confia: «Oui, bien sûr, il y avait des armes à Oradour, mais sûrement pas des stocks d’armes comme veulent bien l’écrire les négationnistes afin de faire peser les raisons du massacre sur la Résistance.»
Or, dans un livre publié en juin 1997 et interdit trois mois plus tard, Vincent Reynouard avait — le premier — révélé l’existence de ce réseau d’évasion de pilotes alliés passant par Oradour. De même, avait-il affirmé la présence d’un maquis armé dans le village. C’était donc lui qui avait raison, et c’est sans doute pourquoi les gardiens de la Mémoire avaient refusé le débat loyal qu’il acceptait d’avance, préférant recourir aux juges pour tenter de le faire taire.
Toutefois, la répression n’a jamais intimidé Vincent Reynouard. Vingt-cinq ans après la publication de ses conclusions, il revient avec un nouvel ouvrage: Oradour, le cri de victimes. Bien plus qu’une simple réédition, ce nouveau travail s’appuie sur de nombreux éléments rendus publics depuis 1997. Ils permettent à l’auteur de corriger certaines erreurs commises dans son premier livre et de reconstituer le drame du 10 juin 1944 avec bien plus de précision qu’auparavant.
Que s’est-il vraiment passé ce 10 juin 1944 tragique à Oradour? Pourquoi, depuis 1945, les autorités persistent-elles à occulter la vérité? Ce livre apporte des réponses.
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Une petite lettre aussi serait d’un grand réconfort pour qu’il soit moins seul au moment de célébrer les fêtes de la nativité et d’entamer une nouvelle année, même si nous savons que Vincent est un philosophe et qu’il a déjà l’expérience de la prison.
Pour lui écrire, son adresse :
Vincent Reynouard-160071
HMP
Edimburgh
Scottish prison service
33 Stenhouse road
Edimburgh
EH 11 3LN
Scotland
United Kingdown
Donc, le petit sursit d’un an qu’il s’est octroyé en partant en Ecosse n’aura pas été inutile:
c’est bien, la mission avant tout.
De quel sursis parlez-vous merci Monsieur X?
Exact, sursis, désolé, excès de Champagne Sarmate (pas celui de Poutine)!