Aujourd’hui, les autorités espagnoles ont jugé nécessaire de sortir José Antonio Primo de Rivera de son tombeau au nom de la loi de mémoire démocratique.
La vallée de Los Caidos a été érigée par le général Franco en la mémoire des victimes du camp nationaliste et du camp communiste de la guerre d’Espagne pour symboliser la paix, l’unité retrouvée et la victoire sur les forces étrangères qui tentaient de déstabiliser l’Espagne au profit de l’URSS.
Étant l’un des premiers martyrs de cette guerre, la place de José Antonio Primo de Rivera est plus que jamais au milieu de Los Caidos.
Mais par haine envers ceux qui ont défendu les valeurs de l’Espagne et par haine envers la Nation, les autorités ont jugé nécessaires d’accomplir cet acte ignoble et profanatoire, préparé par celui contre le général Franco exhumé il y a déjà quelques temps.
Tous les Nationalistes qui ont été à la vallée de Los Caidos en un 20 novembre pour honorer la mémoire de José Antonio Primo de Rivera s’indignent face à ce geste immonde et tiennent à rappeler la nécessité de ne pas abandonner le combat, malgré la répression et les exactions, face à l’ennemi qui va aujourd’hui jusqu’à profaner les tombes de nos martyrs.
José Antonio Primo de Rivera ?
Presente !
Arriba Espana !
En avant la victoire ! Maîtres chez nous !
Qui vive ? France !
Réaction de Manuel Andrino, chef de La Falange, au sujet de l’exhumation de José Antonio Primo de Rivera et de l’attitude de la famille du fondateur et martyr :
Nous pensons que la famille [de José Antonio[i]] est une famille de traitres et de lâches, ce qu’ils ont été toute leur « putain » de vie ; c’est ce que nous pensons en dehors de quelques honorables exceptions, très honorables, que nous avons connu militant à nos côtés il y a déjà de nombreuses années, le reste n’a jamais tien voulu savoir de leur grand-oncle et oncle.
Ils se fichent totalement [de José Antonio] et ont donc accepté la compromission avec le Gouvernement dans l’acceptation de la Loi de Mémoire Démocratique. Ils n’allaient pas le voir à la Vallée de los Caidos pas plus qu’ils n’iront au cimetière de Saint Isidro ni à aucun autre endroit.
C’est une famille d’ordures, c’est ce qu’ils sont. Ils occupent des postes de cadres dirigeant dans les plus grandes entreprises de notre pays, vivant du prestige de leur nom qui s’est forgé il y a 70 ans, et continuent à charger la mule, n’en ayant rien à faire de la lutte politique.
Entre autres exemples, son cher neveu, Miguel, qui se prenait en photo dans les bras du chef, quand celui-ci le parrainait, est celui qui a défendu la Loi pour la Réforme Politique[ii] devant les Cortes, comme une ordure. Celui-ci était le compagnon du Roi Juan-Carlos dans ses orgies et dans les bordels et toutes les attitudes immorales au sein du Congrès des députés, à la Moncloa [siège du Président du Gouvernement] et à la Zarzuela [Résidence du Roi d’Espagne].
Et effectivement, je rappellerai que le Parti socialiste et l’extrême-gauche, l [chef socialiste du Gouvernement espagnol de 2004 à 2011] sont ceux qui ont imposé cette Loi de Mémoire Démocratique mais aussi grâce à la lâcheté de la droite du parti populaire.
[i] Les descendants de la famille Primo de Rivera qui ont accordé au gouvernement socialo-communiste le droit de déterrer José Antonio Primo de Rivera de la Basilique de la Vallée de los Caidos, où il repose depuis 1959, et ont désigné le cimetière madrilène de Saint Isidro comme lieu de réinhumation de ses restes.
[ii] La Loi pour la Réforme Politique, initiée par Adolfo Suarez et appuyée par le Roi Juan-Carlos, est la loi votée par les dernières Cortes issues du Franquisme, sabordant le Régime hérité du Caudillo pour laisser la place à un régime de démocratie libérale aux antipodes des principes du Mouvement National franquiste et des idéaux de la Phalange espagnole.
Pour aller plus loin :
Le 20 novembre 1936 ou l’assassinat de l’espérance espagnole
José Antonio Primo de Rivera 24 avril 1903 – 20 novembre 1936
29 mars 1959 : translation de la dépouille de José Antonio à la vallée de Los Caidos
Jose Antonio Primo de Rivera : Présent !
La cornemuse et la lyre (par José Antonio Primo de Rivera)
Le sens héroïque de la milice (par José Antonio Primo de Rivera)
La tradition et la révolution (par José Antonio de Rivera)
Vergüenza
Les commentaires de Manuel Andrino sont malheureusement vrai. Mais il faut rappeler que Primo de Rivera a été laissé aux Rouges par Franco qui pouvait le sauver, et rappeler aussi qu’un rassemblement de la Phalange dans les années 1980 a sauvagement été dispersé par la police de Franco.
Franco était le cheval de Troie de la Finance, et c’est par cela qu’elle a fait rentrer en Espagne les socialo-communistes exilés, qui sont en train de sourit l’Espagne. Mais nous irons à San Isidorio déposer des fleurs sur la tombe de Primo de Rivera.
Baudouin
No importa donde estén los restos de José Antonio. Los falangistas seguiremos honrando su memoria con la militancia diaria contra este sistema liberal y corrupto que intenta mentir sobre la historia y que pretende esconder los asesinatos de la izquierda Socialista y comunista.