Saviez-vous que l’État français subventionne indirectement Tsahal, l’armée sioniste, qui noie actuellement sous un déluge de bombes les Palestiniens et en France contrôle accessoirement le journal antifa Libération, via son directeur Dov Alfon ?
En effet, une niche fiscale permet de déduire 66% de ses dons à des associations venant en aide aux soldats sionistes, comme « SOS Netivot » ou « Torah Box », des noms qui fleurent bon la laïcité républicaine.
La sénatrice Nathalie Goulet, épouse d’un proche de Yasser Arafat, s’est émue de ce dispositif permettant de financer une armée étrangère et a demandé des éclaircissements en 2016 au ministre du budget. Elle n’a reçu aucune explication de la part du gouvernement mais a récolté en revanche des menaces de mort sur les réseaux sociaux. Heureusement, son nom de jeune fille (Milzstein) lui a permis de traverser cette épreuve sans dommage.
De nombreux autres organismes communautaires offrent la possibilité de déduire une partie des dons de l’impôt sur le revenu : l’UEJF, la LICRA, le FSJU, SOS Inceste…et le pompon revient au CRIF qui garantit une déduction à 75% de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI).
En revanche, Rivarol, journal purement français, a été privé des avantages fiscaux et des tarifs postaux réduits dont bénéficient normalement les journaux…C’est sans doute parce que l’hebdomadaire a le tort de ne pas soutenir l’armée la plus morale du monde.
Alors n’hésitez plus, vous aussi parrainez Arnaud Klarsfeld, membre du Conseil d’État et réserviste chez Tsahal !
C’est bien la moindre des choses étant donné que Tsahal nous défend de la barbarie islamiste ;-)
Ingrat JN (ironie)
@Monsieur X,
C’est certain, le racisme des talmudistes fait moins mal aux goys et ne les tue pas de suite!