Joseph Gilles Lécussan est né le 9 juillet 1895 à Gourdan-Polignan (Haute-Garonne).
Il s’engage dans la marine en 1914 et il est admis à l’École navale en 1916. Il obtient le grade d’Enseigne de vaisseau de 2ème classe le 1er juin 1917, puis Enseigne de vaisseau de 1ère classe le 4 novembre 1918. Il est Lieutenant de vaisseau le 10 janvier 1923, Officier breveté Torpilleur, puis, le 1er janvier 1932, Capitaine de corvette.
En août 1937, Joseph Lecussan écope d’une sanction disciplinaire pour avoir crié dans un restaurant : « À bas la république, les Républicains aux chiottes ! Avant peu nous étranglerons la Gueuse. Vive le Roy ! » : six mois de non-activité par suspension d’emploi.
On lui prête aussi d’avoir milité au sein du Comité secret d’action révolutionnaire (CSAR) plus communément appelé La Cagoule.
Il commande une escadre de patrouilleurs en 1940, jusqu’à l’armistice. Il est fait Officier de la Légion d’Honneur.

En 1941 Joseph Lécussan a 51 ans, capitaine de corvette en disponibilité, il est versé sur sa demande au Centre d’Informations et d’études, dont il devient le directeur régional à Toulouse où il supervise notamment le Service des questions juives, et conserve cette fonction jusqu’à mars 1943.
Il est ensuite nommé par Joseph Darnand au poste de Chef régional de la Milice française à Lyon.
Le 10 janvier 1944, en compagnie d’une dizaine de personnes, il participe à l’arrestation d’Hélène et Victor Basch au domicile où ils se cachent depuis 1942. Ce dernier, français de papier, franc-maçon est le président de la Ligue des droits de l’homme. Joseph Lécussan exécute le couple Basch le jour même affirmant toujours avoir agit sur ordre de son chef, le SS Moritz du SD de Lyon qui « jugea Victor Basch trop âgé pour pouvoir l’arrêter ».
Il est ensuite envoyé dans le Cher, où il cumule ses responsabilités dans la Milice avec les fonctions de sous-préfet de Saint-Amand-Montrond depuis le 22 juin 1944.
Joseph Lécussan est jugé, condamné à mort à Lyon le 25 septembre 1946, et passé par les armes le 13 décembre suivant.






























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Je valide tout; je ne condamne rien; j adhère à tout!
A mon sens le parcours est irréprochable.
Je ne comprends pas bien en quoi assassiner un vieillard désarmé relève de l’honneur. Particulièrement s’il s’agit d’obéir aux ordres de l’occupant, d’assassiner des enfants ou des vieillards. En revanche chasser des populations indésirables et problématiques est une chose plutôt salutaire d’ailleurs nos rois ont su se débarrasser de ceux qui insultent le Christ, la Sainte Vierge, ou qui se rebellent contre l’Eglise du Christ, contre la souveraineté absolue du Roy de France qui se confond avec celle de notre Nation toute entière. On devrait d’ailleurs aujourd’hui s’inspirer de leur majesté, mais comment ? Puisque la République n’en a aucune, et qu’elle porte en elle les racines du mal.
Ainsi le Caudillo, véritable sauveur de l’Espagne, a laissé les Juifs passer par l’Espagne pour fuir le nazisme, et parfois même avec la complicité du vieux Maréchal avec lequel il était très ami.
Pour en revenir à la milice je trouve toujours mystérieux que des hommes pourtant si courageux à tous niveaux puissent donc se déshonorer de la sorte ? Le goût de l’action ne justifie rien. Il en va autrement des combattants contre le Bolchevisme.
J’avoue que je n’aurai pourtant moi-même aucune hésitation à éliminer quelques dangereux criminels pour le bien des miens, à savoir les Français d’abord, même si par Français j’entends d’abord ceux de souche qui n’ont d’autre Religion vraie que celle qui fonda la France, elle aussi aujourd’hui malheureusement pénétrée par la République et ses erreurs.
Parce que je suis Français d’abord et catholique par dessus tout, je trouverai incohérent, infamant et finalement déshonorant à adorer ou prêter un serment d’allégeance à un autre homme que le Christ d’abord, et au Roy légitime de la reine des nations ensuite, fusse-t’il Maréchal de France et plusieurs fois héros de la France. Il est certes tout aussi grave de prêter serment à la République, plutôt qu’à la France.
Le procès que la République fait au Maréchal est déshonorant. Mais après tout la République c’est le déshonneur, pire l’ennemi, l’adversaire, car la République a aussi une religion qui consiste à briser la Table des Dix Commandements, à détruire l’Eglise et finalement l’Humanité. L’État Français tenait sa légitimité de la République, et des Français qui pourtant ont abandonné leur vieux chef après l’avoir presque adoré, comme ils ont abandonné leurs rois, l’Eglise et peut-être même le Christ. Et finalement ils s’abandonnent eux-mêmes. Nos rois étaient des hommes imparfaits certes mais ils furent légitimes, croyaient dans le Christ et aimaient la France et les Français, ce qui n’est pas le cas de la République.
Pour que vive la France, vive le Christ-Roi et à bas la République.