La direction de la gendarmerie nationale, plutôt que de se préoccuper des trafics d’êtres humains et des mafias étrangères, plutôt que de traquer les réseaux pédocriminels ou d’enquêter sur les actes de haute trahison du gouvernement, a ouvert une enquête contre des gendarmes, suite à une dénonciation de la tchéka nationale, le Petit journal de Canal +.
Lors d’un exercice réalisé par des unités anti-émeutes, un groupe de fonctionnaires jouait le rôle de racailles harcelant les forces de l’ordre. Pour se mettre dans l’ambiance, les faux manifestants scandèrent, entre autres, à l’image des émeutiers afro-maghrébins ayant organisé des pillages à plusieurs reprises ces derniers mois à Paris comme dans de nombreuses villes occupées de France : « One, two, three, viva Algérie ».
Voilà ce qui a scandalisé les militants d’extrême gauche du Petit Journal – qui eux jouent le rôle de « journalistes ». Ils ont envoyé un reportage de délation directement au ministère de l’Intérieur, qui a immédiatement ouvert une enquête.
Les procédés de Yann Barthès étant ce qu’ils sont, les images du reportage ont été montées de manière à faire croire que le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve était présent à ce moment-là, ce qui n’était pas le cas.
Des gendarmes vont donc être inquiétés pour avoir, lors d’une simulation d’émeute, été trop proches de la réalité vécue sur le terrain par les Français ces derniers mois. Les extrémistes n’ont pas dénoncé le fait de brûler des voitures lors de cet exercice des forces de l’ordre, une marque pourtant claire de racisme et de stigmatisation de l’immigration-invasion.