Quelques centaines de personnes, des délinquants étrangers et des extrémistes de gauche, essentiellement des bobos, mais aussi des membres de groupuscules extrémistes, ont défilé hier à Calais. Malgré les pressions d’Emmaüs, officiellement organisateur de la manifestation, et une large couverture médiatique, les habituelles stars du système ont fait défaut. Finalement, seuls Guy Bedos et Rokhaya Diallo sont venus faire leur promotion à Calais.
Le gouvernement d’occupation a envoyé ses policiers protéger des délinquants qui ont violé nos frontières et qui protestent contre un projet gouvernemental. Et s’il permet à ces délinquants de bloquer les rues de Calais, le même gouvernement a interdit aux Calaisiens de manifester. Les riverains, qui voulaient dénoncer les tragiques conséquences de l’invasion (agressions, vols, cambriolages, saleté, maladies, etc.), ont vu leur marche être interdite par un préfet complice objectif des délinquants et des étrangers contre les Français. Il a refusé d’autoriser aux Français de manifester pacifiquement, même quand les organisateurs ont proposé d’autres horaires et d’autres lieux que ceux initialement prévus. Denis Robin, qui avait déjà interdit des manifestations de patriotes, a prétendu qu’il s’agissait d’un « problème de sécurité », évoquant un grand nombre de camions sur la zone de Calais en milieu de semaine.
Avec le même nombre de poids lourds, il a pourtant autorisé la manifestation des délinquants étrangers et de leurs soutiens. Ces derniers protestaient contre la construction d’une barrière de protection destinée à empêcher les attaques contre les biens et les personnes, en France comme en Angleterre, alors que les attaques de “migrants” se sont multipliées ces dernières semaines. Plusieurs milliers d’étrangers délinquants sont actuellement présents à Calais, entre 3 000 et 6 000 selon les estimations.
La manifestation a été un échec patent : l’organisateur officiel, Emmaüs, avait invité plus de 90 autres organismes à se joindre à elle ; elle avait annoncé la venue d’un millier de personnes. Selon les services de la préfecture, pourtant favorables aux délinquants et à leurs soutiens, seules 500 personnes – cela fait moins de 6 manifestants par association – ont fait le déplacement, signe de la très forte opposition de la population de Calais à la présence de milliers d’étrangers et du déclin du pouvoir de nuisance de l’anti-France.