Les juges rouges de Taubira, obéissant aux lois criminelles de leur République, continuent leurs incitations aux crimes contre les Français en relaxant ou condamnant à des peines insignifiantes des individus qui, pour le moins devraient être expulsés avec leur famille après quelques années de bagne, au mieux devraient servir d’exemple à quelques réverbères de nos villes.
Dix racailles issues de Mont-Saint-Martin, qui sert de quartier envahi à la ville de Longwy, ont été jugées pour avoir commis des viols en réunion contre deux jeunes filles. Le plus jeune des criminels avait 13 ans au moment des faits en 2011, le plus âgé 17 ans.
Les rares médiats locaux à avoir évoqué l’affaire parlent de faits « sordides », de « calvaire », de « contraintes », de « menaces », de « viols en réunion », mais à aucun moment les journalistes ne dénoncent un jugement ignoble, véritable insulte aux deux jeunes victimes, insulte à la France et à son peuple.
Les dix criminels ont battu violemment les deux jeunes filles, les ont forcés à avoir des rapports sexuels, mais pire encore, enregistraient leurs crimes et les diffusaient ensuite à leurs camarades des lycées et collèges qu’ils fréquentaient. Pas un seul élève n’a dénoncé les faits. Une troisième victime a été rackettée de plus par la bande – parmi les faits connus.
Alors qu’ils auraient pu pour certains être jugés aux assises pour mineurs, ils ne l’ont été que devant le tribunal pour enfants (sic) de Briey, comme si les faits ne méritaient pas qu’on s’y attarde, des délits à peine plus graves, voire moins, qu’un excès de vitesse.
Au procès, les criminels, jugés comme de « simples » enfants délinquants ont paradé, niant les viols. Les victimes, traumatisées pour de longues années, n’ont même pas témoigné. Elles ont été contraintes de déménager quand les ignobles racailles vivent toujours sur notre sol, en toute impunité depuis les faits et jusqu’au jugement, et plus encore aujourd’hui.
Sept de ces criminels n’ont écopé que de six de prison, totalement assortis du sursis. Les deux racailles âgées de treize ans ont été simplement remises à leurs parents, tandis qu’un dixième a bénéficié d’un non-lieu, des « peines » en tout point conformes aux scandaleuses réquisitions du ministère public.
La presse n’a pas diffusé le nom des différents criminels, ni du procureur, ni du juge, ni des racailles.