Après des années d’impunité, les trop nombreuses escroqueries et provocations du couple d’étrangers Balkany-Smadja ont fini par leur valoir de nouvelles multiples mises en examen ces derniers mois pour corruption, fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, etc.
Ne se laissant pas abattre, comme si leurs comptes cachés dans divers paradis fiscaux ne leur suffisaient pas, ils ont tenté ces derniers temps de vendre les palaces – pour ceux qui sont connus – qu’ils ont achetés en grande partie avec l’argent volé aux Français, mais la justice a fait saisir – ou a demandé aux autorités marocaines de le faire – ou a fait saisir le fruit de leur vente : moulin de Giverny, riad de Marrakech, palais Pamplemousse à Saint-Martin aux Antilles.
Interrogée par un journal, Isabelle Smadja se lamente sur les « persécutions » qu’elle subit de la part de ces goys qui refusent de se laisser voler sans réagir :
« Tout cela pour atteindre Nicolas »,
lance-t-elle, comme si leurs escroqueries ne faisaient l’objet de poursuite qu’à cause de leur coreligionnaire Nicolas Sárközy, lui-même impliqué dans plusieurs affaires (attentats de Karachi, Bygmalion, sárkothon, financement libyen de la campagne de 2012, etc.) et dont se disent très proches les deux corrompus de Levallois-Perret. Nicolas Sárközy, lui, a nettement pris ses distances, au moins publiquement, avec ses très encombrants frères en synagogue.
« Je n’aurais pas dû faire de politique [sic] »,
conclut l’adjointe au maire de Levallois-Perret – poste dont elle n’a visiblement pas l’intention de démissionner. Pour les aveux du genre : « J’aurais dû être une personne honnête et ne pas commettre d’escroqueries et servir le peuple français qui m’a accueilli », les Français spoliés par les deux escrocs juifs attendront.
Rappelons que son mari, condamné pour corruption, mis en examen dans plusieurs affaires, siège actuellement dans leur Assemblée qu’ils dénomment nationale pour mieux en cacher le caractère mondialiste, repaire de traîtres, de corrompus et de lâches.