Le racisme et la discrimination religieuse officiels d’Israël ne choquent pas les bonnes consciences
Très loin de la propagande des activistes juifs en Europe qui militent pour la submersion de notre terre, la destruction des frontières, l’accueil jusqu’aux plus dangereux des terroristes et des criminels, très loin des mensonges colportés par eux-mêmes sur leur prétendue « humanité » et les « leçons de l’histoire » (sic), Israël est le pays le plus fermé aux étrangers de tout le Proche-Orient et probablement du monde, à la notable exception de la Corée du Nord – où rares sont ceux qui cherchent asile.
Benyamin Netanyahu a annoncé une nouvelle restriction concernant les réfugiés. Selon le chef d’un peuple qui propage la destruction par l’invasion chez les autres, l’entité sioniste ne doit pas être « submergée » par les réfugiés syriens et africains.
Mensonges éhontés de Netanyahu : le double standard juif en action
« Nous ne laisserons pas Israël être submergé par une vague de migrants illégaux et d’activistes terroristes. Israël n’est pas indifférent [sic] à la tragédie humaine des réfugies syriens et africains […], mais Israël est un petit État, très petit qui ne dispose pas d’une profondeur démographique et géographique, c’est pourquoi nous devons contrôler nos frontières »,
a menti le criminel juif.
La duplicité et la perfidie du premier ministre d’Israël n’ont pas de limite. C’est le même qui, il y a quelques mois, déclarait :
« Je dis aux Juifs de France : votre avenir est ici, revenez dans votre patrie. Nous attendons une alya [immigration réservée aux Juifs dans une perspective religieuse extrémiste] massive des Juifs d’Europe et de France en particulier […]. [Le gouvernement] a procédé à de nombreux changements pour aider à l’intégration des Juifs de France en Israël. Nous allons continuer à nous préparer à cette immigration massive »,
déclarait-il alors. En moins d’un an, les conditions géographiques ont-elles changé sur les terres occupées par Israël ? Les données démographiques ont-elles été bouleversées en quelques mois ? Évidemment non : mais ce qu’Israël impose aux autres, il le refuse pour lui. L’entité sioniste rejette la venue de Syriens alors même qu’il s’agit d’un pays frontalier de la Palestine et qu’Israël a fait beaucoup – et continue – pour déstabiliser la Syrie.
La construction d’un mur qui ne fait réagir aucune bonne conscience
« Nous n’attendrons pas, nous allons autant que possible entourer les frontières d’Israël avec une clôture de sécurité sophistiquée qui permettra de contrôler nos frontières »,
a annoncé le dirigeant israélien précisant qu’immédiatement « une clôture à la frontière avec la Jordanie » allait être construite.
L’État criminel d’Israël, présenté comme le « phare de l’humanité », la « plus grande démocratie » par les nombreux agents qu’il compte dans les pays occupés, va donc devenir le premier “pays” dans l’histoire de l’humanité à être totalement coupé du monde, entouré de toute part par des murs. L’entité terroriste juive a déjà achevé la construction d’une clôture électronique de 240 kilomètres entre la Palestine et l’Égypte. Cela suffira-t-il à ce que les Bernard-Henri Lévy, Anne Roumanoff, Bérengère Krief, Géraldine Nakache, Charles Berling, Lorant Deutsch, Francis Huster, Michel Boujenah, Elsa Zylberstein, Michèle Laroque, Léa Drucker, Richard Berry, Danièle Thompson, Marina Foïs et autres étrangers juifs qui s’agitent pour que les Français soient submergés se taisent ?
Sans doute pas, car aucune des bonnes consciences – juives ou non – en Europe n’a dénoncé cette mentalité qui serait qualifiée ailleurs de « fasciste », de « nauséabonde », « d’inhumaine », etc. L’ignoble Laurent Fabius, qui a trouvé « scandaleuse » la construction d’un mur en Hongrie, dénoncera-t-il le pays dont il est l’agent ? Probablement pas et aucun des journalistes, philosophes, politiciens, bobos qui dénoncent la Hongrie, qui réclament l’invasion de la France, ne s’est alarmé quand Israël a expulsé dans le désert les ‘migrants’. Comme l’État qu’ils servent, ils ont fait du double standard et du mensonge institutionnalisé une règle de vie.