Un obscur site a dénoncé dans un article le prétendu « racisme » d’une marque de vêtement réunionnaise, dénommée « Pardon ». L’auteur de l’article évoque un vêtement où figurent les noms de différents groupes ethniques et le résultat imagé du métissage de ces peuples :
Zarab + Malbar [Indien] = Zamal [cannabis] Zoreil [Blanc] + Mauricien = Zomau [pédéraste] Kaf [Africain] + Malbar = Kafar [cafard] Malgache + Chinoi = Gachi
Malbar + Zoreil = Barzo [barjot]
Le vêtement, en vente depuis plus d’un an et épuisé, n’a jamais inquiété qui que ce soit. Il avait été réalisé en partenariat avec une école des beaux-arts (sic), justement « sur le thème [de l’apologie] du métissage ». L’école bien-pensante avait demandé, à la demande de l’entreprise bien-pensante, de faire travailler ses étudiants sur ce projet et de proposer des modèles, dont deux ont été choisis et récompensés par Pardon, qui a notamment offert 3 000 euros à l’école et des stages au sein de la société.
Mais après cet « article », écrit par un Africain, le CRAN, depuis la métropole, s’est emparé de l’affaire et a annoncé avoir déposé plainte. Grâce à ses nombreux relais, l’association antifrançaise a obtenu une large médiatisation de l’affaire.
« J’imagine que la direction va nous expliquer qu’il s’agissait d’une plaisanterie, d’une provocation, qu’il fallait prendre au second degré, a ajouté le président du CRAN. C’est le genre d’arguments que Jean-Marie Le Pen utilise depuis plus de 40 ans. Et cela ne nous fait toujours pas rire. »
a dénoncé l’austère Louis-Georges Trin, que les responsables de la marque, entre Zomau, Kaf, Barzo et Gachi, auraient eu bien du mal à catégoriser dans ce modèle. Après Geneviève De Fontenay et Carla Bruni immortalisées sur ses tricots, Pardon pourrait peut-être lancer avec lui une nouvelle collection ? Pourquoi pas sous le titre : « Monstres » ? Quant à Louis-Georges Trin, on ne saurait trop lui conseiller, s’il demeure hermétique à l’humour des Blancs, de repartir sur la terre de ses ancêtres où sa perversion, ses idées corrompues et sa vindicte seront appréciées à leur juste valeur.
Aucune autorité ni association n’avait porté plainte contre la marque quand elle faisait l’apologie du métissage – du génocide des peuples – et de la drogue sur plusieurs autres maillots depuis vingt ans. Sur un autre, on discerne le visage du pire criminel contre l’humanité de l’histoire. Ironiser sur la mort de plusieurs dizaines de millions de personnes est moins grave que de rater un visuel à vocation antiraciste…