Yassine et un ami, deux islamistes récupérés alors qu’ils rejoignaient les terroristes en Syrie, ont été placé en garde à vue à Toulouse. Concernant le premier, son avocate a évoqué « un adolescent qui n’a aucun problème », « parfaitement inséré ». Évoquant ce criminel prêt à torturer, tuer et à poser des bombes elle a tenu à préciser qu’« il va bien ».
Dans ce dossier, les services de renseignement ont annoncé qu’une dizaine d’islamistes femelles seraient parties comme prostituées volontaires des terroristes en Syrie, une réalité présentée il y a quelques semaines comme de la « propagande du régime de Bachar al-Assad ». Les témoignages et la réalité, longtemps été occultés, fleurissent aujourd’hui dans les médiats, comme celui de Fatima, mère d’une jeune femme qui s’est mariée par correspondance à un étranger occupant de Belgique puis à rejoint son époux en Syrie. C’est lors de son passage dans un lycée professionnel de la région de Bordeaux qu’Anissa s’est radicalisée.
À Nice, au moins sept mineurs sont partis combattre en Syrie. Les cas de deux d’entre eux ont été médiatisés ces derniers jours. Tous les deux sont Blancs, issus de quartiers envahis de la ville, tous deux ont été manipulés par des criminels étrangers, qui, en toute impunité, ont enrôlé deux jeunes Européens pour devenir terroristes en Syrie. Ils seraient présents sur la photo à gauche, diffusée sur les réseaux sociaux en France où elle serait très populaire parmi les jeunes islamistes et Français reniés.
Les jeunes ont des contacts plus ou moins réguliers avec leurs parents. La mère de l’un d’eux a fait part de son désespoir en s’adressant au maire de Nice :
« Je veux qu’il m’aide à sauver mon enfant. Mais aussi qu’il empêche le départ d’autres gamins. […] Je n’ai rien vu venir. Je ne comprends pas. Je suis tellement mal. […] Il n’a jamais parlé de religion à la maison.
Je ne le reconnais plus. Quand je l’ai au téléphone, il dit qu’il fait ça pour nous sauver. Mais cette guerre ne le concerne pas. Ils me l’ont changé… »
De bien inutiles requêtes et de bien tardifs remords : qui peut prétendre qu’il n’a pas vu l’invasion de la France ? Qui peut prétendre que les nationalistes n’ont pas mis en garde contre ce régime, sa corruption, sa faiblesse, contre l’immigration, depuis tant d’année ?
Les autorités, bien entendu, n’ont aucune possibilité d’action. Ce n’est pas la pauvre « cellule » mise en place par la mairie de Nice qui changera quoi que ce soit, tant c’est le régime tout entier qui est responsable de la situation et incapable d’y faire face, comme l’illustre la totale inaction au plus haut sommet de l’État de Manuel Valls, plus à l’aise quand il s’agit de gazer des enfants ou de payer des racailles en uniforme pour fomenter des troubles dans les manifestations.
Il y aura bientôt mille islamistes partis de France pour combattre en Syrie ; nombre d’entre eux sont déjà revenus et les réseaux qui organisent ces voyages, prêt à mener leur guerre sur notre sol n’ont jamais été aussi actifs, bénéficiant de la complicité des autorités, du laxisme de la justice et de l’indolence d’un peuple soumis.
Aujourd’hui, trois islamistes sont jugés pour avoir tenté de rejoindre la Syrie, le Marocain Youssef Ettaoujar et les Algérien Fares Farsi et Salah-Eddine Gourmat. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Seul le premier est détenu, les deux autres comparaîtrons libres. Quelle que soit la peine infligée, quelques mois avec sursis ou quelques années avec prison, ils seront autant dangereux en prison quelques mois que dehors.
La seule solution à ce problème est connue de tous : l’expulsion immédiate de tous les étrangers de France. Une expulsion dans le respect de la République : sans discrimination de race, de religion, ou de génération.
Christian Estrosi lui, pense qu’il a accompli son devoir :
« Je veux être efficace face à ce réseau structuré. Et j’ai, d’ailleurs, prévu un rendez-vous téléphonique avec le ministre de l’Intérieur »