C’est encore tout une branche vitale pour la société qui crie sa colère. Après les pompiers, les services de santé, les agriculteurs et éleveurs, les restaurateurs et autres, c’est au tour des éboueurs et des égoutiers d’annoncer leur ras-le-bol. Après tout, ils sont parmi les grands récepteurs de l’ingratitude sociale. Vus comme des lépreux, dénigrés par les autres par rapport à leur fonction, on a vite tendance à oublier qu’elle est de première importance pour le bien-être publique.
Voici ce qu’on peut lire sur bfmtv :
Les éboueurs et égoutiers parisiens sont bien décidés à se faire entendre. Pour cela, plusieurs dizaines d’entre eux se sont installés sur le toit de la Direction de la Propreté, dans le 13e arrondissement de Paris. « On est prêt à dormir là haut », a assuré un des syndicalistes, qui réclament l’ouverture de négociations avec la mairie.
Au pied de l’immeuble, du mobilier a également été incendié provoquant d’importants dégagements de fumée. Des centaines de tracts ont par ailleurs été jetés depuis le toit par les manifestants
Depuis ce mardi, les éboueurs et égoutiers se sont mis en grève pour une durée illimitée. Ils s’opposent à la prochaine application, en 2021, dans la capitale, de la loi de transformation de la vie publique, « une casse du service public » selon eux.
Ils déplorent notamment une réduction des congés ainsi qu’une « entrave au droit de grève ». Ils dénoncent aussi les conditions sanitaires dans lesquelles ils exercent leur profession.
Le huffingtonpost nous en dit plus :
Une pluie de prospectus s’est abattue sur l’avenue de France, dans le 13e arrondissement de Paris, ce mercredi 25 septembre. Des éboueurs et égoutiers grévistes ont tenté d’alerter la population depuis le toit du siège de la Direction de la propreté et de l’eau, qu’ils occupaient depuis le matin.
Ce n’est pas la première fois que ces employés de la ville font part de leurs revendications. À l’approche des élections municipales, ils menacent de laisser la rue se remplir de déchets. “Les Parisiens vont se rendre compte très rapidement que, si on n’était pas là, ce ne serait pas des papiers qui joncheraient le sol, mais des immondices” renchérit Régis Viéceli.
Ca n’aura échappé à aucun amoureux de la capitale, sa beauté et la qualité de vie en son sein s’évaporent de façon exponentielle depuis les 70 dernières années. Elle est devenue inhabitable pour bien des français de sang qui ne supportent plus le grand remplacement – qui est criant là plus que nul part ailleurs – et les symptômes qui vont inévitablement avec. Crasse, incivilités, agressions, saletés urbaines… Et j’en passe. On a parfois l’impression de passer d’un pays à un autre lorsqu’on change de quartier. Et bien souvent d’une région d’Afrique à une autre en réalité tant l’âme française – et son peuple réel – semblent avoir déserté la ville qu’aimait tant Drumont.
« Paris est une véritable poubelle cosmopolite. »
Voilà le constat que fait tout nationaliste quand il est de passage. Si les éboueurs mettent leurs menaces à exécution, Paris deviendra cette fois littéralement une poubelle à ciel ouvert. c’est ce vers quoi elle tend naturellement depuis des décennies ; il s’agira plutôt de l’accélération d’un processus engagé depuis l’arrivé des nuées d’indésirables. Apportant dans leurs valises, en plus de leur religion et de leur culture parasite, leur hygiène et leur savoir vivre légendaire ; il n’y a qu’à regarder les rues d’Alger pour s’en convaincre. À l’appui , quelques photos qui feraient de bien mauvaises cartes postales :
Bientôt la même pour Paris ? Après tout, cela semble être dans les moeurs des nouveaux locataires… Et encore, je n’ai même pas parlé des « performances » des « migrants » dans le domaine…