Chaque époque de décadence est caractérisée par une régression des mœurs, des sentiments les plus nobles au profit des plus vils. Ces derniers jours offrent un condensé de cette tendance mortifère.
En France comme ailleurs, les médiats, qui n’évoquent jamais le football américain, ont abondamment relayé l’annonce de la sélection d’un joueur, non pas en équipe nationale, mais simplement dans une équipe locale, les Saint-Louis Rams. Dans le système américain de la Ligue nationale de football (NFL), chaque équipe recrute parmi les meilleurs joueurs universitaires. Les 248 premiers sélectionnés n’ont pas eu droit à la moindre ligne dans les journaux, contrairement à Michael Sam, arrivé pourtant seulement en 249e position.
Loin de la réalité sportive, pour les propagateurs de la décadence, l’Africain Michael Sam Noir, est miné par une double perversité : cet homosexuel cherche ses partenaires parmi les autres races. Cela présente un triple avantage, permettant de faire la promotion des Africains, athlètes conquérants jusqu’aux pédérastes soumis blancs, l’homosexualité et le métissage – dans une version heureusement infertile.
Les journaux (comme ci-dessus le journal officiellement conservateur Le Figaro, appartenant au sénateur juif corrompu de l’UMP Marcel Bloch dit Dassault) ont diffusé cette « information », sans le moindre intérêt pour le lecteur français, avec complaisance, publiant souvent la photo de l’Africain embrassant son « compagnon » à l’annonce de la nouvelle, ce qu’ils n’ont jamais fait pour un Français, hétérosexuel, dans le cadre d’un sport national européen. La propagande est telle qu’aujourd’hui une requête avec les lettres « NFL » sur le principal moteur de recherche sur internet renvoie immédiatement vers des sites relayant cette publicité ignoble.
Aucun peuple, quelle que soit sa race, sa religion, sa culture, n’est épargné. Abdellah Taïa, écrivain et réalisateur marocain, vient de finir son premier film, actuellement diffusé en France. L’Armée du Salut a pour héros Abdellah, un jeune déviant sexuel de Casablanca, qui part coloniser la France. Cette œuvre, en partie autobiographique, a été également projetée à Tanger au Maroc, dans le cadre d’un festival.
L’organisation mondialiste ONU, a fait réaliser officiellement une vidéo de prosélytisme pro-pédérastie, à destination notamment du sous-continent indien. Dans le cadre d’une campagne intitulée « Free & Equal » (Libres et égaux), le clip imite le style du cinéma indien pour faire accepter aux populations la décadence et l’inversion des valeurs. Ici encore, malgré l’insignifiance du fait, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, incapable de la moindre action positive pour la paix en Ukraine, en Centrafrique, au Pakistan ou au Mali, inactif face aux problèmes de pauvreté dans le monde, à la naissance d’une oligarchie de milliardaires fanatiques, a pris sur son temps pour publier un communiqué, se déclarant « ardent défenseur » de cette campagne.
Le puissant lobby des déviants sexuels s’attaque au Japon, via la société Nintendo, cible d’une violente campagne de haine. Ils reprochent au concepteur de jeu vidéo de n’avoir pas intégré la fonction « mariage des dégénérés » dans son dernier jeu, Tomodachi Life, un produit qui engage les joueurs à oublier la vie réelle pour s’en inventer une virtuelle.
« Tomodachi Life n’était en rien une simulation de vie s’inspirant de la vie réelle. Les options de relations dans le jeu représentent un autre monde ludique et non une simulation de la vie réelle »
s’étaient, dans un premier temps, défendus les concepteurs. La branche étasunienne de la marque s’est néanmoins pliée à l’exercice de la repentance et de la soumission :
« Nous nous excusons auprès de vous tous pour n’avoir pas pu réussi à intégrer des scènes de vie entre couples du même sexe dans Tomodachi Life. Malheureusement, il est impossible pour nous de changer le design du jeu et un tel changement n’est pas non plus possible avec un simple patch. Nous vous promettons que s’il y a une suite à Tomodachi Life, cette dernière représentera tous les types de joueurs »
C’est en Europe que les attaques contre la société sont les plus violentes. Sans surprise, le concours truqué de l’eurovision a vu la victoire du dégénéré sexuel juif “autrichien” Tom Neuwirth, qui se fait appeler « Conchita Wurst », un nom typique de la vulgarité et de la bassesse des invertis, « Conchita Saucisse » évoquant clairement l’obnubilation des détraqués pour la sexualité.
Très loin de l’art et de la culture, le monstre a revendiqué ce succès truqué comme « une victoire contre l’intolérance ». Le travesti juif barbu a reçu les félicitations de nombreuses personnalités et organismes, dont le président autrichien.
« C’est une belle journée pour l’Autriche […] une victoire pour l’Autriche, mais avant tout pour la diversité et la tolérance en Europe »
a déclaré le libéral-gauchiste Heinz Fischer. Le FPÖ, le représentant local de l’extrême droite sioniste, alliée à Marine Le Pen, a salué la prétendue « liesse populaire », estimant qu’il est « dans l’ordre [sic] des choses que les gens se réjouissent quand il y a une victoire [sic] ».
Ces Romains si jaloux, si fiers de leurs suffrages,
Qui jadis commandaient aux rois, aux nations,
Décernaient les faisceaux, donnaient les légions,
Et seuls, dictant la paix, ou proclamant la guerre,
Régnaient du Capitole aux deux bouts de la terre,
Esclaves maintenant de plaisirs corrupteurs,
Que leur faut-il ? du pain et des gladiateurs.
[…]
Un citoyen illustre, un magistrat de Rome,
Comme épouse à l’autel conduit par un autre homme ! […]
Devant quelques amis, Barrus prend un époux.
Je suis un des témoins. —Vivons, vivons encore,
Et bientôt ces hymens que la nature abhorre,
À la face des dieux, par les lois consacrés,
Dans les actes publics seront enregistrés !
Les monstres toutefois éprouvent un supplice.
En vain, de leur fureur rendant le ciel complice,
Ces épouses voudraient, par des gages chéris,
Dans ces nœuds criminels retenir leurs maris :
Le ciel n’obéit point à leurs vœux sacrilèges.
Ni l’épaisse Lydé, par ses noirs sortilèges,
Ni l’agile Luperque en frappant dans leur main,
Ne saurait féconder leur détestable hymen.
Juvénal, Satires.