La Le Pen contre le rétablissement de la peine de mort
C’est un changement majeur dans les rangs du néo Front national. Marine Le Pen ne proposera pas le rétablissement de la peine de mort.
Interrogée lors de l’émission Questions d’Info, la Le Pen a affirmé qu’elle intégrait dans son projet la « perpétuité réelle ». Pour se faire entendre, une simple pétition réunissant 500 000 signatures seraient nécessaire pour imposer un référendum. Ainsi, elle est prête à ne pas remettre la peine de mort dans son programme, « quitte à ce que les Français la rétablissent via un référendum d’initiative populaire ».
Dans les rangs du Front national, la question de la peine de mort fait toujours débat plus de 35 ans après son abrogation. Si Marion Maréchal-Le Pen ou encore Gilbert Collard avaient exprimé à titre personnel leur opposition au rétablissement de la peine de mort, Marine Le Pen a pris position beaucoup plus tard.
Pour protéger le bien général, je serais favorable à ce qu’on exécute certains psychopathes, à commencer par certains responsables du Grand Remplacement. Je ne vois pas ce que leur vie a de sacré, surtout quand on voit que notre gouvernement d’occupation a pour politique de tout désacraliser et d’assurer une semi-impunité aux violeurs et assassins.
Mais la priorité devrait être d’arrêter le remplacement, pas d’exécuter les criminels.
Il me semble que la plupart des gens aujourd’hui sont encore favorables à la peine de mort. Je trouve ça normal. Mais les journalistes prendront plaisir à associer de très près, dans l’esprit des gens, le Front National et l’idée de peine de mort, en suggérant qu’il y a là une obsession malsaine. C’est un bon moyen de faire perdre des voix au Front National, y compris parmi les électeurs favorables à la peine de mort.
Ce qui est malsain, c’est l’attitude de certains gauchistes qui se passionnent pour le triste sort des criminels condamnés à mort, comme s’ils ne trouvaient pas de cause plus importante à défendre. Ce sont les médias anti-blancs qui encouragent cette attitude auprès des esprits fragiles. Ça permet de faire passer certains journaux et certains politiciens pour des idéalistes, alors que c’est seulement un moyen cynique d’obtenir les voix des idiots et de détruire un peu mieux la société.