L’ex-directeur de l’Institut Montaigne Laurent Bigorgne, a été condamné jeudi à Paris à douze mois d’emprisonnement avec sursis et 2.000 euros d’amende pour avoir drogué à son insu son ancienne belle-sœur et collaboratrice lors d’une soirée en février dernier. Condamnation ridicule s’il en est à l’encontre d’une personnalité en vue et de référence du Système.
Déjà lors de l’instruction, Mediapart, le 7 mars, avait mis en cause le parquet de Paris, accusé entre les lignes d’avoir minimisé l’affaire et de lui avoir réservé un traitement de faveur. Cette pourriture serait intouchable parce que proche de Macron qu’il a soutenu en 2017 et conseillé sur l’éducation :
- pas de relevés anthropométriques – photos et empreintes -,
- pas d’analyse ADN,
- pas d’enregistrement du suspect dans le fichier des gardes à vue,
- pas d’identification du numéro de téléphone du dealer,
avait révélé le Canard Enchaîné. Ces traitements liberticides en Gav sont bons pour Benedetti mais pas pour le copain du président moumoutte.
Toutes les icônes moralisatrices du Système, les Duhamel, Lang, Cohn-bendit, etc… s’effondrent les une après les autres révélant un régime gangréné moralement et en pleine putrescence.
Tirons la chasse !
Yvan Benedetti
t.me/yvbenedetti