Lutter contre l’immigration c’est lutter en même temps contre les violences faites aux femmes

La plus grande violence faite aux femmes est cette escroquerie morale qui se fait appeler FEMINISME, si l’on se réfère aux conclusions de l’une des égéries les plus représentatives de cette mouvance, Elizabeth BADINTER, résumant son objectif : La femme ? « UN HOMME COMME LES AUTRES ! »
Soit l’expression d’un féminicide culturel incitant les femmes à l’imitation des hommes dans leurs moeurs et leurs professions, au détriment de leur droit à vire leur différence.
Ce qui révèle un degré obsessionnel de misogynie militante réduisant à néant tout ce qui, depuis des millénaires et dans toutes les civilisations, a contribué à la sacralisation de la femme, conditionnant la continuité de l’espèce humaine, des peuples et des familles, par l’éveil à la vie des plus jeunes et leur accompagnement jusqu’à l’adolescence.
S’il n’est ainsi que trop évident que se réclamer d’un parti féministe relève autant de la sottise que de l’escroquerie intellectuelle, l’existence d’un PARTI FEMINICIDE, le plus souvent animé par des handicapées endocriniennes, est hélas une réalité !