Tandis que les Français s’épuisent sous le poids des réformes, essorés par un pouvoir qui semble plus prompt à ponctionner ses administrés qu’à les défendre et les encourager dans le bien, Emmanuel Macron multiplie, sur le plan international, les postures sans lendemain et les déclarations martiales. Présent partout, mais nulle part où le peuple l’attend, il incarne une forme d’ubiquité politique qui frôle l’absurde. Et pourtant, certaines de ses paroles font sens. Arrêtons-nous par exemple sur le discours qu’il a prononcé le 5 mai dernier, à la Grande Loge de France.
Un lieu symbolique s’il en est, et une première pour un président
Emmanuel Macron y a abordé, sans détour, la question de la franc-maçonnerie, soulignant son rôle cardinal dans notre histoire contemporaine. Officiellement, il n’y a plus de religion d’État, et c’est à la franc-maçonnerie qu’on le doit : on nous le dit expressément. À la place, il y a la sacro-sainte laïcité. Mais attention : une laïcité à géométrie variable, dirigée contre la religion de nos pères, à savoir le catholicisme, mais strictement respectueuse des cultes d’importation, ainsi que nous en avertit notre cher président : « À ceux qui voudraient faire de la loi de 1905 une lecture identitaire sous prétexte de laïciser la société dans le seul but de s’attaquer à des religions ou croyances, en particulier au nom de leur prétendue incompatibilité avec les valeurs de la République ».
Ne vous y trompez pas : l’objectif ultime de la franc-maçonnerie c’est ni plus ni moins l’éradication de l’Église catholique. Ce n’est d’ailleurs pas seulement la religion qui, depuis trois siècles, est l’objet d’un véritable travail de sape, mais l’ordre naturel lui-même. Les papes nous en ont avertis. Les lanceurs d’alerte n’ont pas manqué, à commencer par l’abbé Barruel. L’historiographie dominante les a qualifiés de “complotistes”, histoire de les discréditer. Pourtant, lorsqu’Emmanuel Macron déclare que la franc-maçonnerie est « l’atelier de la République », ne vient-il pas accréditer leurs avertissements ?
C’est donc, du propre aveu du président, dans l’antre d’une société secrète que des tireurs de ficelles inconnus du peuple et non choisis par lui ont décidé à sa place, par le truchement d’élus obéissant à des directives occultes, de l’avenir, des lois et des croyances communes.
La remarque pertinente de @PascalPraud à propos du discours de Macron à la Grande Loge de France :
« Le président de la République s’adresse à une organisation clandestine… »
A quand la dissolution des organisations secrètes de la Franc-Maconnerie !?! pic.twitter.com/7EjlKhR5nh— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) May 8, 2025
La démocratie n’a manifestement rien à faire là-dedans : elle n’est qu’un paravent.
C’est donc méthodiquement, et sous le couvert de la « liberté », du « progrès » ou de la « laïcité » que la France qui nous vient du fond des âges – une France enracinée et chrétienne – a été démontée pièce par pièce. La même entreprise s’est reproduite en tout pays, en Occident.
Il est plus que jamais nécessaire de découvrir qui sont nos adversaires, de connaître leur histoire, leurs symboles, leurs méthodes, leurs supercheries (car dans l’art de la manipulation, ils n’ont pas d’égaux), et de comprendre quels sont leurs objectifs.
La Franc-Maçonnerie : religion de la mort
Peut-être que certains jugeront ces propos excessifs. Mais qu’ils prennent le temps d’y réfléchir… Les premiers artisans du renversement de l’ordre ancien — les véritables précurseurs du “wokisme” — furent ces sociétés secrètes qui, dès leur origine, n’eurent de cesse de s’attaquer à tout ce qui fondait la civilisation française : l’Église, la monarchie, l’aristocratie… et même le peuple, qu’ils méprisaient, malgré leur prétendue défense de ses droits.
Derrière un vernis humaniste, la franc-maçonnerie n’a cessé d’œuvrer à la déconstruction —politique, culturelle, spirituelle – de la France et de l’Occident. La franc-maçonnerie a partout laissé sa trace dans les grands bouleversements qui ont affecté notre société et ruiné la morale commune : contraception, avortement, procréation assistée… et maintenant l’euthanasie ! Autant de lois sociétales promues, préparées, parfois même rédigées au sein des loges.
Le président lui-même, lors de son discours, a reconnu « l’apport majeur » des obédiences maçonniques dans la préparation du projet de loi sur « l’aide médicale à mourir ». Il ne s’agit donc pas d’une hypothèse complotiste : c’est la réalité. La franc-maçonnerie prend possession des esprits, mais aussi de la vie : elle légitime la disparition des plus faibles et des plus désespérés sous couvert d’altruisme face à la détresse humaine.
L’espoir : Jeanne d’Arc
« Gardons-nous, pérore le président Macron, de ceux qui veulent faire de la laïcité un instrument de repentance contre la République, ceux qui ciblent les excès de 1793, pour s’attaquer à l’héritage de 1789 ». Comme si les massacres la Terreur et des colonnes infernales n’étaient pas contenus dans ceux de l’été 1789, où déjà l’on jappait depuis les bancs de l’Assemblée, au sujet des premières victimes de la Révolution : « ce sang était-il donc si pur ? » Oui, et même si elle dévore ses propres enfants, « la Révolution est un bloc ». Un bloc suspendu au cou de notre pauvre pays qui roule vers l’abîme…
Mais gardons au cœur l’espérance.
En l’an 1429, quand pour notre France tout semblait perdu, une vierge des marches de Lorraine est venue, mandatée par le Ciel, retremper les volontés et conduire à la victoire la fille aînée de l’Église. Jeanne d’Arc est la vivante antithèse de Marianne la gueuse. Elle est aussi pour nous l’assurance que le Dieu de Clotilde n’abandonne pas les descendants des Francs. La sainte de la patrie nous montre la voie de l’authentique redressement national, à l’école de nos pères et dans l’ombre de la Croix. C’est sa mission posthume. En ce mois de mai, redécouvrons sa vie, prions-la et marchons à sa suite.
Source : Chiré
Il faut comprendre le S.I.P, c’est à dire la Subversion, l’Inversion et la Perversion. Prenons un Triangle, au sommet en A, il y a une poignée d’individus qui veulent une République Universelle et l’instauration du Noachisme, en B, nous avons la cible les élites traditionnelles qu’il faut « enjuivées » pour les amener à penser « Droits de l’homme » au lieu de « Droits de Dieu », c’est l’inversion et en C, nous avons le peuple « qu’il faut bien agité avant de s’en servir » (Talleyrand) et qui se pervertit progressivement par des lois infâmes qui changent progressivement sa mentalité par le « coup du voleur chinois ». Le poisson pourrit par la tête et ce sont les nobles eux-mêmes qui ont facilité cette Révolution « dite » Française, Louis XVI et ses deux frères étaient eux-mêmes FM (loge versaillaise des « Frères unis » qui existe toujours sous le nom des Frères Unis Inséparables ».
L’organisation, à laquelle on attribue la création de la République et les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité toutes les valeurs, mais où sont elles dans leur application.
Cette organisation fortement hiérarchisée est l’une des plus inégalitaires qui soient, a un pouvoir de verrouillage de la société hallucinant et effarant. Il y a eux… et nous…
Hélas, l’opinion publique dans notre pays n’a encore qu’une vision très vague, très floue de la franc-maçonnerie et de sa nocivité. Faites l’expérience de parler des francs-maçons ou simplement d’évoquer la franc-maçonnerie autour de vous : vous serez stupéfaits de l’ignorance à ce sujet de vos interlocuteurs.
Les Français ne savent pas ce que c’est que la franc-maçonnerie et n’ont aucune idée du tort qu’elle leur a causé et leur cause encore. Inconscients qu’elle a détruit la France, ils ne se doutent pas davantage qu’elle va bientôt la faire disparaître, et eux avec.
Je pose la question : qui est le plus coupable ? Ceux dont l’anéantissement de l’Occident et de sa civilisation était le but – but qu’ils ont scrupuleusement poursuivi, ou ceux qui en sont les victimes mais que leur bêtise pousse à élire invariablement des franc-macs ?