Marine Le Pen : échec manifeste de l’axe majeur de la dédiabolisation
Le séjour de Nicolas Bay, secrétaire général du Front National, dans l’entité sioniste du 23 au 26 janvier a été un échec patent. Ce qui était qualifié de visite « non officielle » pour « nouer ou renforcer des contacts avec un pays ami », s’est finalement soldé par ce qu’on pourrait qualifier de séjour touristique, l’intéressé n’ayant pu rencontrer que des interlocuteurs de seconde zone dont certains ont avoué ne même pas savoir qui il était après leur rencontre : Gavri Bargil, secrétaire général du mouvement Kibboutz et cofondateur du mouvement israélien pour la paix israélo-arabe, David Ish-Shalom, membre du comité central du Likoud, David Shayan, président des jeunes du Likoud, Arnon Afek, directeur général adjoint du ministère de la Santé ou encore le colonel Eyal Furman, le commandant médical du commandement du front intérieur… Et le gouvernement israélien a enfoncé le clou par un communiqué niant tout contact volontaire et officiel avec le Front National et affirmant avoir décliné les demandes de rencontre officielle avec le numéro trois du mouvement !
Mais signalons que Nicolas Bay aura au moins pu sacrifier au rituel de la pleurniche. Il s’est rendu au mémorial de Yad Vashem où il a porté la parole de soumission de Marine Le Pen au tabou des tabous imposé par le lobby du judaïsme politique depuis 72 ans : « Les camps ont été le summun de la barbarie ». Merde, quand même ! Comme dirait l’autre.
Ce énième échec de la courtisanerie de Marine Le Pen à l’égard de la communauté juive, qui tourne de plus en plus à la scène de drague éhontée, ne lui a pas suffi. Les humiliations répétées ne lui servant pas de leçon, elle a envoyé mercredi 8 février Louis Aliot et Gilbert Collard à un petit-déjeuner au restaurant Chez Françoise, à proximité de l’Assemblée nationale, à Paris pour la représenter à un événement organisé par la Confédération des juifs de France et des amis d’Israël (CJFAI).
Devant une trentaine de personnes, son président Richard Abitbol s’est félicité de provoquer, par ce rendez-vous, « une rupture avec un tabou dans la communauté juive de France ». En fait les dirigeants de la CJFAI veulent recevoir les candidats à l’élection présidentielle et ils commencent donc avec le Front National. En-dehors de Collard et Aliot, sont présents Nicolas Lesage, directeur de cabinet de Marine Le Pen, Jean-Richard Sulzer, conseillers économiques, et celui qu’on qualifie de « Meyer Habib du Front national » dans les couloirs du parti, Michel Thooris, le responsable de « l’Union des patriotes français juifs », pseudopode judéocentrique du FN.
Rappelons rapidement que Michel Thooris est un syndicaliste policier, proche de l’extrême droite israélienne, qui a pris à plusieurs reprises la défense de la Ligue de Défense Juive. Un ultra-sioniste, à l’occasion conseiller à la sécurité de Marine Le Pen, mais qu’elle a été malgré tout obligée de démentir « compte tenu du fait que les positions qu’il développe sur le plan géopolitique ne sont pas dans la ligne de la vision internationale du Front National ». Ce dernier affirmait à l’occasion de sa candidature aux législatives dans la circonscription des Français de l’étranger que « la défense des populations des régions juives de Judée et Samarie est au cœur de mon projet politique. (…) J’aurai à cœur de défendre dans l’hémicycle le Grand Israël et sa capitale éternelle, Jérusalem ». Il critiquait également la condamnation par la France de l’opération israélienne « plomb durci » à Gaza en 2008-2009, opération pourtant condamnée à l’époque par le FN, alors présidé par Jean-Marie Le Pen.
Mais revenons à ce petit-déjeuner de la Confédération des juifs de France et des amis d’Israël lors duquel Richard Abitbol a transmis à Marine Le Pen par l’intermédiaire d’Aliot et Collard ses félicitations sur le fait qu’elle ait « éliminé » son père Jean-Marie Le Pen du parti, sanctionnant ainsi « ses déclarations répétées sur la Shoah et le point de détail ».
Comme bien sûr cela ne suffit pas, Abitbol a exigé que Marine le Pen se désolidarise et renie « des gens peu fréquentables au FN, comme M. Chatillon ou des proches de Rivarol ». Ce à quoi se sont prêtés bien volontiers les deux compères, ne reculant devant aucune bassesse pour tenter de complaire à une des tentacules du lobby.
Gilbert Collard :
« Frédéric Chatillon, je ne le connais pas. Chaque fois que je le vois, je l’évite. Je crois savoir qu’il n’occupe aucune place dans les instances du Front. (…) J’ai une position très simple. Les gens qui sont discutables, je suis pour qu’on les vire. Chatillon, personnellement, (…) je vous mets au défi de me voir en sa présence quelque part. Il ne serait pas là, on se porterait beaucoup mieux. »
Louis Aliot :
« Frédéric Chatillon n’a aucune responsabilité exécutive ou administrative au sein du Front national. Il n’est pas au bureau politique, il n’est pas élu du comité central, il n’est pas au bureau exécutif. Il est un prestataire, un technique. On peut l’aimer, on peut ne pas l’aimer, je comprends. Il ne s’occupe pas des affaires internationales, il n’a pas son mot à dire dans notre politique internationale. S’il avait son mot à dire, est-ce que vous croyez que Marine Le Pen tiendrait le discours qu’elle tient ? Est-ce que Gilbert Collard aurait tenu à l’Assemblée nationale les discours qu’il a tenu ? »
« Il est un extérieur qui pose problème dans certains milieux, je le conçois. Mais il n’a, en tout cas pour moi, aucune influence dans la politique et dans l’idéologie politique qui sous-tend notre programme. Je veux que ce soit très clair. Je suis aussi un partisan de cette ligne-là. Je n’ai aucune sympathie pour un certain nombre de militants historiques de causes palestiniennes ou pro-palestiniennes, ou d’extrême gauche. Encore moins du révisionnisme historique, ou encore moins d’une tolérance quelconque par rapport au régime nazi. Il faut que ce soit très clair. »
Mais encore une fois, peine perdue ! Les centres névralgiques du judaïsme politique en France et en Europe ont immédiatement réagi à la réception d’Aliot et Collard par le CJFAI pour rappeler l’infréquentabilité imprescriptible du Front National pour la communauté organisée et toutes ses institutions.
En France, Francis Kalifat, président du Crif a ainsi donné une entrevue affirmant que la Confédération des Juifs de France et des Amis d’Israël est « une association nullement représentative ». Selon lui il ne s’agissait que « de la énième opération bien vaine du Front National pour séduire les Français Juifs » et « il se trouve parfois quelques marginaux en mal de reconnaissance pour les écouter » (ambiance communautaire…).
Il a confirmé le rejet par son lobby de « tout contact avec le FN, parti créé par d’anciens collaborateurs et des nostalgiques de Vichy et dont la présidente continue d’être conseillée par d’anciens membres du GUD (…) C est un parti à part entière mais son idéologie xénophobe, son histoire nauséabonde et la permanence en son sein de personnalités douteuses en font un parti infréquentable (…) Je demande que durant cette campagne aucun média juif ne cède à la tentation de leur offrir cette tribune et que le cordon sanitaire autour du FN soit strictement respecté ».
La sentence a été confirmée par des déclarations du président du Conseil des rabbins d’Europe, Grand rabbin de Moscou, le rabbin Pinchas Goldschmidt : « Vous me demandez si la plupart des Juifs quitteront la France en cas de victoire de Marine Le Pen, et je vous réponds – oui, ils le feront ». Il a expliqué le 8 février que la perspective d’une éventuelle victoire de Marine Le Pen à la présidentielle devrait préoccuper sérieusement les Juifs français, et qu’ils devraient se tenir prêts à quitter l’Hexagone dans un tel cas de figure…
Le lobby du judaïsme politique et son vassal, le système politico-médiatique, ne sauraient se satisfaire des gages qu’on leur donne, ils en veulent toujours plus. Si on leur complait en paroles, ils exigent que l’on courbe la tête, puis l’échine, puis que l’on se mette à genoux, et ainsi de suite. Jusqu’où Marine va-t-elle s’abaisser ?
Madame Marine, la patronne du « rassemblement rose marine » n’a vraiment pas de chance avec les Juifs. Eric Iorio, son ancien compagnon était un Juif, comme Louis Alliot, son actuel compagnon. tous les autres dirigeants du « rassemblement rose marine » sont des homosexuels, en particulier le célèbre Florian Philippot.
Bien décidée à ne pas voter pour Marine le Pen à la présidentielle, je me résous à changer d’avis si j’acquiers la certitude qu’une fois élue, la majorité des Juifs quitteront la France !
Quel site et commentaires de débile, les juifs vont partir on aura plus que des islamistes bravo 30% veulent la charia
Parce que votre projet c’est quoi ? Choisir entre soumission et soumission ? Hallal ou Casher ? Dhimmi du sultan ou larbin du judaïsme politique ?
Nous choisissons d’être maîtres chez nous !
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Plus on baisse la tête devant » eux » , plus on a de chance de se la faire couper ! ( les animaux que nous sommes selon eux et qui se couchent , auront le châtiment qu’ils méritent ) .
Je me demande pour quelle raison la Rédaction de J.N. et tous les commentateurs écrivent le mot « juif » avec une J en majuscule.
Je préférais qu’on me coupe une jambe qu’ écrire cet épouvantail avec un » J » majuscule. Question de patriotisme , résistance et de non-soumission.
Vive les Français de souche et la France Blanche et Chrétienne !
Je ne vois pas pourquoi les juifs partiraient de chez nous’ ,l
Ils sont chez eux ici la France est leur pays depuis plus de 1000 ans ,s’ils veulent partir ils partiront .!!!Beaucoup de français sont partis dans le monde !,,, et après chacun fait ce qu’il veut . Ils étaient là bien avant les musulmans !!!