GPTV – Mike Borowski reçoit Jérôme Bourbon
Un journal qui ne se couche pas, ça dérange. Depuis plus de 70 ans, Rivarol trace sa route hors des sentiers balisés. Pas de demi-mesure, pas de petits arrangements : la plume y reste libre, quitte à heurter.
Mais dans la France d’aujourd’hui, cette liberté se paie cher. Les autorités n’ont pas besoin d’interdire : elles étranglent. Plus de kiosques. Plus d’aides postales. Plus d’agrément. Les portes se ferment une à une, et laissent un journal vivre… jusqu’à ce qu’il s’effondre.
On appelle ça « lutter contre la haine ». En réalité, il s’agit de neutraliser toute parole qui sort de la ligne officielle. Peu importe qu’elle ait un lectorat fidèle : on lui coupe l’oxygène.
Dans cet entretien, Jérôme Bourbon raconte comment Rivarol est pris dans cette nasse administrative et financière, et pourquoi son combat n’est pas seulement celui d’un titre, mais celui de toute voix dissidente.
Sur GPTV – Géopolitique Profonde : un face-à-face sans filtre, sur la réalité du bâillon que l’on place sur la presse non conforme.
Loi européenne sur la liberté des médias (Disclose)
« Les États membres ne prennent aucune des mesures suivantes […] détenir, sanctionner, intercepter ou inspecter les fournisseurs de services de médias [….] », sauf si cela « est justifié au cas par cas par une raison impérieuse d’intérêt public ».
‘articles 3 (b) et 4 (c)’
Mon reproche à rivarol est qu il s adresse aux catholiques principalement …Certaines personnes comme Vincent Reynouard n ont plus vraiment droit de citer.
Terrible et consternant de constater que ceux-là même qui se plaignent d être des victimes parce que catholiques et nationalistes se permettent sans vergogne de menacer de suspendre leur abonnement lorsqu’une autre paroisse nationale ouvre son bec.