Un immigré mexicain habitant Chicago est entré par effraction dans un autre logement de la même ville. Y trouvant une adolescente probablement réveillée par son intrusion nocturne, il s’est exhibé devant elle avant qu’elle ne s’enfuie.
De nombreux parents – ou prétendus tels – mexicains et d’Amérique centrale, d’enfants qu’ils disent être nés aux USA demandent à l’État du Texas de leur fournir un certificat de naissance, alors qu’eux-mêmes n’ont pas de preuve à fournir pour démontrer ce qu’ils allèguent.
En Californie, un policier blanc a été tué lors d’un arrêt de la circulation. Le suspect retrouvé blessé après l’échange de tirs avec le deuxième policier présent est un Hispanique de 21 ans.
Alors que le geste du criminel n’a pas d’explication sinon une folie meurtrière, leurs médiats ne se sont guère indignés et aucune émeute avec pillage de magasins ni incendies criminels n’est à signaler.
À Chicago, un conducteur métis a embouti sa voiture, puis s’est déshabillé et a entamé une marche nu dans la circulation du vendredi. Elle a été interrompue le temps de l’embargo vers l’hôpital psychiatrique le plus proche.
Dans le quartier de Brooklyn, à New-York, un Africain de dix-huit ans est accusé de s’être introduit au domicile d’une femme de 82 ans, puis, la menace d’un couteau ne suffisant pas, de l’avoir boxée et cognée contre le mur afin de pouvoir la violer de deux manières différentes au cours d’une très longue agression. Précision importante pour leurs médiats, la dame, décrite comme brave, ce qui est un vrai compliment outre-Atlantique, serait la veuve d’un de ces innombrables miraculés de la Seconde Guerre mondiale, donc d’un homme probablement très très brave.
À Merrillville, dans l’Indiana, quatre Africains sont poursuivis pour le meurtre d’un homme de 55 ans qui partait travailler. Alors qu’ils volaient dans les voitures de son parking, ils ont vu leur victime dans son fourgon de travail. Ils l’ont tuée par balles avant de s’enfuir. Depuis le mois de mai, un seul des quatre fugitifs à été arrêté.
Un couple de jeunes Africains a vu les charges retenues contre eux aggravées, après qu’ils ont assassiné le conducteur de taxi qui les avait transportés entre Hopewell et Mechanicsville, en Virginie, puis mis le feu à son véhicule.
Une Africaine, qui a remporté plus de cent millions de dollars à la loterie nationale (88 nets de taxes), a été arrêté en compagnie de deux de ses congénères et de deux autres individus dont seul le nom a filtré, pour possession de stupéfiants à son domicile. La résidente avait annoncé qu’elle ferait profiter à tout le quartier de sa fortune, en particulier à l’église, et qu’elle économiserait pour les études de ses enfants, on peut donc supposer qu’elle a commencé son premier engagement. Quant à la possession d’arme, elle a été mise à la charge de son principal comparse, qui était déjà en liberté sous caution (trois millions de dollars versés la fois précédente), après une précédente affaire, et n’avait donc pas le droit de posséder une arme. Les trois jeunes enfants de ce dernier africain étaient présents dans la maison pendant que les adultes fumaient des drogues.
Courte vidéo des principaux accusés à l’entrée de la maison lors de leur arrestation.
WMC Action News 5 – Memphis, Tennessee
Enfin, leur ex-vedette africaine de télévision, Bill Cosby, qui a abusé sexuellement les femmes vulnérables ou jeunes et timides, en particulier blanches, qui travaillaient dans son entourage (voir l’article de Marie Mansard publié par Jeune Nation), se faisait prescrire des drogues, notamment, par un gynécologue qui a trempé dans de nombreuses affaires judiciaires aux USA, finissant par être suspendu de toute pratique médicale et aujourd’hui décédé. Outre que Leroy Amar (prénom de Noir, mais nom d’avant-gardiste) fournissait des produits dangereux à n’importe qui, il pratiqua des opérations de chirurgie esthétique qui se révélèrent désastreuses, opéra en l’absence d’anesthésiste, frauda massivement le fisc, etc.
Son client Bill Cosby profita du double effet d’un poison qui endort à petite dose (les victimes) mais est euphorisant s’il est pris en plus forte quantité (par l’agresseur). Cependant, il affirme ne l’avoir utilisé qu’avec des partenaires consentantes… ce même Bill Cosby qui conseillait, en 1971, aux enfants de dire non aux drogues… mais qui, lui, les utilisait pour commettre des viols !
Depuis le début des années 2000, le produit prescrit abusivement à Cosby, délaissé et souvent interdit, s’est répandu dans l’Afrique du Sud arc-en-ciel, où il est mélangé à d’autres drogues que leur libéralisme post-apartheid a permis d’y introduire en masse.
Et il y aurait de quoi nourrir une telle rubrique américaine haute en couleur chaque jour !