La Bulgarie a arrêté 500 attaques en un mois grâce à sa barrière anti-invasion

Selon le gouvernement d’occupation, comme le néodissident¹ Gérard Depardieu, il n’y aurait pas d’autre alternative pour les Français et les Anglais que de se laisser envahir, vague après vague, attaque après attaque.

Ce n’est pas, loin de là, le cas de tous. En Bulgarie, le gouvernement a annoncé avoir repoussé environ 500 attaques de colons grâce à une longue clôture installée à sa frontière. Longue de 80 kilomètres, haute de 4,5 et large de 1,5, la barrière est hérissée de fil barbelé et renforcée par des postes de contrôle, surveillée 24 heures sur 24 et sept jours sur sept par des gardes armés. En France, les policiers et militaires pourraient difficilement protéger la France et ses frontières, eux qui sont affectés à la surveillance des biens étrangers… Des caméras, y compris infrarouge, aident les forces de sécurité bulgares dans leur tâche.

La barrière couvre la totalité de la frontière entre la Bulgarie et la Turquie, pays qui, outre son soutien aux groupes terroristes islamistes, ne voit aucun inconvénient à voir l’Europe être envahie, notamment par des musulmans.

Au-delà de l’invasion, la barrière terrestre anti-invasion vise également à empêcher l’activité des groupes criminels qui s’enrichissent avec le trafic d’êtres humains. Les Bulgares évaluent qu’ils ont mis en déroute 500 attaques rien qu’au mois de juillet, évitant que des centaines d’allogènes supplémentaires n’atteignent l’Europe occidentale depuis la Bulgarie. Cela peut paraître peu au regard des dizaines de millions d’étrangers qui devront être expulsés d’Europe, mais c’est déjà significatif. L’action de ce pays est d’autant plus remarquable qu’elle n’est pas la destination des colons :

« Le but de ces migrants n’est pas la Bulgarie. Ils veulent souvent se rendre dans d’autres pays européens, comme la Grande-Bretagne. Ils nous utilisent comme un lieu de transit »,

a rappelé le chef de la police aux frontières bulgares Ivan Stoyanov.

Malgré ses efforts la Bulgarie ne recevra que 3 % des 2,4 milliards volés par l’Union européenne (UE) aux contribuables, quand des pays qui pour toute action facilitent et favorisent l’invasion percevront plusieurs centaines de millions d’euros.

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