28 juin 1944 : assassinat de Philippe Henriot par un commando de la « résistance »

Les lâches de la Résistance ont assassiné le plus grand orateur français du XXe siècle, le terme orateur est aujourd’hui un peu galvaudé et il a perdu l’acception noble qu’il avait dans l’Antiquité. L’orateur était tout simplement l’honnête homme, l’homme universel. Cicéron dans le traité où il traite de la formation de l’homme universel, de l’honnête homme l’appelle De Oratore (« Au sujet de l’orateur »)
Philippe Henriot était le Démosthène français de l’Antiquité païenne et le saint Jean Chrysostome (bouche d’or en grec), le saint Pierre Chrysologue (voix d’or en grec), le saint Jean Damascène surnommé aussi Chrysorroas (voix ruisselante d’or) de l’ Antiquité chrétienne. Philippe Henriot était en outre un homme d’une grande élégance, d’une rare douceur, d’un commerce exquis, d’un goût éprouvé, d’une grande modestie chrétienne, un exemple, un homme total unissant en lui l’excellence païenne et l’humilité chrétienne. Avant n’était pas toujours mieux comme on dit, il était bien supérieur à Cicéron et à Démosthène, car il était Démosthène et saint Jean Chrysostome à la fois.
Il a malheureusement choisi le mauvais camp, car depuis 70 ans on souille sans cesse sa mémoire en le faisant passant pour le coryphée des traîtres et des parjures, ses Zoïles stipendiés sont très nombreux, ils ne manquent jamais une occasion de vomir sur lui.

Que la vermine, la pouillerie de la Résistance, gaullistes, communistes, etc., et leurs épigones actuels se disent que ce meurtre sera un jour vengé. On ne peut pas toujours déférer au précepte évangélique. La vengeance païenne, noble fille de la Haine, rétablit l’équilibre cosmique, le pretium sanguinis. Les Grecs l’avaient symbolisée par des déesses, les Erinyes, les Euménides, les Romains par les Furies. Un jour elles feront leur oeuvre et puniront les héritiers de la main scélérate qui a assassiné Henriot.