La panique s’aggrave chez les religionnaires de la sacro-sainte Shoah.
En un premier temps, les affirmationnistes (ou affirma-sionistes) ont tenté de répondre aux révisionnistes sur le plan de la raison, des arguments et des preuves. Mal leur en a pris. Pour eux le résultat a été désastreux et humiliant (voyez L’inéluctable victoire finale du révisionnisme, 8 novembre 2017).
En désespoir de cause, il leur a fallu se rabattre sur un battage accru de leur propagande et sur une aggravation de la répression judiciaire contre les révisionnistes qualifiés, pour la circonstance, de « négationnistes ».
Depuis peu ce battage prend une telle intensité qu’il en devient grotesque et parfaitement lassant.
Finis les ouvrages d’apparence historique. On en appelle aux « romans vrais et même plus vrais que la vérité objective » car « le “mensonge” de la littérature est parfois plus vrai que ne le suggérerait la réalité immédiate » (Norman Manea, écrivain roumain, rendant compte, sous le titre « Les ombres de Trieste », du livre du romancier italien Claudio Magris, Classé sans suite, dans Le Monde (10 novembre 2017, p. 1-2 du supplément littéraire).
A la place de l’histoire, nous voilà avec des histoires soit d’exterminés réincarnés, soit de rescapés miraculés.
Ces romanciers et ces témoins qu’on nous présente comme animés d’un fol courage osent affronter le spectre du nazisme et le couvrir de crachats, de rinçures, de caca fumant. Tout cela, bien entendu, en lançant des appels à la vengeance.
En réalité, on se paie la tête du bon client mais en prêtant l’oreille au tintement de la sébile.
La tragi-comédie se joue matin, midi, le soir, la nuit, jour après jour, année après année. A l’école, au collège, au lycée, à l’université, à la radio, à la télévision, dans les journaux, surtout dans Le Monde et dans le New York Times. Le spectacle se donne à la synagogue, à l’église, au temple, dans les loges, les convents, les conventicules et même au Vatican.
Il ne s’agit plus pour le monde entier, à commencer par le monde occidental, que de marcher et de courir au pas de la Shoah, à pied, à cheval, en voiture. En train, en avion, en pousse-pousse.
Robert Faurisson
Source : http://robertfaurisson.blogspot.fr/
Le château de six millions de cartes commence enfin à vaciller, grâce à vous Mr Faurisson.
Nous avons à faire face à une véritable religion qui est celle du mondialo-noachisme envisagée au XIXème siècle par le rabbin Elie Benamozegh. Il n’y a rien d’étonnant alors que l’église catholique infiltrée par des judéo-bolchevics comme l’historien Jules Isaac, le cardinal Beat, le cardinal Lustiger et bien d’autres, aient promulgué à la fin du concile Vatican II, la déclaration subversive « nostra aetate » réhabilitant le judaïsme dans la doctrine chrétienne avec à la clé la reconnaissance de la « Shoah » comme dogme à faire reconnaître si possible canoniquement.
Pour les « affirmationnistes », rien ne pouvait être plus extraordinaire que de pouvoir enfin disposer dans la religion mondialiste d’une transcendance qui leur manquait, et cela sans rechigner un seul instant devant le plus grand mensonge au prix des plus graves calomnies et diffamations.
La vérité semble vouloir sortir en ce moment et il faut l’y aider. C’est comme cela que nous libérerons nos anciennes nations d’une fausse paix que l’on nous a laissé planer depuis le procès d’exception de Nuremberg et qui a été le prétexte de nous trainer en bateau pour nous tromper afin de bloquer à la base toute résurgence patriotique.
Maintenant, la crise mondiale s’accentuant de tous les côtés, des esprits qui n’ont plus rien à perdre se lèvent contre vents et marais, et finiront par faire éclater au grand jour cette horrible imposture mortifère.