Salutations,
C’est le troisième des poèmes de Brasillach que je mets en musique, et j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres tellement je suis fascinée par l’incroyable beauté des vers, la sublime architecture de ces poèmes.
Encore un « psaume » donc, le quatrième cette fois, poignant appel au Seigneur en face de tout ce sang qui coula pendant la guerre, et qui coule encore aujourd’hui de tous nos enfants disparus. Comme de coutume, la musique, enregistrement et interprétations sont de moi-même accompagnée de mon violon. En attendant une meilleure qualité qui viendra bientôt !
Hauts les coeurs !
Fleur d’Epine
Source : Fleur d’Epine
Superbe, félicitations , mais où peut-on trouver ces textes du poète assassiné, car j’entends mal et je n’arrive pas à distinguer les paroles .
Quelles sont ces tombes non identifiées? Des malheureux abattus à a libération?
Bone journée .
Merci beaucoup !
Les paroles sont en description de la vidéo sur Youtube – le sous-titrage a malheureusement pris du retard, mais je dois le mettre bientôt en ligne. Mon enregistreur n’est pas encore assez perfectionné pour qu’on saisisse bien tout ce que je chante malheureusement, mais un album est à paraître ou l’on comprendra tout.
Les tombes sont symboliques, cette séquence est libre de droit sur internet et je l’ai utilisée pour faire ressortir les paroles parlant du sang de ceux qui tombèrent pour la Patrie et des anonymes enfants qui meurent aujourd’hui.
Le poème est tiré du recueil des Poèmes de Fresnes qui est édité aux Editions des Cimes.
Merci à « Fleur d’Epine ».
Mais, pour les puristes, Jean-Paul Lo Cicero; dans les années 1960, à mis en chansons et enregistré, dans un disque édité par la SERP de Jean-Marie Le Pen, pas moins de 14 « poèmes de Fresnes » de Robert Brasillach.
Avec un aspect authentique résultant de l’incarcération de ce même Lo Cicéro par le même de Gaulle et dans les mêmes bastilles gaullistes, 18 ans après Brasillach, à l’occasion des derniers combats contre la trahison gaulliste ayant entrainé la livraison aux pro-soviétiques de notre Algérie Française.
Une authenticité difficilement égalable, dans la mesure ou pas plus Lo Cicéro que Brasillach n’ont écrit ou composé à la terrasse d’une brasserie de Saint-Germain-des-Prés, mais du fond de leurs cellules, le dernier quelques jours avant son assassinat par les Gaullistes !
Pour un authentique militant nationaliste, relire par exemple « Les noms sur les murs » de Brasillach n’a pas d’équivalent.
Acheter, dans une de nos librairies bien-pensantes, « Les poèmes de Fresnes » que nous avait fait lire, à l’époque, Jacques Sidos, fut l’une de mes premières préoccupations lors de ma libération des geôles gaullistes en 1965.
C’est l’une des lectures fondatrices de l’esprit militant !
Merci à vous pour ces précieuses informations ! Vous attisez ma curiosité avec ce disque, et s’il est trouvable par quelque moyen que ce soit je l’écouterai avec plaisir.
Signe d’un très grand poète, les musiciens ont envie de chanter Brasillach… et de lui offrir des notes en échange.