On mesure avec cette crise du Covid tout le chemin de décadence parcouru par l’Occident en moins d’un siècle. Un constat s’impose d’entrée, jamais dans toute l’histoire de l’humanité, autant de gens ne se seront laissé emmerder à ce point par la connerie obstinée de si peu, membres du gouvernement ou du « Conseil » soi-disant scientifique.
Rappelons-nous du « We shall fight on the beaches »
« …. Nous irons jusqu’au bout, nous nous battrons en France, nous nous battrons sur les mers et les océans, nous nous battrons avec toujours plus de confiance ainsi qu’une force grandissante dans les airs, nous défendrons notre Île, quel qu’en soit le coût, nous nous battrons sur les plages, nous nous battrons sur les terrains d’atterrissage, nous nous battrons dans les champs et dans les rues, nous nous battrons dans les collines ; nous ne nous rendrons jamais … »
Rectificatif : il n’y a plus personne sur les plages, il n’y a plus personne dans les aéroports, il n’y a plus personne dans les champs et dans les rues, il n’y a plus personne non plus sur les collines et il est clair que si le virus pouvait accepter une reddition sans condition, quel qu’en soit le coût, nous l’aurions déjà signée à genoux des deux mains.
Mais comme un virus ça ne signe rien, nous voilà tous terrés depuis bientôt un an, et ce n’est pas la fin, ce n’est même pas le commencement de la fin et ce n’est peut-être même pas la fin du commencement…
Quoi que si, finalement, un tel comportement apeuré de la part de notre population indique clairement que c’est le début de la fin : vous avez voulu choisir entre le virus et les barbares, vous aurez et le virus et les barbares !
Francis Goumain
Le covid dans les W.C.
Dans la famille coronavirus, on doit bien rigoler de l’importance démesurée, mondiale, qui lui est donnée. Et ceux qui ont manigancé tout ça encore plus.