Durant les premières semaines de la bataille de Madrid (novembre-décembre 1936), lors de la guerre d’Espagne, les bolcheviques Républicains espagnols se lancent dans des massacres de masse de leurs prisonniers politiques, suspects d’approuver le soulèvement nationaliste du 18 juillet 1936.
Les faits se produisent à la suite du transfert de prisonniers de plusieurs prisons madrilènes, entre le 7 novembre et le 4 décembre 1936, alors que les combats entre nationalistes et républicains font rage pour le contrôle de la capitale espagnole. Les assassinats ont lieu dans la banlieue de Madrid, près du ruisseau San José, à Paracuellos de Jarama, et dans le bois d’Aldovea, à Torrejón de Ardoz. C’est l’un des épisodes les plus notoires de la terreur rouge espagnole.
Le responsable principal de ce massacre est le communiste Santiago Carrillo, qui deviendra secrétaire général du Parti communiste d’Espagne (PCE) en 1960. Il était alors le responsable de l’ordre public dans le Comité de défense de Madrid du 7 novembre au 24 décembre 1936. L’ordure a fuit, à la fin de la guerre, et il est mort sans être jugé.
On retrouve parmi les prisonniers victimes : des militaires, ayant participé au soulèvement militaire des 17 et 18 juillet, ou n’ayant pas rejoint les forces de défense de la République, des phalangistes, des religieux, prêtres surtout, des militants de droite, des bourgeois et d’autres personnes arrêtées car suspectes d’être favorables aux militaires insurgés. Si certains d’entre eux avaient effectivement pris part au soulèvement, la majorité d’entre eux ont cependant été arrêtées sans motif et assassinés sans avoir été jugées.
Il s’agit du plus grand massacre réalisé pendant toute la guerre civile espagnole dans l’un ou l’autre des deux camps. Le nombre de victimes de ce massacre s’élève autour des 8000 à 10 000 personnes.
À la fin de 1936, le docteur Georges Henny, représentant de la Croix-Rouge, décida de faire un rapport sur les massacres et de le communiquer à Genève. Mais lors de son retour, son avion fut abattu le 8 décembre par les pilotes soviétiques Nikolaï Chmelkov et Gueorgui Zakharov, qui combattaient dans l’aviation républicaine.
L’ordre avait été donné par Alexandre Orlov (Lev Lazarevitch Feldbine alias Alexandre Mikhaïlovitch Orlov ou Lev Lazarevitch Nikolski, ou encore Igor Berg ou William Goldin), juif, agent du NKVD de Staline, afin que personne ne prenne connaissance des agissements du « Frente Popular » en Espagne.
Oui mais ne vous en faites pas, le gouvernement espagnol vient d’interdire tout symbole faisant référence au phalangisme, au franquisme et à l’idéologie nationale syndicaliste en général, on n’en a pas fini avec les rouges… VIVA CHRISTO REY ⬛⬛ ♂️