Patton confiait à son entourage de l’état-major en Allemagne son intention de démissionner. Il ne voulait pas demander à partir à la retraite – ce qui lui aurait permis de toucher sa pension – il voulait démissionner en sorte de n’être pas tenu par le devoir de réserve. Patton avait sa propre fortune qui lui permettait de se passer d’une retraite. En démissionnant, il restait libre de donner sa version de la guerre et de dire la vérité telle qu’il la voyait. Patton était au courant de certains secrets et aurait pu faire des révélations sensationnelles qui n’auraient pas manqué de faire les gros titres. Sa version des faits aurait fait l’effet d’une bombe. [25] Mais Patton ne rentrera jamais aux États-Unis, empêché par un grave accident de la route survenu le 9 décembre 1945 vers 11h45…
Emmené d’urgence à l’hôpital militaire d’Heidelberg, il présentait de nombreuses plaies au visage et avait la nuque brisée. Bien que resté dans un état critique pendant plusieurs jours, complètement paralysé à partir des épaules, il se remettait suffisamment bien pour qu’on envisage de le rapatrier par avion et qu’il puisse passer Noël chez lui. Et puis, la veille de son départ pour l’Amérique, son état s’aggravait de nouveau brusquement: il éprouvait de grandes difficultés respiratoires dues à une embolie pulmonaire provoquée par des caillots de sang et tombait dans le coma. Il décède à l’hôpital le 21 décembre 1945. [26]
Bien que son médecin l’ait demandée, aucune autopsie n’a été pratiquée. Son épouse s’y serait opposée au motif qu’il n’y avait pas de personnel disponible suffisamment compétent, ou en tout cas pas avec l’autorité et l’indépendance requise au vu des circonstances. [27]
Selon toutes vraisemblances, il s’agissait d’un assassinat. L’accident avait été provoqué par un camion militaire GMC de deux tonnes cinq qui venait en sens inverse et qui brusquement avait tourné sous le nez de la voiture de Patton. Son chauffeur n’a eu que le temps d’appuyer sur le frein tout en tournant le volant vers la gauche, mais en vain, la voiture heurtait le camion presque de face. Bien qu’il soit totalement en tort, le chauffeur du camion parvenait à s’esquiver en compagnie des deux passagers du camion sans qu’on puisse identifier personne. [28]
Si le camion avait voulu viser la voiture de Patton, il ne s’y serait pas pris autrement, le chauffeur n’avait aucune raison valable de s’engager ainsi d’un coup sous le capot de la voiture. Douglas Bazata, un ancien de l’OSS, déclarait dans une interview au Spotlight en octobre 1979 que l’accident avait été simulé par une de ses connaissances dont il tairait le nom. Comme l’accident n’avait pas suffi, on avait eu recours pour achever Patton à l’hôpital – toujours selon les confidences recueillies par Bazata – à «une forme raffinée de cyanure, capable de provoquer des embolies, des arrêts cardiaques et tout ce genre de truc». Selon le personnel de Spotlight, tous les dires de Bazata avaient été passés au détecteur de mensonges. [29]
Par la suite, Bazata fut interrogé par un historien américain, Robert Wilcox. Lors des entretiens, il reconnaissait avoir monté l’accident en collaboration avec un autre agent. S’approchant de l’épave après le choc, Bazata aurait tiré à bout portant sur Patton un projectile spécial dont les blessures ressemblaient à celles d’un accident (et non à celles qu’aurait causées une balle classique). La force du projectile était similaire à celle qui aurait pu provoquer un «coup du lapin» à une vitesse comprise entre 130 et 160 km/h, d’où la paralysie générale de Patton. [30]
Mais Bazata précisait que si lui et son acolyte s’étaient bien rendus à l’hôpital avec le poison pour finir le travail, ils n’avaient pas pu arriver jusqu’à Patton. Ce n’est donc pas lui l’auteur de l’empoisonnement et il pouvait donc affirmer en toute honnêteté ne pas être celui qui avait tué Patton. [31]
Ci-dessus : à la tête de ses troupes en pleine guerre, Patton s’était acheté ce petit chiot, un bull terrier anglais qu’il a appelé Willie. Willie était réputé pour suivre Patton un peu partout, en Angleterre, on les voyait rarement l’un sans l’autre. Selon certains récits, Willie précédait son maître en entrant dans une pièce ce qui mettait tout le monde au garde-à-vous. La photo montre Willie couché près des affaires de Patton quelques jours après sa mort.
Conclusion
Rick Atkinson estime à juste titre que Patton était une figure complexe. Un mystique qui croyait à la réincarnation et en son pouvoir de prémonition tout en étant par ailleurs un fervent épiscopalien. Son grand principe de guerre, c’était l’attaque à outrance partout et avec tout ce qu’on avait sous la main, ce qui ne l’empêchait pas de considérer que les tapis de bombes sur les villes allemandes étaient complètement inutiles et purement sadiques. Patton était cultivé, parlait couramment français et était à l’aise dans les salons les plus huppés, mais il pouvait aussi se montrer grossier, voire franchement cru et faire honte en société. [32]
À George Marshall, Eisenhower disait à son sujet: «Patton est un enfant terrible, mais il n’a pas son pareil dans la poursuite et l’exploitation». Il en parlait aussi volontiers comme d’un «officier mentalement déséquilibré». [33] Cette tendance à présenter Patton comme un déséquilibré, un instable pathologique, persiste encore de nos jours. Par exemple, un biographe, Ladislas Farago, considérait que si «Patton n’était pas vraiment fou, il était du moins sérieusement névrosé», de son côté, Edward Lengel, un historien militaire, le qualifiait de «fou génial». Un livre récent, Patton’s Madness, va même jusqu’à le passer au crible du Vidal de la psychiatrie. [34]
L’auteur arrive cependant à la conclusion que Patton était parfaitement sain d’esprit. Mais pareil à Bobby Fischer, le génial joueur d’échecs, Patton était considéré comme fou parce qu’il dénonçait publiquement la politique pervertie des dirigeants de son pays. Il ne faisait cependant qu’agir en véritable Américain, cherchant après-guerre à empêcher les mauvais traitements infligés aux Allemands et à prévenir la mainmise des Soviétiques sur l’Europe de l’est.
Traduction : Francis Goumain
[Note FG: Petite réserve sur ce scénario pourtant bien sourcé: il faut être gonflé pour jouer à l’accident, même camion contre voiture, on n’est pas sûr de sortir soi-même indemne – même en tenant compte du fait que le choc n’a pas dû être si violent que ça puisque ce n’est pas lui qui a brisé la nuque du général]
Source : Prevented From Conquering Europe: General George S. Patton, Jr. – WEARS WAR
Notes :
[25] Wilcox, Robert K., Target: Patton, Washington, D.C.: Regnery Publishing, Inc., 2008, p. 12.[26] Ibid., pp. 16, 20, 50.
[27] Ibid., pp. 17, 205.
[28] Ibid., pp. 18-21.
[29] Ibid., pp. 49-51.
[30] Ibid., pp. 63-66.
[31] Ibid., p. 67.
[32] Patton, George S., War as I Knew it, New York: Houghton Mifflin Company, 1995, pp. xi-xii.
[33] Ibid., p. xii.
[34] Sudmeier, James L., Patton’s Madness: The Dark Side of a Battlefield Genius, Guilford, CT: Stackpole Books, 2018, p. xiv.
à garder de côté, le journaliste Walter Liggett tué par Isadore Blumenfield (qui ne sera pas condamné) – ne pas s’attendre à une émission d’Arte sur le sujet:
1935: In Minneapolis, Minnesota, investigative journalist Walter Liggett is machine-gunned to death in front of his wife in an alley behind his home by Jewish organized crime boss (and Meyer Lansky associate) Isadore Blumenfield. Liggett had been publishing exposés of Blumenfield’s control and corruption of Minnesota politics, especially of the Farmer-Labor Party which Liggett and Charles Lindbergh, Sr. had helped to found two decades earlier. The Jewish gang attempted to frame Liggett on sex crime charges when bribes didn’t work, then threatened him with death if he didn’t stop publishing his articles. The corrupt courts failed to convict Blumenfield, despite decisive evidence showing that he was Liggett’s murderer.
Certes mais le fait de l’associer à Meyer lansky ne veut absolument rien dire. La maffia juive n’était pas une entité homogène mais formé de plusieurs clans qui parfois travaillaient ensemble. Moe Dalitz qui fut le plus grand maffieux de tous et celui qui a le mieux réussi dans la vie (il possédait un des casinos à Las Vegas et vous pouvez le voir sur des photos à côté d’Elvis Presley qui chantait régulièrement dans son casino) n’ a jamais travaillé avec Lansky, sans doute aussi pour pour des raisons géograhiques. Contrairement à ce que bcp de gens pensent Meyer Lansky n’a jamais été le boss absolu de la maffia juive puisque cette appelation ne veut absolument rien dire. Même lorsqu’il était à Cuba qui fut sa période la plus faste, il n’était pas le boss absolu mais celui qui réprésentait les intérêts de différents clans maffieux y compris italiens (Sammy Trafficante et consorts). Et concernant Moe Dalitz, c’est naturellement son clan (Sam Tucker, Morris Kleinman,…) qui eurent le plus de succès dans la vie en tant que maffieux. Moe Dalizt n’en que fut la figure de proue. Quand on parle de boss absolu, il faut faire allusion à Lucky Lucianno.
Dans le même genre, ne pas oublier Abe Reles
1930: In the most famous disappearance case in American history, New York State Supreme Court Judge Joseph Force Crater steps into a taxi in New York and disappears, never to be seen again. “Whatever happened to Judge Crater?” and to “pull a Judge Crater” soon became part of the American lexicon. Long considered an unsolved case, in 2005 letters were found from NYPD detective Robert Good, which stated that Crater was killed by Charles Burns, an NYPD officer working under the orders of Abe Reles, a Jewish mobster who was the main “enforcer” for the Jewish organized hit squad called “Murder, Incorporated.”
Il y a aussi Benjamin « Bugsy » Siegel et Frank « Lefty » Rosenthal
Meyer Lansky n’a jamais été le boss absolu de la maffia juive puisque cette appellation ne veut absolument rien dire…
Que veut dire « ne veut absolument rien dire »? Que voilà bien un argument bizaroïde… Bien sûr que Lansky était la tête, c’est indiscutable; mais c’est vrai, ça ne veut pas dire que toutes les branches mafieuses étaient synchronisées… Ce n’est pas comme ça que ça marche…Bref, Lansky a collaboré avec l’armée US pour la surveillance des docks, comme Luciano a collaboré pour le débarquement en Sicile… Le premier était un juif d’un niveau de crapulerie dépassant celui du second qui lui, n’était pas juif… Tout cela n’est que sac d’embrouilles et nous éloigne du sujet, Patton, qui a bel et bien été assassiné par la jxxxxxxe, tout comme Kennedy d’ailleurs…
Calme, calme. Je m’intéresse à la prohibition depuis que j’étais jeune. De mon bled natal, je partais, à Bruxelles, acheter ou commander des livres dans la seule librairie anglophone (Waterstones) qui y avait à ce moment là. Pour les livres qui n’étaient plus disponibles, il fallait remplir un formulaire et parfois attendre pendant des mois avant que livre en question arriva à la poste. C’était avant l’âge d’internet. Quand on a lu tant de livres au sujet de la prohibition et la mafia on arrive un peu à faire la part des choses. J’ai payé « des fortunes » à l’époque pour des biographies de Johnny Torrio, Arnold Rothstein et Frank Costello. Le livre de Robert Lacey au sujet de Meyer Lansky et qui ne verse pas dans le sensationnel en ayant pris contact avec des membres de la famille de Lansky remet un peu les pendules à l’heure et permet de faire la différence entre ce que racontent les médias et son besoin insasiable de sensation et la réalité. La mafia, à l’époque, c’était un truc questions structures etc italien et non juif! D’ailleurs les Italiens étaient scandalisés que Lucky Lucianno fasse du biz avec des juifs. C’était nouveau à l’époque. Et dire que, comme le fait monsieur X, qu’il était un « associé » ne veut absoument rien dire puisque Lansky aurait fait des affaires avec tout le monde. Lansky n’a jamais été un chef mafieux, c’est les médias qui l’ont désigné ainsi, ce que dit même Bill Roemer; le seul agent du FBI qui l’a régulièrement pourchassé et le mieux « connu ». Bill Roemer était tellement connu par les mafieux que quand ils se faisent arrêtés par lui, ils lui demandèrent de pouvoir être pris en photo avec lui, ça ne s’invente pas! Concernant ta petite histoire que Lucianno aurait été un élément clave dans les préparitifs pour l’embarquement en Sicile. Certes, il y a une toute petite part de vérité mais le reste est surtout fort romantisé. Vous n’avez jamais un livre concernant tout ça et vous vous basez uniquement sur du hearsay (ouï dire).
Voir quand même ces deux articles:
Quand le Grand Rabbin d’Amérique recrutait Meyer Lansky pour tabasser des membres du Bund germano-américain
https://jeune-nation.com/kultur/histoire/quand-le-grand-rabbin-damerique-recrutait-meyer-lansky-pour-tabasser-des-membres-du-bund-germano-americain
et
États-Unis : la Médaille de la Liberté de Meyer Lansky vendue aux enchères
https://jeune-nation.com/actualite/geopolitique/etats-unis-la-medaille-de-la-liberte-de-meyer-lansky-vendue-aux-encheres
Et ça aussi, en anglais, et de source juive récente:
Tough Jews, Las Vegas, and the Legacy of Meyer Lansky (jewishjournal.com)
https://jewishjournal.com/commentary/339021/tough-jews-las-vegas-and-the-legacy-of-meyer-lansky/
Masters & commanders of the white World…
Eisenhower était un jswedish…
Pourquoi le général Patton a été assassiné
Eustache Mullins
Pourquoi le général Patton a été assassiné Par Eustace Mullins En décembre 1984, cela fera quarante ans que l’un des plus grands héros américains, le général George S. Patton, a été exécuté par ses ennemis communistes. Le général Patton a été abattu la veille de son retour triomphal aux États-Unis. Il venait d’être démis de son commandement de la troisième armée, qui était chargée de gouverner le secteur américain de l’Allemagne.
Parce qu’il s’opposait non seulement au démembrement de l’Allemagne, mais aussi parce qu’il était favorable à une action militaire contre les communistes. En tant que héros le plus populaire de la Seconde Guerre mondiale, Patton aurait été imbattable dans une course à la présidence. C’est la raison pour laquelle ses ennemis cachés ont ordonné son exécution avant qu’il ne puisse quitter l’Allemagne. The Patton Papers, récemment publié par Houghton Mifflin Company à Boston, donne de nombreuses raisons pour expliquer l’assassinat du général Patton. Quelques mois avant son assassinat, son chauffeur depuis cinq ans, le sergent-chef John L. Mims, a été remplacé. Le major général Gay avait demandé à Patton de l’accompagner pour une excursion de quelques heures la veille de son retour en Amérique. À 11 h 45, par temps clair et ( Page 2 )…
Le 31 août 1946, Patton note dans son journal : « J’ai également écrit une lettre au secrétaire à la Guerre, M. Stimson, sur les questions de l’influence pro-juive dans le gouvernement militaire de l’Allemagne ». En raison de l’opposition de Patton aux Kissinger, qui pensaient avoir gagné la guerre et devaient régner sur l’Europe, une campagne de presse furieuse fut à nouveau lancée contre lui. Un observateur pro-Patton nommé Mason écrivit : « Le complot Daniell-Bevin-Morgan visant à détruire Patton a réussi parce que Bernstein de la PM était la force la plus puissante en Allemagne en 1945, car il avait le soutien de Harry Dexter White, Henry Morgenthau, Laughlin Curry, David K. Nile et Alger Hiss ».
Il écrit à sa femme le 29 septembre 1945 : « Les bruits qui courent contre moi ne sont que le moyen par lequel les Juifs et les communistes tentent, avec succès, de poursuivre le démembrement de l’Allemagne ».
Déchu de son commandement par le complot juif contre lui, le général George S. Patton va devoir retourner aux États-Unis pour travailler au bien de son pays. C’est pour l’en empêcher qu’un camion a défoncé le côté de sa voiture, dans l’un des événements les plus étranges et les plus ignorés de l’histoire militaire américaine…
Le danger que représentait Patton pour ses ennemis ne tenait pas seulement au fait qu’il était un grand patriote américain, mais aussi au fait qu’il était imperméable à toute forme d’influence indue. Il avait épousé Beatrice Ayer, l’une des femmes les plus riches d’Amérique. Cela le rendait financièrement invulnérable, et il était heureux en ménage, ce qui l’empêchait de succomber aux sollicitations d’agents étrangers tels que Kay Summersby.
Il s’oppose aux Juifs et aux communistes, non seulement parce qu’ils sont des ennemis de l’Amérique, mais aussi parce qu’ils représentent un ordre inférieur d’êtres humains. Il fait référence au fait que le Juif est un Asiatique, dépourvu de tout sentiment pour la vie humaine. Peu avant d’être tué, il écrit dans son journal, le 1er octobre 1945 : « LE JUIF, TYPE DE PERSONNE DÉRANGÉ (DISPLACED), EST, DANS LA MAJORITÉ DES CAS, UNE ESPÈCE SUBHUMAINE DÉPOURVUE DE TOUT RAFFINEMENT CULTUREL OU SOCIAL DE NOTRE TEMPS ».
Dans son journal, le 29 août 1945, Patton écrit : « Aujourd’hui, nous avons reçu une lettre dans laquelle on nous demande d’accorder des aménagements spéciaux aux Juifs. Si c’est pour les Juifs, pourquoi pas pour les catholiques, les mormons, etc. Le 31 août 1945, Patton écrit à sa femme. « LES ARTICLES SUR LA FRATERNISATION PARUS DANS LES JOURNAUX NE SONT QUE DE LA POUDRE AUX YEUX. TOUTES CES CHOSES SONT ÉCRITES PAR DES JUIFS POUR SE VENGER. EN RÉALITÉ, LES ALLEMANDS SONT LES SEULES PERSONNES HONNÊTES QUI RESTENT EN EUROPE. ( Page 6 )
Why General Patton Was Murdered
Eustace Mullins
(voir web, pdf)
Bien sûr, rien ne vaut l´original pour traduire la pensée de Patton… Que le drame de Gaza nous ouvre tous les yeux et le coeur et nous remplisse de courage face à cette hydre, ce monstre qui agit dans l´ombre depuis si longtemps. Que la vérité, les faits, la parole soient les flèches emflammées l´oblige à sortir de son antre, à se montrer au grand jour… à l´instar d´Heracles dans sa lutte contre l´hydre de Lerne et sa victoire, symbolisée dans l´arcane XI du Tarot de Marseille, La Force*.. . Ce n´est pas par la force brute que la tête immortelle, le Mal per se, pourra enfin être tranchée et à nouveau disparaitre sous un rôcher… jusqu´à la prochaine fois… En effet, il semblerait que l´histoire se répète pour qui ne la connait pas…. La source de la « mythologie grecque » est plus ancienne que la civilisation grecque elle-même… Pourquoi « mythologie » ? Que nous cache-t-on ? Hercule nous montre la voie… Viendra ensuite le nettoyage des écuries d´Augias…
* La Force, portant le numéro XI dans le Tarot de Marseille, symbolise le courage, la maîtrise de soi, et la force intérieure. Cette carte est souvent représentée par une femme tenant doucement la gueule d’un lion, illustrant la force non pas comme une puissance brute, mais comme un contrôle calme et assuré. La Force suggère la capacité de surmonter les obstacles et les défis par la persévérance, la patience et la compréhension. En lecture de tarot, elle indique la nécessité de faire face aux problèmes avec courage et confiance en soi. Cette carte représente aussi la maîtrise des passions et des instincts, encourageant à canaliser l’énergie brute de manière constructive. La Force est un rappel de la puissance de la volonté et de l’esprit, montrant que la vraie force réside dans la capacité à rester calme et composé dans des situations difficiles. Elle peut également symboliser la résilience et la capacité à transformer les défis en opportunités de croissance. Dans un tirage de tarot, La Force est un signe encourageant, indiquant que la persévérance et la détermination mèneront à la réussite et à l’épanouissement. Elle rappelle l’importance de l’auto-discipline et de la confiance en soi pour surmonter les obstacles et réaliser ses objectifs = la paix.
Commentaire sur la note de FG
Au contraire, Il ne semble pas très risqué pour le conducteur d’un camion, assis plus haut et 2-3x plus lourd de provoquer un accident, qui au vu des images et des dégâts, n’a pas du arriver à si grande vitesse.
Car la logique du recit veut que cet accident ne fut que le le moyen d’arrêter la voiture, puisque quel que soit le résultat, il était prévu de finir le travail avec l’arme spéciale simulant le coup du lapin…