La haine contre l’homme Blanc, contre l’Aryen, vient de monter d’un degré. Tout se passe comme si l’épisode du confinement n’avait pas assez abaissé les peuples d’Europe, et les Français en particulier, les transformant en troupeaux de « covidés », comme si le devoir de repentance perpétuelle que le judaïsme politique et la maçonnerie veulent imposer à l’Homme blanc, ne suffisait pas. Courant juin 2020, une campagne de haine sans précédent contre notre histoire, notre civilisation, notre race blanche et européenne a été lancée, en instrumentalisant la mort malheureuse de l’Afro-américain multirécidiviste George Floyd, lors d’un contrôle policier à Minneapolis aux Etats-Unis, parce que la victime était un Noir et le policier, un Blanc. Instrumentalisation d’ailleurs grossière car, selon les statistiques états-uniennes en 2019, sur un total de 1004 personnes tuées par la police, 238 étaient Noires et 370 Blanches. Selon le Washington Post, en 2015, 50 % des victimes de fusillades policières mortelles étaient des Blancs, 26 % étant des Noirs.
Ce mouvement antiraciste, mais à vrai dire de racisme contre les Blancs, nourri de la énième dénonciation de l’esclavage commis par les Européens – mais ignorant la traite négrière millénaire menée par les arabo-musulmans -, a gagné le monde entier (même le Japon !) sous l’action d’officines à la Georges Soros et plus particulièrement la France sous l’invocation d’un certain Adama Traoré, par ailleurs au casier judiciaire chargé, mort à la suite d’un contrôle de gendarmerie qui lui non plus n’avait rien de raciste, deux des gendarmes étant Antillais.
Que cette haine existe et aille croissant est une donnée objective dont nous devons prendre acte. De tout temps, l’Europe a été une forteresse assiégée et a dû combattre ses ennemis. Mais la donnée nouvelle et gravissime est que les défenses immunitaires du monde Blanc sont entamées. Nombre de nos congénères, au lieu de réagir dans une action de rejet résolue de l’attaque portée contre eux, de rejeter le chantage de la repentance, baissent la tête, commettent l’ignominie, la lâcheté de ployer le genou devant leurs agresseurs, oubliant que l’homme ne se met à genoux que devant Dieu.
Ultimement grave, est le fait de voir la classe politique régimiste prendre la tête de ce mouvement de trahison en battant sa coulpe, décidant de déboulonner des statues de soi-disant esclavagistes, tel Colbert, voulant débaptiser des rues, des lycées. Plus que jamais, cette classe politique dénationalisée, déconnectée du peuple qu’elle prétend diriger, montre qu’elle n’est qu’un ramassis de nervis de l’anti-France. En vérité, cette oligarchie nourrit de la haine envers ce que nous sommes, à l’encontre de notre essence et c’est elle que nous devons combattre en premier, avec le magistère qui la commandite.
Mais cela va plus loin encore : alors que leur République a réprimé sauvagement les Gilets jaunes, contrôlé avec férocité les Français durant un confinement dû à l’incurie du personnel dirigeant, au point de dépenser des sommes énormes à utiliser les drones, des hélicoptères, pour traquer des promeneurs en montagne, voilà que le sieur Castaner a permis aux « antiracistes » d’enfreindre les règles de protection sanitaire qu’il a édictées, au nom de « l’émotion » liée aux affaires Floyd et Traoré, considérée comme plus forte que la loi !
Plus encore, à la suite des événements de Dijon des 14 et 15 juin 2020, une question doit être posée : leur Etat républicain est-il à prendre ? En effet, durant deux jours, 150 Tchétchènes ont fait régner l’ordre – leur ordre – dans la capitale des ducs de Bourgogne, sans que les autorités réagissent en temps et en heure. Et le conflit entre Tchétchènes et Maghrébins, tous musulmans, a été réglé, non pas par l’intervention des autorités républicaines mais par une médiation des imams locaux !
Toutefois, il ne s’agit que la suite inévitable du fractionnement de la société française sous l’effet conjoint de la dynamique polémogène du communautarisme qui se développe sans cesse, avec la multiplication des zones ethniques, dites de « non droit » où la loi de leur République ne s’applique plus et de celui de l’invasion décrite de façon prémonitoire par feu Jean Raspail dont nous pouvons toutefois regretter qu’il restât muet sur les commanditaires de notre génocide ethnique. L’ordre républicain est irrémédiablement failli.
Néanmoins, sachons-le : bienveillante envers les allogènes, leur République, qui a perdu toute légitimité, tout droit de prétendre à un quelconque respect, en fille du « nain échassier » De Gaulle (selon l’expression de Paul Morand), saura user plus que jamais d’une rigueur extrême contre les Français non reniés. Évidemment, en première ligne se trouvent les nationalistes qui dénoncent ce régime parasite, la trahison d’une oligarchie perverse qui prend de manière sadomasochiste, plaisir à détruire ce qu’ont édifié les générations qui nous ont précédées.
Sadomasochisme, écrivons-nous. Mais plus encore totalitarisme sadomasochiste, « en marche ». En effet, à côté de cette autoflagellation des Français, des peuples d’Europe occidentale, se profile le totalitarisme écologiste qui n’est qu’une autre mouture de la subversion marxiste, mais cette fois-ci sous le prétexte irénique et a priori non critiquable de sauver la planète.
Or, la véritable écologie consiste à prendre soin de l’homme et de ce qui lui permet de vivre et se développer en harmonie avec la nature. Et la première mesure écologique consiste à protéger notre race, à valoriser la vie. Ce n’est pas le cas avec les écologistes, idéologues pétris de gnose satanique et qui, à côté d’un fallacieux discours de défense de la nature, sont les premiers à promouvoir le meurtre des enfants à naître !
Nous ne sommes qu’au début de cette vague d’obscurantisme écologiste qui gagne l’Europe et va bénéficier, en France, de ses succès électoraux lors du second tour d’élections municipales tenues dans des conditions oiseuses, caractéristiques de l’amateurisme macronien. Pour tenter de survivre à sa déroute électorale, Macron va aggraver le mal en espérant donner des gages aux écologistes à travers deux référendums portant sur les propositions émises par une « Convention citoyenne sur le climat » recrutée on ne sait trop comment et qui ne représente qu’elle-même, ou plus précisément des factions qui imposeront leurs lubies à une majorité de Français, tant il est vrai que leur démocratie est en réalité une dictature de minorités subversives.
Qu’on en juge : si la réduction à 110 km/h sur les autoroutes n’a pas été retenue – son impopularité étant trop grande – que de mesures coercitives sont envisagées, entravant notre liberté de vivre, nous enfermant dans un univers carcéral ! Il est sûr que des mesures de protection de la nature, des écosystèmes doivent être prises. Mais ce qui est prévu, c’est une machine de guerre anti économique avec de nouvelles taxes à la clé, une entreprise totalitaire visant à contraindre, réglementer, mise en place par des gens qui ne savent qu’interdire et punir, comme s’ils étaient adeptes d’un sado-écologisme, avec une passion morbide pour la souffrance et la punition.
Nous devons nous délivrer de cette république qui est comme un chancre sur le corps de la France, affirmer notre fierté d’être Blancs. Répétons-le : ce régime, anti naturel par essence, ne pourra tenir indéfiniment. Vouloir déboulonner des statues est le signe que nous sommes entrés dans une période pré révolutionnaire.
Les nationalistes sont le fer de lance qui doit rétablir la France dans son être, malmené depuis plus de deux siècles. Pour cela, nous devons être sans concession, en n’espérant pas tromper l’ennemi en parlant à mots couverts, mais conquérir l’Etat. En vérité il y a nous, les nationalistes ; rien ; et les autres : les ennemis de la Civilisation et leurs laquais.
MILITANT
Editorial de Militant – Revue nationaliste pour la défense de l’identité Française et Européenne n°728 – Juillet-Août 2020
Un masque et un genou à terre: homme blanc, soumet toi et ferme ta gueule.
On ne peut qu’être d’accord avec ce billet.
Pour autant, restons ultra-vigilants et d’une discrétion de tombe car il n’est pas prouvé que ce mouvement ne soit pas déjà infiltré par les judéo-maçons. Je n’en dirai pas plus.
M Gandillon a une énorme responsabilité rapport à l’écrémage qui doit être la règle absolue.
Avec mes meilleures pensées.
je n’ai rien contre les afriquains du moment qu’ils sont chez-eux macron et ses folles amis du crif le nid a merde ,essayent de nous faire croire que ce continent a fait ceci-cela ,mais quand on regarde les vestiges que trouve t’on de la bouse d’elephant c’est si beau a regarder et a sentir d’ou peut-étre les gros nez qu’ont ces gens ,specialistes du chocolat !