Paris nationaliste chahute une soirée d’hommage à l’écrivain pédophile Gabriel Matzneff
Jeudi 17 octobre 2019 se tenait à Paris dans un bar du quartier latin une soirée d’hommage à Gabriel Matzneff, littérateur précieux et mondain, qui a aussi la particularité de se proclamer « philopède »: une façon élégante de dire pédophile. Matzneff est un adepte et promoteur de la pédomanie depuis des décennies
Des militants de Paris Nationaliste se sont rendus à la soirée. Ils ont commencé par écouter patiemment les fleurs que s’envoyaient entre eux les pédophiles et leurs amis complaisants. Mais lorsqu’a été entamée la lecture d’un extrait révoltant d’un « essai » de Matzneff, Les Moins de seize ans, le sang des militants n’a fait qu’un tour et ils se sont emparés du micro et fustigé la pédophilie et l’hommage rendu à l’abject pédéraste, tandis que d’autres distribuaient des tracts à l’assistance. La réaction de l’adversaire a été furieuse, quelques excités ont essayé de reprendre le micro par la force, sans succès. Pendant trois minutes, un total chaos a régné dans le bar et a complètement ruiné la soirée.
[PÉDOPHILES À CAYENNE !]
Ce jeudi, une soirée « littéraire » faisant ouvertement l’apologie de la pédophilie était organisée en plein Paris.
Au nom des milliers de victimes de ces prédateurs sexuels détraqués du bulbe, nous y avons mis un terme !#Pedophilie #Paris pic.twitter.com/lZvC99vHmv
— Paris Nationaliste (@ParisNatio1) October 17, 2019
Devant l’insistance avec laquelle cette chaleureuse assemblée souhaitait nous transmettre le sida et l’hépatite B, nous nous sommes éclipsés du bar et avons eu la surprise de rencontrer quelques jeunes bolchevistes attirés par le grabuge. Nous leur avons aimablement transmis notre haine du pédophile Gabriel Matzneff, qu’ils ont identifié au fascisme (sic). Ils se sont logiquement engouffrés à leur tour dans le bar pour participer à la curée anti pédérastes au nom de la Sainte Russie du camarade Staline. C’était beau comme un passage de flambeau aux Jeux Olympiques de Berlin.
C’est presque cocasse de voir que les pédophiles réussissent à opérer une union sacrée entre nationalistes, communistes et musulmans, comme plusieurs d’entre eux témoignaient après coup de leur regret de ne pas avoir participé à l’action.
S’il n’y a guère d’espoir que les vieux pervers s’amendent, espérons que la jeunesse présente en nombre ce soir là dans la salle ouvrira les yeux sur l’infamie que représentent la vie et l’œuvre de Matzneff.
Nous tenons à stigmatiser le soutien que reçoit Matzneff de personnalités de la mouvance nationale qui semblent oublier que le combat pour la France ne se limite pas aux discussions sur les coiffes des mahométanes mais vise à restaurer un ordre politique favorable à la famille, condition sine qua non de l’arrêt du grand remplacement. Chanter les abus sexuels d’adolescents en alexandrins dans les salons de thé, ce n’est pas vraiment aller dans la bonne direction.
Citons les propos que tenait en 1995 le psychiatre Bernard Cordier à L’Express:
« [L’œuvre de Matzneff] cautionne et facilite le passage du fantasme à l’acte chez des pédophiles latents. Cet écrivain n’hésite pas à faire du prosélytisme. Il est pédophile et s’en vante dans des récits qui ressemblent à des modes d’emploi. Or cet écrivain bénéficie d’une immunité qui constitue un fait nouveau dans notre société. Il est relayé par les médias, invité sur les plateaux de télévision, soutenu dans le milieu littéraire. […] Ces écrits rassurent et encouragent ceux qui souffrent de leur préférence sexuelle, en leur suggérant qu’ils ne sont pas les seuls de leur espèce. D’ailleurs, les pédophiles sont très attentifs aux réactions de la société française à l’égard du cas Matzneff. Les intellectuels complaisants leur fournissent un alibi et des arguments : si des gens éclairés défendent cet écrivain, n’est-ce pas la preuve que les adversaires des pédophiles sont des coincés, menant des combats d’arrière-garde ? Ils veulent croire et prétendre que la société libérera un jour la pédophilie, comme elle l’a fait pour l’homosexualité, au nom de la défense des différences. Rien n’est plus faux ! Dès qu’il y a un enfant et un adulte, il y a un abuseur et un abusé. Cela n’a rien à voir avec une relation entre deux êtres véritablement consentants. […] Je suis frappé par l’incrédulité générale qui entoure la pédophilie. On ne croit pas l’enfant qui se plaint. Les parents hésitent. Les enquêteurs mettent en doute les dénonciations enfantines. Les épouses des pédophiles ne veulent pas savoir. Les institutions font comme s’il ne s’était rien passé. Bref, tout le monde fait la politique de l’autruche, sans doute parce que la pédophilie atteint ce qu’il y a de plus sacré : l’enfance. »
20 ans après, il n’y a rien à changer dans cette analyse.
Parmi les déjections littéraires de Matzneff, nous relevons encore cette phrase qui nous touche particulièrement, nous Nationalistes:
« Brasillach que plus personne ne lirait aujourd’hui si, au lieu d’avoir été fusillé, il était mort écrasé par un autobus en juin 1944 ».
où s’exprime toute la haine du pervers pour l’homme droit, sain, et d’immense talent que fut Robert Brasillach. Après cette plongée dans les méandres infâmes de la pédophilie de réseau, lavons nous les yeux et les oreilles à la lecture des émouvants Poèmes de Fresnes:
Psaume I
L’ouvrage des méchants demeure périssable,
Les idoles d’argent qu’ils se sont élevées
S’écrouleront un jour sur leur base de sable
Et la nuit tombera sur leurs formes rêvées.O Seigneur, nous qu’ils ont enfermés sous ces portes,
Nous qu’ils ont verrouillés derrière ces verrous,
Nous pour qui les soldats de ces murailles fortes
Font dans les corridors sonner leurs pas à clous,O Seigneur, vous savez que couchés sur la paille
Ou sur le dur ciment des prisons sans hublot,
Nous avons su garder en nous, vaille que vaille,
L’espoir sans défaillance envers des jours plus beaux.Nous avons rassemblé les anciennes tendresses,
Nous avons dessiné sur le plâtre des murs
Les magiques portraits de nos saintes jeunesses
Et nos cœurs sans remords savent qu’ils restent purs.La sottise au-dehors dans le sang rouge baigne,
Et l’ennemi déjà s’imagine immortel,
Mais lui seul croit encore au long temps de son règne
Et nos barreaux, Seigneur, ne cachent pas le ciel.28 octobre 1944
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