Devant la faculté de Jussieu, les militants de Luminis ont repris à leur compte la méthode popularisée par Charlie Kirk, tragiquement assassiné il y a deux mois : installer une table devant les campus pour provoquer le débat.
Les deux premières initiatives n’ont pourtant pas attiré les esprits curieux, mais plutôt les éternels agitateurs des milieux gauchistes. Plus prompts à l’invective qu’à la discussion, beaucoup sont venus pour insulter et tenter d’intimider — rarement pour échanger. Cette hostilité n’a pourtant rien de surprenant : elle révèle à quel point le simple fait d’occuper l’espace public universitaire leur semble insupportable.
Occuper le terrain, investir les lieux d’enseignement et affirmer les idées nationalistes à visage découvert : voilà comment mener efficacement la guerre culturelle et politique contre ceux qui nous méprisent.
« Je n’ai fait qu’une prière : Seigneur, rendez mes adversaires ridicules. Il m’a exaucé. »
Face à la montée unilatérale de la violence politique chez nos « adversaires », un constat s’impose : le débat politique devient de plus en plus difficile et nos sociétés de plus en plus divisées. Jusqu’à l’assassinat récent de Charlie Kirk ou les tueries de masse par des transgenres.
Ami, si tu tombes, deux amis sortent de l’ombre à ta place. Nous n’en avons que faire. Nous ne nous tairons pas. Nous continuerons à porter nos idées par la parole en refusant de leur rendre leur violence et leur haine, la vérité reste le meilleur des glaives.
La censure, la violence (toujours charognard et en surnombre) et l’hystérie de nos adversaires n’a qu’une explication : ils ne peuvent gagner un débat. Leurs idéologies coupées du réel sont incapables de résister à de simples faits et arguments logiques. Malgré quelques tentatives timides de discussion par les moins idiots de ce triste village, ils se résoudront à improviser un cirque où s’affrontent les plus bruyants et grotesques des clowns.
Leurs acclamations et leur énergie dépensée avec autant de passion nous ont tout de même fait chaud au cœur.
Source : Luminis


































Jeune Nation TV















