Le procès en Allemagne de deux frères et sœurs, Alfred et Monica Schäfer, citoyens canadiens, s’est terminé, comme on pouvait s’y attendre dans ce pays en pointe au service de cette « insupportable police juive de la pensée », par une condamnation à des peines de prison pour avoir nié l’Holocauste.
Alfred Schäfer, 63 ans, qui résident en Allemagne, a été condamné à une peine de trois ans et deux mois. Sa sœur, Monika Schäfer, âgée de 59 ans et résidant à Jasper, en Alberta, a été condamnée à une peine de 10 mois. Néanmoins, comme elle est déjà embastillée depuis janvier 2018, elle a purgé sa peine et a pu être libérée.
Le frère et la sœur étaient jugés ensemble pour six chefs d’inculpation à la haine pour avoir produit et diffusé au moins une vidéo dans laquelle Monika Schaefer a nié l’Holocauste. Le procès a débuté en juillet dernier à Munich alors que Monika Schäfer était en Allemagne pour rendre visite à son frère. Elle avait été arrêtée au Tribunal pendant qu’elle assistait au procès de Sylvia Stolz jugée pour une affaire remontant à 2012 en Suisse.
Musicienne et militante née au Canada de parents allemands, elle a été candidate du parti Vert dans la circonscription de Yellowhead en Alberta, en 2006, 2008 et 2011. Monika Schäfer a acquis une notoriété en juillet 2016 après avoir paru dans une vidéo de cinq minutes sur YouTube intitulée « Pardon Maman, je me suis trompée au sujet de l’Holocauste ». Elle y disait que l’Holocauste était « le plus gros, le plus pernicieux et le plus persistant de tous les temps ». Elle y affirmait que les camps de la mort étaient en réalité des camps de travail dans lesquels les prisonniers étaient maintenus « aussi sains et nourris que possible ». Monika Schäfer a été évincée du parti Vert pour sa vidéo, que le parti a condamnée « dans les termes les plus énergiques possibles ».
Particulièrement courageuse et peu impressionnée par les mois de prison préventive infligés pour avoir usé de sa liberté d’opinion et d’expression, Monika Schäfer a déclaré à la cour, en allemand, que « l’Holocauste est un grand mensonge de l’Histoire ». Elle a déclaré avoir fait la vidéo pour faire la paix avec sa mère et elle en a écrit le scénario.
En mai dernier, Alfred Schäfer avait été reconnu coupable d’incitation à la haine pour un discours qu’il avait prononcé à Dresde, en Allemagne, en février 2017 et avait été condamné à une amende de 5000 euros (7700 dollars).
S’il y a « holocauste », ils en ont fait un juteux fonds de commerce comme le rapporte l’historien, le Dr Norman Finkielstein dans son livre « L’indistrie de l’Holocauste. » Dans ce livre, il défend la thèse d’une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer du pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et les gains politique et financier.
Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :
Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine.
La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par une supposée incitation à des sentiments de culpabilité au sein des populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n’arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu’en 1945 ;
Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs. Lire plus :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/L'Industrie_de_l'Holocauste