Après des années de batailles judiciaires, les associations provençales et de défense de l’environnement ont perdu face à Michel Drucker. Ce dernier a violé les lois de leur République, mais cette dernière s’est finalement aplatie devant les exigences de l’occupant d’avant garde. Avec l’argent du contribuable – il a fait toute sa carrière dans le service « public » sur les ondes occupées – il a fait construire illégalement une très luxueuse villa dans les Alpilles. Il a notamment imposé l’une des dépendances de sa luxueuse villa à moins de 500 mètres d’un bâtiment historique, une chapelle du XIIe siècle dédiée à saint Sixte. Après plusieurs jugements défavorables, à l’image de l’arrogance des extrémistes tueurs d’enfants des colonies juives illégales en Palestine, il avait annoncé qu’il ne détruirait pas sa construction illégale. Il a finalement eu gain de cause.
Un cas similaire est en train de naître dans le même secteur. La Juive Inès D’Urso, qui se fait appeler Inès De La Fressange, a fait construire illégalement une maison d’une centaine de mètres carrés au cœur de la Montagnette, un site protégé des Alpilles, avec d’immenses baies vitrées donnant sur une vaste piscine, sur un terrain qui comporte déjà un mas défiguré, transformée en résidence secondaire pour cette nomade étrangère.
En référé, un juge a donné raison à l’Association pour la défense de l’environnement rural (ADER), et condamné la SCI Nine et Civil de la délinquante et a exigé l’arrêt « immédiat » des travaux, sous astreinte de 300 euros par jour de retard. L’arrogante étrangère est également condamnée à remettre les lieux en l’état par la démolition du bâtiment.
« Je suis née à Saint-Trop, j’ai du sang tchèque, juif et argentin, je vis à Pa ris… C’est ça la France d’aujourd’hui »,
déclarait-elle il y a quelques années, oubliant de préciser qu’elle décrivait là la France occupée, et oubliant d’ajouter que dans cette République il était normal de violer des lois ne s’appliquant qu’aux goys et d’écraser ces derniers. Cette décision judiciaire montre que le combat d’Israël pour asservir la France n’a pas affaibli tous les cœurs.
Ses avocats, Mes Charles Petit et Nicolas Polubocsko, tout en reconnaissant que les travaux ont été réalisés « en violation du Plan d’occupation des sols et des règles d’urbanisme » exigent simplement que la situation soit régularisée.