Le 23 août dernier, dans le quartier de Lochee à Dundee, deux sœurs de 12 et 14 ans se retrouvent prises pour cible par un homme que la presse locale qualifie pudiquement de « migrant ». L’une est suivie, harcelée, touchée. Face à la menace, l’aînée n’hésite pas : elle sort un couteau et une petite hache, prête à protéger sa cadette. L’homme prend la fuite.
Cette scène, qui aurait dû illustrer le courage instinctif et la fraternité, se transforme en démonstration glaçante de l’inversion morale qui règne en Europe. Car ce n’est pas l’agresseur qui a été arrêté… mais l’adolescente de 14 ans. La police écossaise, empressée de montrer son zèle, l’a interpellée pour « port d’arme blanche », la signalant aux autorités compétentes. Quant à l’homme mis en cause, il n’a jamais été identifié ni interpellé.
Ainsi, dans l’Écosse d’aujourd’hui, une enfant qui défend sa sœur est criminalisée, tandis que l’agresseur disparaît tranquillement dans la nature. Voilà le monde nouveau : la victime devient coupable, et le criminel étranger, protégé par l’omerta officielle, s’évanouit sans inquiétude.
Les images filmées de l’incident ont rapidement enflammé les réseaux sociaux. Des milliers de messages, en Écosse comme ailleurs, saluent le courage de la jeune fille. On l’a même surnommée « Braveheart 2.0 », symbole inattendu d’une jeunesse qui refuse de se soumettre. Mais les relais du système n’ont qu’un refrain : rappeler que « le port d’arme est interdit », comme si une règle administrative pouvait primer sur l’instinct sacré de protéger sa famille.
Ce fait divers révèle trois vérités fondamentales :
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Une immigration incontrôlée : partout en Europe, des femmes et des enfants subissent des violences croissantes liées à des étrangers importés. Les statistiques sont implacables : entre 2021 et 2024, les condamnations pour crimes sexuels commis par des migrants ont bondi de 62 %.
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Un État complice : en Écosse comme en France, la police est plus diligente pour réprimer ses propres enfants que pour neutraliser des prédateurs étrangers. On criminalise la légitime défense, on encourage l’impuissance.
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Une inversion morale : la fraternité, le courage et l’instinct de survie deviennent des délits, tandis que la lâcheté et la soumission sont érigées en vertus civiques.
Ce scandale n’est pas isolé : il est le symptôme d’une Europe en pleine décomposition, où les gouvernements préfèrent protéger leur dogme multiculturel plutôt que leurs enfants.
L’histoire de cette adolescente de Dundee doit nous alerter. Si rien ne change, si nous continuons à subir cette invasion et à tolérer un État complice, demain, dans chaque ville d’Europe, ce seront nos enfants qui devront brandir des armes pour survivre dans la rue.
Face à cela, la solution n’est pas dans l’attente d’une protection étatique inexistante. La solution est dans l’organisation nationale, dans la solidarité et dans la reconquête. Car cette jeune fille n’a pas commis un crime : elle a rappelé à tous ce que signifie protéger les siens. Et ce geste instinctif, que la police a osé qualifier de délit, restera un acte de résistance.