La France a connu depuis plusieurs années de nombreuses « erreurs de procédure » ayant conduit à la libération de criminels, l’annulation de peines justifiées, etc., en dehors même du laxisme et les libérations « légales ». La Belgique a réussi à faire pire encore.
Abdullah Saad est un étranger bénéficiant d’un titre de séjour. Le gouvernement belge lui a accordé le droit de venir faire découvrir aux Belges les joies de la diversité. Mais sa présence s’est terminée en drame de l’invasion : soupçonnant sa femme d’infidélité, il l’a un jour égorgée, avant de faire subir le même sort à son enfant, une petite fille âgée de 13 mois. Les médecins ont décrit une scène de crime particulièrement horrible.
Après les faits, le tueur avait pris sa voiture et provoqué un grave accident avec trois autres voitures. Si ces crimes et ces délits ne seront jamais pris en compte par les statistiques officielles vantant l’invasion, ils pourraient de plus rester impunis.
La Cour de cassation a rendu mercredi un arrêt exigeant la libération du criminel, qui a avoué ses crimes et pour lesquels il a été reconnu coupable et condamné. Selon ces juges, il est emprisonné illégalement depuis son jugement le 11 mars dernier. La justice a omis d’ordonner l’exécution du mandat d’arrêt qui avait conduit à son incarcération immédiate. Celle-ci est donc « illégale ». L’égorgeur doit donc être remis en liberté immédiatement. Et les délais font que sa prochaine arrestation ne pourra pas avoir lieu le 26 mai.
Durant trois semaines, le criminel étranger Abdullah Saad va donc être relâché. Sans domicile connu en Belgique le risque de fuite est important. Surtout, grâce aux papiers que lui a donnés la Belgique, ce malade pourra parcourir les rues d’Europe librement.