Depuis plusieurs années, l’Organisation des Nations unies (ONU) s’est transformée en lobby immigrationniste, vantant de toutes les manières possibles l’invasion de l’Europe et de la seule Europe. Les Blancs ne représentent que quelques centaines de millions de personnes, pour 4,5 milliards d’Asiatiques (en Asie, sans compter les nombreux Asiatiques présents en Europe et en Amérique), 1,2 milliard d’Africains (en Afrique, sans compter les innombrables Africains présents à travers le monde). Le continent européen est le plus petit des continents, avec 9 millions de kilomètres carrés, contre 44 pour l’Asie, 41 millions pour le continent américain, 30 pour l’Afrique.
Ce sont pourtant les Européens qui devraient, selon l’ONU, accueillir invasion après invasion, « migration » après « migration », attaque après attaque. En 2000, l’ONU avait diffusé un rapport affirmant que l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de l’arrivée de 160 millions d’immigrés.
Dans un cadre de déstabilisation globale des sociétés à travers le monde, auquel l’ONU participe très largement en diffusant le multiculturalisme, le libéralisme, en soutenant les pires régimes et les impérialismes, ce ne sont pas aux richissimes royaumes islamo-pétroliers, ce n’est pas la vaste Amérique, ni la dynamique Asie que l’ONU s’adresse, mais à une Europe en crise, en crise essentiellement à cause du « multiculturalisme ».
Selon le haut commissaire aux Droits de l’Homme pour les Nations unies, Zeid Ra’ad el-Hussein, l’Union européenne (UE) a « les moyens [sic] de donner asile, sur un certain nombre d’années, à un million de personnes réfugiées venant de zones de conflits en Syrie et ailleurs ».
Il a ajouté que ces envahisseurs « ne sont pas des criminels », alors même que plusieurs autorités, y compris mondialistes que l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) ont mis en garde l’Europe contre la présence parmi les « migrants » de terroriste envoyés par l’État islamique (ÉI), sans même évoquer la nette surreprésentation des étrangers dans la commission des crimes et délits.
Si les envahisseurs ne sont pas des criminels, les conséquences de l’invasion peuvent être aussi dévastatrices que celles de l’alcoolisme selon un étrange comparatif du rapporteur spécial François Crépeau.
« Il faut tirer les leçons de la prohibition aux États-Unis, quand la mafia créée par l’interdiction de l’alcool a seulement pu être vaincue [sic] lorsque la vente de l’alcool a été légalisée, régulée et taxée »,
a-t-il prétendu. Le mensonge présenté par ce très haut fonctionnaire de la bureaucratie mondialiste rend les mensonges sur l’invasion de l’Europe plus clair. L’alcoolisme n’a en rien été vaincu aux États-Unis. En 2013, dans ce pays, 16,6 millions de personnes âgées de 18 ans et plus étaient victimes d’un trouble lié à l’alcool (AUD, Alcohol use disorder). L’alcoolisme est la troisième cause de décès aux États-Unis. En 2006, les coûts liés aux problèmes d’alcoolisme étaient estimés à 223 milliards de dollars.
« Personne n’est mort ou n’a été victime d’un trafiquant, il y avait des contrôles aux frontières partout, mais le cadre général était celui d’une mobilité facilitée, avec des visas facilement accessibles et des billets de ferry bon marché »,
a-t-il ajouté.
Depuis 2010, plusieurs millions d’étrangers ont pénétré en Europe. Par la seule Méditerranée, ils ont été plusieurs centaines de milliers, dont plus de 100 000 pour les seuls cinq premiers mois de l’année 2015.