En ce milieu de semaine, une centaine de délinquants étrangers – des individus ayant violé les frontières de notre pays sans le moindre problème – ont investi le local d’une association extrémiste, Ni putes ni soumises (NPNS), à Paris, avec leurs habituels soutiens de l’extrême gauche mondialiste. L’occupation s’est déroulée sans la moindre réaction des pouvoirs publics.
«Je leur ai expliqué que nous n’avions pas le droit d’accueillir des gens pour dormir la nuit ici, que nous risquions une fermeture administrative. Je ne souhaite pas une évacuation par la police, mais s’ils ne partent pas d’eux-mêmes, je n’aurai pas d’autre choix que de la demander. Nous faisons de l’accueil pour les femmes victimes de violences et là nous avons 150 hommes qui débarquent. Ils se sont trompés de lieu »,
avait déclaré la présidente de NPNS Linda Fali, dénonçant la pression du « collectif de soutien ». Après une « médiation » (!) avec la police, les colons avaient quitté les lieux… pour mieux en coloniser d’autres.
Vendredi soir, les extrémistes ont choisi pour les colons une nouvelle cible : un ancien lycée hôtelier servant désormais d’annexe au collège Guillaume Budé, un établissement du XIXe arrondissement de la capitale. Sous l’œil indifférent sinon complice des policiers, les délinquants et les extrémistes ont détérioré les grillages protégeant le bâtiment et ont investi les lieux, qui accueillent également une association théâtrale.
« Comme la mairie de Paris refuse de nous donner [sic] un gymnase, on vient occuper un gymnase. Si on nous expulse, on occupera un autre lieu. Là, il faut que la mairie de Paris et surtout l’État soient conscients de la situation »,
a déclaré un colon à papiers français, Lyes Louffok.
Plutôt que de faire charger la police et d’expulser immédiatement les envahisseurs – et leurs soutiens –, les autorités sont allées « négocier ».