Braquage à Saint-Ouen
Une fusillade s’est produite lundi à L’Île-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis occupée) alors que deux équipes de la brigade anti-criminalité (BAC) avaient pris en chasse deux braqueurs. Ces derniers ont commis vers 8 h 50 une attaque contre un entrepôt de bijoux de la rue Ardoin à Saint-Ouen, à trois kilomètres plus au sud, dans le nord de Paris.
Après une brève course poursuite, le conducteur de la voiture des malfaiteurs a arrêté le véhicule à L’Île-Saint-Denis et s’est aussitôt rendu, se couchant au sol. Son complice est sorti du véhicule et a ouvert le feu sur les policiers qui ont immédiatement répliqué. Le tireur a été très grièvement blessé, après avoir lui-même touché au cou l’un des fonctionnaires de police. Ce dernier est actuellement hospitalisé dans un état désespéré. Le tireur a succombé à ses blessures dans l’après-midi.
Un policier blessé par balle après une course-poursuite à l’Ile-Saint-Denis http://t.co/c7Vb1dUfTP pic.twitter.com/PEVpPL8w1K
Drame de l’invasion : fiché comme islamiste, le tueur a été libéré par Taubira
Il s’agit d’un individu de 24 ans, incarcéré en 2013 pour vols aggravés. Il n’avait pour cela écopé que d’une très faible peine de prison malgré son implication dans 27 affaires dont attaques à main armée, rébellions, etc. Pire encore : il avait, quelques mois seulement après son incarcération, bénéficié d’une permission de sortie en mai dernier. Ce « prisonnier modèle » n’avait évidemment pas réintégré sa cellule comme il le devait le 27 mai. Depuis plus de quatre mois, il était en liberté, sans avoir fait l’objet de véritables recherches. Les autorités avaient alors caché cette évasion, dans un contexte d’effondrement du système judiciaire multipliant les « erreurs » et autres décisions criminelles.
Le criminel représentait, avant même les faits commis ce matin, une grave menace pour la société. En plus de ses crimes, qui à eux seuls auraient dû conduire le gouvernement à exiger sa détention pour de longues années puis son expulsion de France, le tueur faisait l’objet d’une fiche « sûreté de l’État » (« fiche S »), car il s’était rapproché des groupes islamistes.
Bien au contraire, les juges rouges de Christiane Taubira se sont empressés de lui offrir la possibilité de s’évader. Ils lui avaient accordé une permission de sortie, qu’il a mise à profit pour s’enfuir et préparer de nouveaux crimes, possiblement liés au terrorisme.
« C’est intolérable et cela veut dire qu’on aurait pu éviter que notre collègue se trouve aujourd’hui entre la vie et la mort. Il est moralement inconcevable qu’on puisse libérer pour une permission un individu aussi dangereux pour la société. Les policiers vont attendre de la ministre de la Justice des comptes, car elle a le devoir de s’expliquer pour nous, policiers, mais surtout pour sa famille »,
a réagi un syndicaliste policier, dont le soudain courage aurait sans doute été plus remarquable s’il s’était révélé au moment de l’affaire du meurtre d’Anne-Lorraine Schmitt ou de celles concernant des milliers de Français non policiers victimes de drames similaires.
Drame de la récidive : le complice du tueur est un multirécidiviste
Le complice du tireur, également âgé de 24 ans, est un criminel multirécidiviste que la justice antifrançaise avait également libéré. Il a pourtant été impliqué, malgré son jeune âge, dans 24 affaires criminelles. Issu des cités occupées de Bobigny, il a été arrêté lundi matin après la fusillade.
L’attention portée au tireur a permis d’occulter les raisons qui ont conduit la justice à libérer cet autre dangereux criminel. Dans les deux cas, comme elles avaient caché l’évasion du criminel, les autorités ont censuré les identités et race des deux criminels ont été cachées.
« Nous aurons des résultats qui prouveront que c’est efficace. Dans tous les pays, il y a eu un recul significatif de la récidive. C’est un dispositif qui a fait ses preuves partout ailleurs »,
a osé déclarer en fin de semaine dernière l’antifrançaise Christiane Taubira. Les résultats des politiques criminelles de Christiane Taubira, Manuel Valls et François Hollande, les Français peuvent les constater chaque jour.