Les rabbins à l’avant-garde de l’invasion des États-Unis d’Amérique (et d’ailleurs)

Plus de mille rabbins ont cosigné une lettre en anglais faisant référence à… 1939, mais pas à leur déclaration de guerre à l’Allemagne plusieurs années auparavant.

Ils tentent d’y justifier l’arrivée massive de proche et moyen-orientaux, alors que la récente tuerie par un jeune couple armé prouve là-bas, comme en France, que l’immigration facilitée par les pouvoirs publics vise au projet de destruction des nations.

La lettre s’achève par la sentence suivante :

« Comme rabbins, nous prenons au sérieux l’impératif biblique “d’accueillir l’étranger”. Nous demandons à nos élus de défendre le plus grand héritage d’un pays qui accueille les réfugiés ».

Il s’agit des mots que ceux utilisés par les colons en France. Le Conseil représentatif des institutions juives de [sic] France (CRIJF) avait lancé un appel similaire en septembre dernier.

Mais ceux qui s’activent pour accentuer l’invasion des pays blancs se gardent bien d’appeler un État pourtant voisin de la Syrie à accueillir des réfugiés. Ce pays devrait pourtant être particulièrement sensible lui aussi au « message biblique ». Mais curieusement, alors que les rabbins appellent à l’invasion de l’Europe et des États-Unis, cet État, l’État criminel d’Israël, s’entoure de murs infranchissables, abat sans sommation des manifestants pacifiques s’approchant à moins de cent mètres, et excitent les fauteurs de guerre en Syrie… Double standard ?

Si les réfugiéssont les bienvenus en Europe pour les Juifs, les Palestiniens, chez eux, ne le sont pas vraiment. Ci-dessous, un Palestinien abattu parce qu’il brandit un drapeau de son pays occupé – lui aussi – par Israël.

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