Journal du 24 novembre 2016

Saint Jean de la Croix, confesseur et docteur

Sommaire :

Actualité nationaliste en Europe

• Allemagne : 8e scélérate condamnation pour révisionnisme contre Ursula Haverbeck

France

• B et Abdellah.H, vols de fret, recel et association de malfaiteurs
• Racisme anti-blanc et islamisation dans les prisons
• Nouvel attentat déjoué: arrestation de Marocains, Afghan, clandestins
• Un Guinéen menace de jeter son bébé au sol, à la préfecture du Mans
• Un clandestin Marocain condamné pour vol de nourriture à Albi
• 50 envahisseurs clandestins expulsés d’un presbytère squatté à Nantes
• Sophien, 13 condamnations, 4 mois ferme pour incendies criminels
• À peine libéré, Terrick Srhali retourne en prison pour vol avec violence
• Yanis Khaoua et Brahim Kheris lynchent un fêtard sous un porche, un an de prison
• Un Tunisien arrêté après s’être frotté à une jeune femme dans le tram
• Jacques Bompard veut que la France « demande pardon aux rois de France pour le saccage de leurs sépultures en 1793 et 1794 »
• Le FN défend les immondes affiches pro-sodomites

Etranger

   Europe

• Trondheim la 3e ville la plus importante de Norvège vote pour le boycott des produits de la Palestine occupée
• Wuppertal : la « police de la charia » est jugée légale !
• Allemagne : 8e scélérate condamnation pour révisionnisme contre Ursula Haverbeck
• Suisse : arrestation d’un juif à papiers français condamné pour escroquerie à la taxe carbone

   Monde

• Australie: la première députée musulmane du pays, menacée de mort
• Guatemala : ouverture d’un premier musée de la pleurniche holocaustique^©
• États-Unis : le gouverneur Cuomo crée une brigade de police antiraciste à New York

Vidéo

• Le pilori télévisé

Kiosque

• Rivarol n° 3259

Ephéméride nationaliste

• 24 novembre 1897 : naissance de Mgr François Ducaud-Bourget

Agenda

• Conférence d’André Gandillon à Dijon, le 26 novembre – 18h00

 

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Actualité nationaliste en Europe

 

Allemagne : 8e scélérate condamnation pour révisionnisme contre Ursula Haverbeck

 

La célèbre historienne révisionniste allemande Ursula Haverbeck, âgée de 88 ans, a été condamnée le 23 novembre à deux ans et demi de prison pour négation de l’Holocauste par un tribunal allemand. Le Tribunal de Verden l’a condamné sur la base de plusieurs articles qu’elle avait publié dans le journal local, « Stimme des Reiches » (ou la « Voix du Reich »), dans lequel elle a nié la réalité de la Shoah telle que la propagande holocaustique officielle la décrit et veut l’imposer. Ce qui est illégal en Allemagne.

Devant la Cour, dans sa déclaration finale, l’historienne a courageusement confirmé ses thèses, parlant du « mensonge d’Auschwitz » et affirmant qu’il n’y avait pas eu là un camp d’extermination, mais plutôt un camp de travail où personne n’avait été gazé de façon homicide. Haverbeck a annoncé après le prononcé de la condamnation qu’elle ferait appel de cette décision.

Ce verdict intervient après une série de condamnation à son encontre qui font de l’historienne une récidiviste. En Octobre, un tribunal de Bad Oeynhausen l’a condamné à 11 mois de prison pour incitation à la haine. En Septembre, un tribunal de Detmold l’a condamnée à 8 mois de prison. Et l’année dernière, un tribunal de Hambourg l’a condamnée à dix mois de prison. Néanmoins aucune de ces condamnations ne sont définitives, Ursula Haverbeck ayant systématiquement fait appel.

Dans cette Union européenne prétendant se faire championne des droits de l’homme, un Tribunal a donc une nouvelle fois prononcé une inique condamnation à de la prison contre une personne âgée de 88 ans qui n’a fait qu’usage de sa liberté d’opinion et d’expression…

 

 

France

 

Hocine.B et Abdellah.H, vols de fret, recel et association de malfaiteurs

 

Vols de fret : jusqu’à 8 ans de prison requis contre les logisticiens

La procureur a requis ce lundi huit ans de prison à l’encontre du principal prévenu dans le procès des logisticiens des vols de fret. Hocine B., est soupçonné d’avoir eu un rôle central dans l’équipe des receleurs et d’avoir fait peut-être le lien avec les braqueurs.  La procureure, qui a demandé son maintien en détention, a également requis la confiscation de sa part de son pavillon familial, soit 181 000 € sur une valeur totale de 378 000 €. Elle a aussi demandé 5 ans avec mandat de dépôt et 15 000 € d’amende à l’encontre d’Abdellah H., qui pourrait être son lieutenant.

Le ministère public a requis l’incarcération de deux autres prévenus libres, réclamant 5 et 4 ans de prison à leur encontre. Les autres peines demandées vont de 12 mois pour le petit revendeur de Montigny-lès-Cormeilles (6 mois avec sursis pour sa femme) à 3 ans pour les autres. Car dans cette affaire, dix-sept personnes sont jugées devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour recel habituel et association de malfaiteurs, pour certains en état de récidive légale. Ils sont soupçonnés d’avoir transporté et stocké des palettes de cosmétiques et maroquinerie de luxe, ainsi que de cigarettes ou de produits high-tech, provenant de sept vols de fret commis essentiellement dans le Val-d’Oise, entre mars 2013 et janvier 2014.

 

 

Racisme anti-blanc et islamisation dans les prisons

 

Radicalisation, rivalités ethniques, violence… La prison, une zone de non-droit

Dans les prisons françaises, où les tensions atteignent leur paroxysme, la loi du plus fort règne et la radicalisation islamique fait son chemin.

Il y a aujourd’hui plus de 67500 personnes incarcérées dans les prisons françaises. Mineurs et femmes sont en minorité. Les maisons d’arrêt concentrent les petites peines (moins de deux ans), les maisons centrales abritent les plus lourdes (de dix ans à perpétuité). C’est dans les premières, que l’incarcération est la plus pénible, alors que les autres détenus sont mieux traités, vivant, seuls, dans une cellule.  

Les médias font état de l’importante surpopulation carcérale, de la présence de malades mentaux qui n’ont rien à faire en prison.

L’univers carcéral est une zone de non-droit, non qu’il échappe aux règlements, mais du fait que ces derniers y sont constamment contournés, négociés et que, finalement, la force règne et l’emporte. C’est le cas entre surveillants et détenus. Les premiers se plaignent de voir leur autorité bafouée, de manquer du respect minimal et d’exercer le dernier des métiers, surtout les jeunes. Alternant soumission et protestation, un détenu peut obtenir beaucoup: une cigarette, une douche supplémentaire, éviter l’humiliation de la fouille intime, gagner quelques minutes de plus au parloir…  

Mais cet essai met en évidence les tensions qui sont en train de transformer la prison en poudrière. Les « petits Blancs » sont devenus une minorité qui se vit dans une relation conflictuelle avec les détenus musulmans, majoritaires. Ils se sentent l’objet d’un racisme inversé, habités par une véritable conscience de l’exil, la certitude d’être déracinés en Ile-de-France. Leurs propos, recueillis par le sociologue, en font foi; il y a une hostilité croissante vis-à-vis de détenus musulmans qui affirment leur identité et dont les « Gaulois » minoritaires supportent mal la culture de banlieue.  

Au coeur de Prisons de France se pose surtout la question cruellement actuelle de la radicalisation. Les musulmans forment entre 40% et 60% de la population carcérale (1). Dans le cadre porteur d’un islam qui reprend de la force, on peut distinguer trois types de religiosité. Il y a des délinquants musulmans pour lesquels l’islam n’a rien à voir avec la morale, la pratique faisant bon ménage avec les braquages ou les vols

Le plus dangereux, c’est la religiosité du troisième type, l’islam djihadiste qui vit dans un monde binaire. La terre d’Islam, inviolable et sacrée, et celle des « mécréants », où tout est permis, voire encouragé et prêché: délits, vols et meurtres. Comme dans le totalitarisme, il faut hâter, par tous les moyens possibles, la chute d’une société vermoulue, dévorée par l’impiété.  

Parmi les détenus musulmans, pratiquants ou non, c’est la minorité salafiste qui est la plus active, fanatique ou simplement piétiste. Ceux qui ont rompu avec l' »islam olé olé », comme le précise un détenu qui est revenu à la rigueur archaïque de sa religion. Discussions sur ce qui est halal, apprentissage de l’arabe, prières collectives, imitation de la vie du Prophète; même un nombre croissant de « Gaulois » égarés en quête de sens se convertissent.  

Si la radicalisation ne se produit pas toujours en prison, le chercheur livre quelques portraits de convertis très aguerris, à jamais irréconciliables avec les principes du fondement de nos sociétés. Ghassan, le détenu radicalisé qui aspire au martyre, Khaled qui fait de la dissimulation le meilleur moyen pour frapper l’impie au coeur, Hassan, la faible proie psychologique idéale pour l »ensorcellement » islamiste.  

Cette prison travaillée par une intense ethnicité est en train de devenir une poudrière. Surveillants antillais méprisant les Noirs africains, Noirs et Maghrébins des cités contre « autochtones », mépris interethnique des gardiens; seul l’islam fonctionne, pour beaucoup, comme une solide référence commune, au-delà de la religion.  

Si la prison n’est pas près de disparaître, on peut vraiment craindre, malgré toutes les places construites, qu’elle ne devienne un lieu extrême d’affrontement, préfigurant le pire.  

(1) En l’absence de statistiques légales, l’administration pénitentiaire s’appuie sur les inscriptions au ramadan.  

 

 

Nouvel attentat déjoué: arrestation de Marocains, Afghan, clandestins

 

Mourad Farès, arrêté en août 2014 en Turquie, extradé et mis en examen en France, il est soupçonné d’avoir joué le rôle de recruteur de Daech puis du Front Al-Nosra, notamment dans le quartier de La Meinau à Strasbourg. Dans l’attente d’un jugement, il reste présumé innocent.

 

 

Un Guinéen menace de jeter son bébé au sol, à la préfecture du Mans

 

Il menace de jeter son bébé au sol, à la préfecture !

La scène a marqué les esprits, au service des étrangers de la préfecture, le 16 juin dernier au Mans. Un homme de 32 ans, originaire de Guinée, qui réclamait un titre de séjour et l’autorisation de travailler, a perdu patience. Il a soulevé son bébé dans ses bras et menacé de le jeter au sol.

« Ce que vous avez fait, c’est du chantage, lui a expliqué la présidente du tribunal correctionnel, ce lundi. Vous avez fait peur à tout le monde. On vous a donné une autorisation temporaire de travail pour vous calmer, mais elle vous a bien sûr été retirée par la suite. »

Pour le procureur de la République, l’extorsion de document, par contrainte ou violence, est établie. « Vous traitez votre pays d’accueil avec ingratitude et mépris, alors qu’on vous demandait simplement de prendre un ticket et d’attendre votre tour pour obtenir l’autorisation de travailler. Exiger ainsi d’être reçu par le responsable, comme vous l’avez fait, c’est un comportement de gamin. Il faut apprendre à respecter les règles, qui sont les mêmes pour tous. »

Le tribunal l’a condamné à trois mois de prison ferme.

 

 

Un clandestin Marocain condamné pour vol de nourriture à Albi

 

Prison ferme pour avoir volé un fromage

Mardi, un « jeune » de 22 ans a été condamné à 3 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Toulouse pour avoir volé une bûche de chèvre dans un supermarché.

Le « jeune », ressortissant marocain en situation irrégulière, avait dérobé le fromage, dans un magasin Albi, avenue de Lardenne. Intercepté par le vigile, il a indiqué par la suite au juge que c’était la première fois qu’il volait, et qu’il avait agit de la sorte parce qu’il avait le ventre vide depuis trois jours. 

Le procureur de la république a requis une peine allant de 5 à 8 mois de prison ferme pour cet homme dont le casier judiciaire était vierge.

Le tribunal l’a finalement condamné à 3 mois de prison avec placement immédiat en détention.

 

 

50 envahisseurs clandestins expulsés d’un presbytère squatté à Nantes

 

Nantes: 50 envahisseurs expulsés d’un squat

Une cinquantaine d’envahisseurs ont été évacués cette semaine d’un presbytère, squatté depuis août 2014 à l’est de Nantes et propriété de la municipalité, a révélé la préfecture de Loire-Atlantique.

L’opération d’évacuation par les forces de l’ordre, qui s’est déroulée dans le calme, a commencé vers 8h et a duré moins d’une heure, a-t-on indiqué de même source. Elle s’est faite en application d’une décision judiciaire prononçant l’expulsion des occupants illégaux, « des personnes isolées avec des statuts différents (demandeurs d’asile, réfugiés, ou déboutés du droit d’asile) », a précisé la préfecture dans un communiqué.

Le presbytère Saint-Médard de Doulon, propriété de la ville et loué à l’évêché de Nantes, avait été « réquisitionné » en août 2014 par des migrants et leurs soutiens, après leur expulsion d’un précédent squat, appartenant également à la municipalité. Il était occupé depuis par plusieurs dizaines de personnes, essentiellement des hommes venus d’Afrique de l’Est, dont des mineurs, selon Jean Brunacci, membre du collectif de soutien aux migrants habitants du presbytère de Doulon. La préfecture a invoqué dans le communiqué « des raisons de sécurité et sanitaires » pour expliquer cette évacuation, « conformément à la loi ».

Des entretiens ont été proposés aux personnes expulsées pour permettre, en fonction de leur situation, « d’orienter la plupart vers des solutions d’hébergement ou de mise à l’abri », a ajouté la préfecture.

 

 

Sophien, 13 condamnations, 4 mois ferme pour incendies criminels

 

Soupçonné d’avoir commandité les incendies de Montauban, il écope de 4 mois ferme

Soupçonné d’avoir avoir un lien avec la destruction de quinze véhicules incendiés en fin de semaine à Montauban, un « jeune » de 20 ans a été jugé, mardi après-midi, en comparution immédiate. Poursuivi pour outrages et rébellion à l’encontre des policiers venus lui demander quitter la cage d’un immeuble du quartier des Chaumes, l’accusé a réfuté tout lien avec les incendies criminelles ayant eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi, c’est-à-dire après son arrestation. Avec treize condamnations à son casier, Sophien L., a été condamné à 4 mois ferme avec mandat de dépôt et 400 euros pour chacun…

 

 

À peine libéré, Terrick Srhali retourne en prison pour vol avec violence

 

En liberté conditionnelle depuis le 3 octobre dernier, Terrick Srhali, 28 ans, a été jugé en comparution immédiate en début de semaine pour répondre d’un «vol avec violence» commis vendredi dans la préfecture audoise. Une infraction frappée de l’état de récidive puisque le prévenu a déjà été condamné pour des faits similaires par le TGI de Carcassonne, le 9 janvier 2015.

 

 

Yanis Khaoua et Brahim Kheris lynchent un fêtard sous un porche, un an de prison

 

Besançon : ils lynchent un fêtard sous un porche, un an de prison ferme

La comparution immédiate dont ces deux « Bisontins » de papiers de 21 et 22 ans font l’objet débute fort. Le témoignage lu par la présidente du tribunal est glaçant. Les mots émanent d’une lycéenne, présente dans la nuit de vendredi à samedi, Grande-Rue à Besançon. À deux pas du porche où sans pitié, les deux bourreaux nocturnes ont passé à tabac un autre fêtard qui venait, disent-ils, de les « titiller » devant la discothèque Le Styl.

« J’ai cru qu’il était mort. Il ne bougeait plus et eux continuaient de le frapper à la tête et dans le ventre », raconte le témoin. Poings. Pieds. Un déluge. Encore et encore… « Il y en a qui lui prenait la tête et la fracassait contre la pierre. Ça faisait un bruit horrible. » C’est elle qui appellera les secours, puis la police.

Nez cassé, traumatisme crânien, nombreuses plaies et ecchymoses… Six jours d’ITT ont été prononcés pour la victime, qui sans doute apeurée, n’a même pas porté plainte. Ses deux agresseurs ont un casier judiciaire déjà bien fourni, et faisaient la fête une ultime fois… Avant qu’un bracelet électronique, fruit de précédentes condamnations, ne limite leurs déplacements !

Le réquisitoire de la procureur de la République, Edwige Roux-Morizot, a été cinglant : « Se faire plaisir en faisant mal ? Je représente tous ceux qui se font massacrer, je parle pour tous ceux-là ! Ces violences sont insupportables »

Yanis Khaoua et Brahim Kheris écopent d’un an de prison ferme, à purger dès la fin de leur comparution, auquel s’ajoutent six mois de sursis et deux ans de mise à l’épreuve. Avec obligation de soins, de travail, et interdiction de fréquenter les discothèques.

 

 

Un Tunisien arrêté après s’être frotté à une jeune femme dans le tram

 

Placé en détention provisoire après s’être frotté à une jeune femme dans le tram

Pour elle, il n’y a eu aucune ambiguïté. Alors que la ligne de tramway était bondée, cette jeune femme a senti à plusieurs reprises un homme se frotter contre elle, le sexe en érection.

La scène se passe le 14 novembre sur la ligne T2, peu après que l’auteur est monté à la station Grange-Blanche. Identifié et interpellé, l’auteur présumé a été jugé mardi dans le cadre des comparutions immédiates. Où l’affaire a été renvoyée au 23 décembre afin d’effectuer une expertise psychiatrique de cet homme de 31 ans, de nationalité tunisienne, qui est arrivé en France il y a 18 mois.

Sans papiers et sans domicile fixe, il vit en travaillant sur des marchés. Une situation précaire qui a conduit le tribunal, conformément aux réquisitions du ministère public, à placer le prévenu en détention provisoire.

 

 

Jacques Bompard veut que la France « demande pardon aux rois de France pour le saccage de leurs sépultures en 1793 et 1794 »

 

Le 17 novembre, le député a déposé un amendement à la proposition de loi des députés socialistes sur les « funérailles républicaines » qui s’énonce comme suit :

La République française demande pardon aux rois de France et aux Français pour le saccage de leurs sépultures lors de la profanation des tombes de l’abbaye de Saint-Denis en 1793 et 1794.

Bompard se réfère à une « page sombre dans l’Histoire de France » : « le saccage de la nécropole des rois de France ». L’élu du Vaucluse raconte brièvement :

Une population échauffée par la manipulation et les terreurs instillées par la révolution française s’adonna à une profanation qui marque encore une sombre division du peuple de notre pays.

« Alors que l’idéologie républicaine supplante aujourd’hui le simple respect de la forme des institutions, ce rappel historique est crucial pour prévenir les excès terroristes qui marquèrent les années révolutionnaires », poursuit-il.

La proposition de loi des socialistes, portée par Bruno Le Roux et qui date de 2014, prévoit que « chaque commune, dès lors qu’elle dispose d’une salle municipale adaptée, met celle‑ci gratuitement à disposition des familles qui le demandent et garantit ainsi l’organisation de funérailles républicaines qui leur permettront de se recueillir ».

Dans l’exposé des motifs, le patron des députés PS constate que « les citoyens qui ne se réclament d’aucune religion se trouvent démunis et attendent de notre République qu’elle leur offre des perspectives pour accompagner leurs morts ». « La République française se doit de prendre en charge, comme elle le fait pour les naissances, les mariages, voire même les « parrainages civils » (sic), un rite propre pour commémorer la mort de ses citoyens », estime-t-il.

Cette proposition de loi sera débattue à l’Assemblée en première séance mercredi 30 novembre.

 

 

Le FN défend les immondes affiches pro-sodomites

 

De nombreux  élus –le plus souvent de droite- ont dénoncés une campagne « sanitaire » du ministère de la Santé à destination des uranistes, estimant qu’elle véhicule une vision dégradante de la sexualité.

Le maire Les Républicains (LR) d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a pris un arrêté mardi pour faire retirer les affiches sur l’ensemble de sa commune. Ce soutien de François Fillon dénonce une campagne «contraire aux bonnes moeurs et à la moralité», invoquant avec justesse par ailleurs «la protection de l’enfance» pour justifier sa décision.

Mardi soir, le préfet de Seine-Saint-Denis a introduit un recours contre cet arrêté devant le Tribunal administratif de Montreuil, en l’assortissant d’une demande de suspension de cette décision. Il juge en effet cet arrêté «manifestement illégal», «insuffisamment motivé», et dénonce un «caractère disproportionné évident». Lundi, le maire LR d’Angers, Christophe Béchu -proche de Juppé-, a demandé à l’entreprise JCDecaux de retirer les panneaux à proximité des écoles, ce qui a été fait dans la journée.

À Louveciennes, une affiche exposée face à la gare de la commune s’est «mystérieusement envolée», après avoir déclenché des plaintes de riverains. Au total, une dizaine –seulement !- de villes sur les 130 où la campagne a été diffusée ont écrit à JC Decaux pour demander le retrait de l’affichage public. Dans d’autres communes comme Châlon-en-Champagne ou Versailles, d’autres affiches ont été dégradées.

Face à ces saines réaction de courageux élus, le néo Front National n’a pas réagi ou bien de manières honteuse localement.

Le peu virile Aymeric Merlaud, le responsable départemental du  FN à répondu au maire d’Angers :

Aymeric Merlaud a été parachuté responsable départemental  à la demande expresse de l’uraniste Philippot.

Kevin Pfeffer, secrétaire départemental de la Moselle, est lui aussi indigné par les plaintes contre les affiches.

Indignation aussitôt partagé comme on peut le voir  par l’innommable Sophie Montel, très proche elle-aussi de Philippot !

 

 

Etranger

 

   Europe

 

Trondheim la 3e ville la plus importante de Norvège vote pour le boycott des produits de la Palestine occupée

 

La troisième plus grande ville de Norvège, Trondheim, s’est prononcée pour le boycott de tous les biens et services produits dans les colonies israéliennes situées en Cisjordanie occupée.

« Les colonies illégales se développent, la construction du mur continue, les Palestiniens sont soumis à un harcèlement quotidien et font face à d’importants obstacles dans leur vie quotidienne », explique en préambule la motion adoptée par le Conseil municipal de Trondheim.

« Ceci est une politique que la Municipalité de Trondheim ne peut pas appuyer. Pour cette raison la municipalité s’interdira d’acheter des biens ou des services produits dans les territoires occupés », poursuit la motion.

 

 

Wuppertal : la « police de la charia » est jugée légale !

 

Un tribunal de Wuppertal a jugé que les sept islamistes qui avaient formé une «police de la charia» n’ont violé aucune loi. Selon les juges, il n’y aurait eu violation de la loi que si les uniformes avaient été « suggestivement militants » ou « intimidants ».

Le jugement n’est pas définitif et peut encore faire l’objet d’un recours.

La « police de la charia » avait fait fait son apparistion en 2014 quand ces envahisseurs, sous la conduite du salafiste Sven Lau -un converti traitre à sa race-, ont commencé à patrouiller les rues proches de la gare pour dire aux gens de ne pas boire d’alcool, de ne pas écouter de musique, etc.

Des polices de la charia ont également été signalées à Hambourg, à Londres et à Copenhague.

 

 

 

Suisse : arrestation d’un juif à papiers français condamné pour escroquerie à la taxe carbone

 

Mardoché Mouly dit « Marco l’élégant », un homme clé de la gigantesque fraude sur les quotas de CO2, a été arrêté mardi 15 novembre en Suisse. Sa cavale a donc pris fin devant l’Hôtel Richemond de Genève alors qu’il montait dans une voiture. Il est un de ces juifs à papiers français, personnage central de l’une des plus grandes escroqueries perpétrées en France, qui s’est réfugié en Israël (qui n’extrade pas les siens) pour échapper à sa sanction. Le 7 juillet dernier il avait réussi à quitter le Palais de Justice de Paris en enfilant une robe d’avocat, après avoir appris sa condamnation à 8 ans de prison. Néanmoins le fuyard a été pisté par le nouveau groupe « fugitif » de la police genevoise. Arrivé d’Israël, il était présent probablement depuis plusieurs jours à Genève. Recherché par Interpol – ce qui ne l’empêchait pas de parler, en cavale, à des médiats – il s’est donc fait attraper ce jour là vers 14 h 40, par trois inspecteurs. « En douceur », selon un témoin.

Lui, ses 12 co-accusés dont 5 sont toujours réfugiés dans l’ultime repère des crapules du judaïsme politique, étaient accusés d’avoir participé, en 2008 et 2009, à une arnaque tentaculaire qui visait à détourner les avantages fiscaux offerts à l’époque pour soutenir l’activité de la Bourse européenne « des droits à polluer » appelée Bluenext, installée à Paris. Ils vont pour cela créer des sociétés afin d’acquérir des quotas d’émission de CO2 à l’étranger pour les revendre en France et se faire rembourser 19,8% de TVA, avant de liquider la société-écran. La Cour des comptes française estime que les détournements ont totalisé 1,6 milliard d’euros en France et 4 milliards à l’échelle européenne. Le scandale forcera Paris à fermer Bluenext.

Pour sa part, Mardoché Mouly est accusé d’avoir participé à un des plus grands volets de la fraude dont le montant atteint 283 millions d’euros. De l’argent qui est souvent passé par Genève. Des documents de justice français révèlent ainsi l’existence de trois comptes ouverts chez HSBC dont il est le bénéficiaire et sur lesquels 14 millions d’euros seront versés entre août et octobre 2009. Mais dans les banques genevoises, les comptes soupçonnés d’être liés à Mardoché Mouly recèlent encore plus de 6 millions d’euros, provisoirement bloqués…

A l’heure actuelle, tout est fait en France pour organiser son extradition afin de le faire comparaître, étant donné que tous les condamnés ont fait appel de la décision de juillet dernier. Mais il pourrait bien arriver des bricoles à Mardoché Mouly s’il retourne dans une prison française. Selon certaines sources, « le grand banditisme a rapidement dévoré cette affaire et Marco M. a déjà subi de nombreuses tentatives d’extorsion » : jalousies, rackets et règlements de comptes avaient été attisés par la belle arnaque et 4 homicides sont reliés à cette affaire.

Le « braqueur » braqué, ça nous fera pas pleurer…

 

 

   Monde

 

Australie: la première députée musulmane du pays, menacée de mort

 

A la suite des explications du ministre fédéral australien de l’Immigration, Peter Dutton sur les musulmans libanais, la première députée musulmane du pays, Anne Alu a commencé à recevoir des menaces de mort.

Dutton avait indiqué mardi 22 novembre  au parlement : « La réception des musulmans libanais en Australie est l’erreur de l’ancien Premier ministre australien Malcolm Fraser ».

Comme de juste, cela avait suscité des réactions de partis politiques antinationaux, défenseurs des droits de l’homme, associations d’envahisseurs, établissements musulmans… qui ont estimés les propos du ministre comme  racistes et discriminatoires.

Le Premier ministre Malcom Turnbull et le gouvernement ont défendu Dutton en disant qu’il avait fait allusion non pas à tous les musulmans libanais mais ceux impliqués dans des actes criminels.

La députée musulmane d’origine égyptienne Anne Aly qui avait accédé au Parlement fédéral pour la première fois après les législatives de juillet, a déclaré recevoir des menaces de mort sur les réseaux sociaux.

 « Je ne me préoccupe pas pour moi mais il y a des menaces qui visent ma famille. Quelqu’un dit ‘vouloir tuer ma famille’. Où sont mes droits ? » a-t-elle demandé lors d’une conférence de presse.

La police fédérale australienne a lancé une enquête sur les menaces contre la députée musulmane et sa famille.

 

 

Guatemala : ouverture d’un premier musée de la pleurniche holocaustique^©

 

Le premier musée d’Amérique centrale consacré à la mémoire de la Shoah ouvrira en 2017 au Guatemala. Il se concentrera sur un des aspects les moins connus du prétendu génocide nazi : la « Shoah par balles ». C’est est le nom donné à l’assassinat de masse par arme à feu des communautés juives et roms sur le territoire des pays de l’Union soviétique sous contrôle du IIIe Reich pendant la Seconde guerre mondiale.

Lancé par l’organisation prétendument à but non lucratif, Yahad-In Unum, fondée en 2004 par le prêtre français Patrick Desbois, la mission de musée est d’éduquer la population, en particulier les jeunes, aux « horreurs de la Shoah ». Bien que le musée ne soit pas encore officiellement ouvert, il accueille déjà des expositions temporaires.

Ce musée est en fait une réponse à un récent changement dans les programmes scolaires au Guatemala qui rendent maintenant obligatoire pour les élèves du secondaire l’enseignement de l’Holocauste. « Je pense que le Guatemala voit l’étude de l’Holocauste comme une occasion de se pencher sur sa propre histoire… d’être ouvert à une partie de son histoire qui a été marquée par beaucoup de violence », affirme Marco Gonzalez, directeur du lobby Yahad-In Unum et bien sûr désigné comme premier conservateur du futur musée. Il explique que le but du musée est d’avoir un impact sur les jeunes.

On ne voit toujours pas en quoi le Guatemala est particulièrement concerné par le prétendu Holocauste plus que par l’Holodomor ou le génocide arménien par exemple… au point de nécessiter un tel projet.

 

 

États-Unis : le gouverneur Cuomo crée une brigade de police antiraciste à New York

 

Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, les lobbies de la société multiculturelle et multiraciale tente d’accréditer l’idée d’une montée fulgurante de la violence contre les minorités. Ainsi, le Southern Poverty Law Center, un pseudo observatoire de l’extrémisme, prétend avoir reçu 437 signalement de cas d’intimidations à leur encontre : de prétendus tags de croix gammées, prospectus du Ku Klux Klan laissés sur les pare-brises des voitures ou des étudiants Noirs visés par des images montrant des scènes de lynchage dans la semaine suivant l’élection…

Face à cette « explosion » de violence raciale qui le « rend malade », le gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo, démocrate, ancien procureur général et collaborateur du président Clinton lors de sa présidence, a donc annoncé des mesures pour lutter contre cette « recrudescence ». Il a ainsi décidé de créer une unité spéciale de la police new-yorkaise pour enquêter sur ce type de crimes. « Avec des professionnels entraînés, nous enquêterons sur chaque incident et poursuivrons les auteurs aussi sévèrement que la loi le permet », a-t-il déclaré. Son plan d’action comprend également l’extension de la loi sur les droits de New York, afin de mieux protéger les étudiants victimes d’intimidation ou de discrimination. Une ligne téléphonique dédiée aux appels de victimes potentielles a été mise en place.

Nous ne savons pas si Andrew Cuomo est juif (il est née de Matilda Raffa), néanmoins il n’est un secret pour personne qu’il est un affidé obéissant du judaïsme politique. Ainsi au mois de juin dernier, il a signé un décret contre le mouvement « BDS » (Boycott, Désinvestissement, Sanction) qui tente d’organiser un mouvement international de pressions et condamnations de l’Entité sioniste qui occupe illégalement la Palestine et opprime les autochtones palestiniens. À cette occasion, Cuomo avait fait assaut d’agressivité et arrogance dans son discours pour démontrer sa servilité au judaïsme politique : « C’est très simple, si vous boycottez Israël, New-York vous boycottera ! Si vous désinvestissez en Israël, New-York se désinvestira de ses placements chez vous ! Si vous sanctionnez Israël, New-York vous sanctionnera ! »

 

 

Vidéo

 

Le pilori télévisé

 

 

 

 

 KIOSQUE

 

Rivarol

N° 3259 du 24 novembre 2016  – spécial 16 pages

Sommaire :

FN : Le Pen confirmé dans ses prérogatives de président d’honneur ; 40 000 euros requis par le Parquet contre le directeur de RIVAROL ! ; Le Mossad a-t-il infiltré les services secrets français ? ; La farce des primaires plébiscitée par les électeurs ; La religion occulte de la République est-elle kabbaliste ?; Duterte, le “Hitler des Philippines” ?; La révolution pourpre déploie ses filets : la chasse au Trump est ouverte ; Au dela de Monsanto : Bayer ; Abbé Francesco RICOSSA : “Si Luther revenait sur terre, il trouverait que Bergoglio est trop progressiste !” etc…

3,5€ en kiosque ou en ligne ici

 ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande dif­ficulté) : 100 euros.

RIVAROL  19 avenue d’Italie 75013 Paris  Tél. : 01-45-86-06

 

 

Ephéméride nationaliste

 

24 novembre 1897 : naissance de Mgr François Ducaud-Bourget

 

 

 

Agenda

 

Conférence d’André Gandillon à Dijon, le 26 novembre – 18h00

 

La prochaine conférence organisée par le PNF Bourgogne et Bourgogne Nationaliste aura lieu le samedi 26 novembre 2016, à 18h !

Ils recevront à cette occasion André Gandillon, secrétaire général du PNF, directeur de la revue Militant et président des Amis de Rivarol, qui traitera de géopolitique et de finance internationale !

La conférence sera suivie d’un repas en compagnie du conférencier pour ceux qui le souhaitent.

Le lieu sera communiqué par SMS aux seuls inscrits, le jour même. PAF : 5€.

 

© Jeune nation – 2016

 

Thomas de Savoie-Carignano, 1634, Antoine van Dyck        

(Savoy Gallery – Turin)