Sommaire :
France
- Orsay : quand la « diversité » va au musée…
- Michel Pouzol : « La plupart des attentats en France viennent de Français de souche »
- Hamed, enseignant maternel violent condamné à 10 mois de prison
- D’origine asiate, converti à l’Islam, il veut égorger les Français
- Une sexagénaire islamiste sème la terreur dans un cabinet médical
- Agressé pour sa montre par des mineurs étrangers
- Une vingtaine de Rroms armés de couteaux agressent un couple
- Lahcen menace les gendarmes au couteau de cuisine
- 2 Polonais arrêtés avec 9 kg de cannabis dans un camion sur l’A26
- Philipot, ses mignons, ses gestapettes, ses parachutées…
- Le Rassemblement Bleu Marine investi un FM :. aux élections législatives
Etranger
Europe
- Allemagne : l’auteur de l’attentat de Berlin est un envahisseur tunisien déjà connu
- Roumanie : une femme musulmane bientôt nommée Premier ministre
- Allemagne : l’agresseur ultraviolent d’une jeune femme dans le métro est un tsigane
- Autriche : arrestation d’un envahisseur marocain soupçonné d’un projet terroriste
- Italie : nouvelle prise d’otage dans un centre pour envahisseurs
Monde
- Escroquerie à un milliard pour le fonds d’investissement Platinum
- Palestine occupée : Trump a fait un don de 10 000 $ aux colonies juives
- Google s’aplatit devant l’injonction antirévisionniste du judaïsme politique
- États-Unis : enquête contre le Planning familial pour trafic de tissus de fœtus avortés
Kiosque
- Rivarol n° 3263
Ephéméride nationaliste
- 22 décembre 1914 : naissance de Noël de Tissot
Agenda
- Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
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France
Orsay : quand la « diversité » va au musée…
Mercredi 7 décembre, une enseignante du lycée professionnel Maurice-Utrillo de Stains en Seine-Saint-Denis postait sur un réseau social un long texte à charge contre le personnel du Musée d’Orsay où une visite s’était déroulée le matin même avec une classe de 1re. Selon l’enseignante, tout a commencé lorsqu’elle « voi[t] un surveillant de salle crier à [s]es élèves “Fermez vos gueules” en boucle, sans aucune raison ». L’enseignante affirme être intervenue calmement, mais s’être fait à son tour « hurler dessus ». L’agent aurait par ailleurs tenu des propos désobligeants à son égard – « C’est quoi ces vêtements ? », « On ne sait même pas si c’est un homme ou une femme ». Il aurait même « bousculé » la seconde enseignante encadrant la sortie scolaire.
Prise à partie par plusieurs surveillants attirés par les cris de leur collègue, la classe est alors invitée à « partir » :« Les élèves sont juste bouches bées, ils ne comprennent rien, moi non plus », relate la professeure, qui poursuit la visite. Alors qu’un nouvel agent « tente d’apaiser la situation », la classe s’engage « à ne plus faire aucun bruit ».
Pour calmer ses élèves, qu’elle décrit à ce moment-là comme « des boules de nerfs », l’enseignante leur propose alors « de se promener en autonomie » :« Cinq minutes plus tard, ils reviennent en disant qu’on ne les laisse pas tranquilles, que dès qu’ils entrent dans une salle ils sont suivis, engueulés pour… leur présence. » Ils finissent par renoncer et quitter les lieux.
Et de fustiger au passage « ces musées publics soi-disant en politique d’ouverture aux classes de ZEP ». Elle affirme que d’autres élèves, « majoritairement blancs, bourges, parisiens », faisaient du bruit à Orsay sans subir le même sort que sa classe.
Face à ces accusations de racisme et de discrimination, le musée a réagi par voie de communiqué deux jours après la visite, pour affirmer que c’est le « comportement bruyant » du groupe qui serait à l’origine de l’altercation, et souligner le fait qu’il accueille « plus de 150 000 élèves chaque année, de tous horizons ». Le syndicat CGT-Musées Orsay-Orangerie a dans la foulée apporté son soutien aux équipes de « l’accueil, du standard téléphonique et de la communication Web, assaillis d’insultes ».
Le ministère de la culture a annoncé mercredi 14 décembre que le directeur général des patrimoines, qui exerce la tutelle du Musée d’Orsay, avait rencontré la veille la direction du musée « pour faire un point sur l’incident », à la demande d’Audrey Azoulay. Avec pour objectif de remettre à la ministre, début janvier, « un rapport décrivant les enseignements à tirer de cet incident ».
De son côté le musée a donné sa version des faits : « Un groupe d’élèves bruyants s’est vu demander de faire moins de bruit de la part d’agents d’accueil et de surveillance. (…) Ces remarques, dont rien ne laisse à penser selon nos informations qu’elles auraient été formulées de manière impolie ou excessive, ont été mal prises par certains élèves, qui ont répliqué assez vertement. » Le musée précise que l’« un des agents impliqués s’est dit choqué par cette altercation et les insultes qu’il a reçues, et est depuis en congé maladie ».
La CGT-Musées Orsay-Orangerie devra-t-elle soutenir les fonctionnaires du Musée d’Orsay contre les accusations de racisme formulées par l’enseignante qui pourrait elle-même être soutenue par la CGT-Éducation ?
Michel Pouzol : « La plupart des attentats en France viennent de Français de souche »
Michel Pouzol, député PS, soutien de Manuel Valls à la primaire de la gauche, sur une chaine d’info le 20 décembre 2016, est venu déverser la haine qui l’aveugle du Français de souche :
« La plupart des actes terroristes que nous avons dû affronter en France ne venaient pas ne migrants mais bien de Français, je dirais, de souche, parce que des Français de nationalité parfois depuis 2 ou 3 générations ! »
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=6S8KmiGhtmA
Hamed, enseignant maternel violent condamné à 10 mois de prison
L’instituteur de 61 ans, qui a reconnu souffrir de dépression à l’époque des faits, avait bousculé et jeté au sol des élèves.
Hamed L. a été condamné mardi à dix mois de prison avec sursis pour violences sur quatre enfants de 2 et 3 ans. Des élèves de petite section de maternelle, à l’école Liberté de Pantin, que cet enseignant de 61 ans a bousculé jusqu’à les faire tomber, jeté au sol, poussé contre le mur… Les faits se sont déroulés en septembre 2015. Les parents avaient récupéré leurs enfants en pleurs, traumatisés pour certains, et qui ne voulaient plus se rendre à l’école.
Lors de son procès, l’enseignant, suspendu, avait clamé son innocence. Il avait assumé être strict et parfois sévère envers les enfants turbulents de cette classe de 27 élèves.
Pour le procureur de la République, Hamed L. n’était pas « un tortionnaire ou un bourreau d’enfants ». Il aurait simplement perdu le contrôle. « Il a clairement dépassé les limites, alors que les parents et les enfants avaient confiance en lui », avait-il conclu en réclamant dix mois avec sursis, soit la peine à laquelle l’enseignant a été condamné. Le tribunal a également interdit à Hamed L. toute activité professionnelle ou bénévole en contact avec des enfants pendant cinq ans.
D’origine asiate, converti à l’Islam, il veut égorger les Français
A Raqqa, Nicolas Moreau n’était connu que sous sa « kounia » (son nom islamique) : « Abou Seif le Coréen ». Un peu comme son frère cadet, Flavien, lui aussi parti faire le djihad. Flavien avait aussi pas mal de surnoms. Le plus fréquent : « Abou Souleyman le Chinois », pour ses yeux bridés.
Marrant tout de même : Daech ne cesse dans sa propagande d’appeler à la « Umma », l’union sacrée de tous musulmans, quelles que soient leurs origines et leur nationalités, mais rien n’y fait. La race n’est pas soluble dans le djihad et les combattants d’Allah, bien que musulmans, restent définis par leur nation d’origine ou leur faciès. A Raqqa il y avait donc « Abou machin le Belge », « Abou truc le Hollandais ». Plein de « Faransi »(français) aussi.
Mais les deux frères Moreau, français de papier, mais métis d’asiatique, n’ont jamais accolé, comme beaucoup de leurs compatriotes, l’étiquette « Al Faransi » à leur nom. Ils restaient « les Chinois ».
Flavien « le Chinois » faisait boulanger. Nicolas « le Coréen » tenait un restaurant… marocain à Raqqa. Il y a ainsi croisé le recruteur français Omar Diaby, Samy Amimour, l’un des kamikazes du Bataclan, ou encore Abdelhamid Abaaoud, l’un des organisateurs des attentats du 13-Novembre.
Ce mercredi 14 décembre, Nicolas, l’aîné des frères Moreau, comparaît devant la 16e chambre du tribunal correctionnel – où se succèdent les procès pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste« .
Juste après le 13-Novembre, Nicolas avait écrit une lettre « à ces abrutis de la DGSI », remise à un surveillant. Il y expliquait alors avoir croisé Abdelhamid Abaaoud et Samy Amimour, dans son restaurant de Raqqa, qu’il a tenu en 2014. Mais aussi avoir alerté sur Mohamed Abrini, l’un des organisateurs des attentats de Bruxelles, qu’il ne le connaissait que sous sa « kounia », « Abou Souleymane », qui selon lui « se trouvait certainement en Europe « . Ce dès ses premières auditions après son arrestation, en juin 2015.
Nicolas Moreau espérait obtenir, grâce à ses « révélations », un statut plus privilégié de repenti.
« Moi, j’ai des menaces parce que je vous ai aidé à combattre Daech ! En prison, vous savez, y’en a plein qui sont sympathisants de Daech ou qui reviennent et sont encore complètement de leur côté. Et vous, vous faites n’importe quoi ! Vous avez vu le type [Adel Kermiche] que vous avez relâché et qui a égorgé le prêtre là ? C’était un agneau, vous l’avez mis en prison avec les loups de Daech qui lui ont retourné la tête. Et moi, vous me gardez en prison ! Vous avez un problème de compréhension, là ! » « Bon, je sais pas que ce vous allez faire, mais franchement, si vous me relâchez pas, moi, je vous promets, je vais pas me laisser faire. Je reprends les armes ! »
Moreau avoue qu’il « adore les armes ». En Syrie, pendant trois mois, il a appris à manier « la doushka » (une mitrailleuse lourde), la kalachnikov, ou encore le lance-roquettes. En prison, il a « confectionné une arme blanche, dissimulée sous son oreiller ».
Le président du tribunal détaille le parcours des deux frères, tous les deux adoptés comprendre acheté), après avoir été recueillis dans un orphelinat de Corée. Nicolas avait quatre ans, Flavien quinze mois. Ils grandissent à Nantes. L’adolescence est chaotique. Nicolas est placé en centre éducatif fermé. Puis, c’est le début des « conneries », malgré une formation de marin-pêcheur.
« J’ai raté à mon CAP à cause de l’enseignant, il était raciste. Il ne supportait pas qu’un jaune soit dans les meilleurs élèves. »
14 condamnations pour Nicolas, qui de 2009 à 2013 est incarcéré.
Flavien est parti une première fois en novembre 2012 en Syrie, revenu, a tenté de repartir, avant de se faire pincer. Nicolas part lui en 2013 et reste près de deux ans. Raqqa, Fallouja, Mossoul… Il va sur le front, et participera même à une opération kamikaze : » Cétait une ‘inghimasi’, ça veut dire que je me faisais pas exploser, mais que j’avais juste 10% de m’en sortir ».
Il s’en est sorti. Et s’est octroyé un surnom, dont il est visiblement fier : « Trompe la Mort ».
Pour les deux frères pourtant, le djihad ne s’est pas arrêté à Fallouja ou Mossoul, mais ici, en France. Dans cette même salle d’audience, en 2014, Flavien Moreau a été jugé, a écopé de 7 ans, et avoué devant les magistrats que son frère aîné était en Syrie. Sans se douter que ce dernier reviendrait en France et se ferait incarcérer. Voilà donc les deux frères Moreau en prison. L’un à Fleury, l’autre à Condé-sur-Huisne.
A Fleury, en effet, Nicolas Moreau est ce qu’on appelle un détenu difficile. La dernière fois, il a menacé le surveillant : « Je vais te balancer de l’huile chaude ! Je peux t’égorger, hein ! Je nique la France et les sales Français! »
« Vous les Français », « Vous la France ». L’expression revient sans cesse dans la bouche de Nicolas Moreau. « Mais pourtant, vous êtes français », rétorque le procureur.
« Non pas vraiment. Je ne suis pas né en France. Mes parents adoptifs, j’ai été chez eux que de 4 à 13 ans, et il n’y a pas de lien du sang. Si je vous aide, vous la France, à combattre Daech, c’est surtout parce que je trouve qu’ils font des erreurs islamiques. »
« En Syrie, il y avait aussi du racisme à cause de mes origines asiatiques. Mais aussi du racisme contre les Français. » « Franchement, si vous avez pas compris que je suis contre eux, c’est que vous avez des problèmes psychologiques. Si vous me relâchez pas, je vous jure, je me laisserai pas faire. »
Le procureur a requis dix ans de prison. Verdict le 2 janvier.
Une sexagénaire islamiste sème la terreur dans un cabinet médical
Le cabinet médical du centre commercial de la place Saint-Paul, dans la cité de la Mosson-la Paillade à Montpellier a connu une vive agitation, jeudi matin, quand une femme de 68 ans a débarqué dans la salle d’attente, où se trouvaient quatre patients. Après les avoir menacés, elle s’en est pris d’abord verbalement, puis physiquement à la secrétaire médicale, âgée de 47 ans, furieuse qu’on lui refuse un rendez-vous par téléphone et ce depuis mardi.
Avant de lui tordre une main et de la frapper, ce qui a entraîné un arrêt de travail de 5 jours, la sexagénaire a tenu des propos en Arabe constituant une atteinte à la religion de la victime, notamment en lui reprochant, « d’être une mauvaise musulmane, car elle ne porte pas le voile », proférant également des menaces de mort réitérées. La secrétaire médicale a pu traduire les déclarations de la visiteuse, qui a fini par alerter la doctoresse qui était en train de soigner un malade.
La doctoresse n’a pas pu calmer la colère de la retraitée et aidée par les quatre patients en salle d’attente qui ont assisté à toute la scène a réussi à expulser manu-militari la sexagénaire du cabinet médical. Celle-ci a tranquillement regagné son domicile, avenue de l’Europe, où elle a été interpellée vers midi par les policiers de la Sécurité publique du bureau des quartiers nord.
En garde à vue, elle a farouchement nié les accusations portées contre elle, assurant avoir été au contraire malmenée par la secrétaire du cabinet médical. Les quatre malades qui attendaient leur tour pour être vus par la doctoresse ont confirmé intégralement la version de la victime, mais ont refusé de déposer plainte contre la sexagénaire, craignant des représailles.
Déférée au parquet de Montpellier vendredi, la sexagénaire a fait l’objet d’un renvoi à une date ultérieure devant le tribunal correctionnel et a été placée sous contrôle judiciaire jusqu’au procès.
Agressé pour sa montre par des mineurs étrangers
Un piéton qui regagnait son domicile, samedi soir dans le secteur du Corum, à Montpellier a été pris à partie par quatre jeunes individus, dont deux ont réussi à lui voler sa montre.
Un témoin a appelé police-secours qui a dépêché des patrouilles. Les quatre suspects ont été localisés vers la station de tramway du Corum et interpellés. Le visionnage des bandes de la vidéosurveillance du centre de supervision urbain (CSU) de la Ville de Montpellier par les policiers de la Sécurité publique de l’hôtel de police a permis d’identifier formellement les deux agresseurs, les deux autres étant restés passifs.
Âgés de 13 ans et de 16 ans, ils ont placés en garde à vue. Le plus jeune possédait la montre volée sur lui. Il s’agit de mineurs étrangers non accompagnés, hébergés dans des foyers par le conseil départemental de l’Hérault.
Une vingtaine de Rroms armés de couteaux agressent un couple
«Émeute et déferlement de violences» place Gambetta pour un simple accident
Au départ, ce soir du 13 décembre, il ne s’agissait que d’un accident matériel. Plusieurs dizaines de Rroms seraient impliquées, selon les victimes, pour des violences.
Ce soir-là, Petru Stefan était ivre mais il conduisait sa Passat. À bord, son fils de 8 ans, non attaché. Au niveau de la place Gambetta, il a grillé un stop et percuté un autre véhicule. À l’intérieur, une policière et son époux…
Lahcen menace les gendarmes au couteau de cuisine
Lahcen, le jeune homme de 18 ans, traduit en comparution immédiate, était il en état de démence au moment des faits? Au regard de son comportement et de la gravité des faits commis, la question peut être posée. L’expertise médicale ne le dit pas. Le médecin évoque une amnésie partielle, mais surtout un trouble du comportement avec une agressivité excessive chez cet individu dès lors qu’il a consommé de l’alcool.
Les faits : Le 10 décembre dernier, vers 19 h 30, à Montréjeau, les gendarmes sont informés de la présence d’un individu en état d’ivresse qui déambule sur la voie publique. Les gendarmes veulent le contrôler, il les attaque au couteau de cuisine avant d’être arreter.
2 Polonais arrêtés avec 9 kg de cannabis dans un camion sur l’A26
Énième saisie de drogue, samedi sur l’aire d’autoroute de Marchaux. Les douaniers ont flairé le bon coup : un père et son fils polonais ont été placés sous contrôle judiciaire.
L’A36 ne cesse d’offrir aux gendarmes ou aux douaniers l’occasion de mettre en avant leurs talents de fins limiers. La nouvelle jolie prise en date fait état de plus de 9 kilos d’herbe de cannabis, débusqués dans le coffre d’une voiture qui ne roulait même pas… Un camion immatriculé en Pologne, où est basée l’entreprise de transport concernée, avait en effet chargé le véhicule sur une remorque. Ce père et son fils étaient partis d’Espagne et se rendaient dans les pays de l’Est, suivant les instructions de leurs clients.
Les douaniers ont contrecarré leur plan samedi après-midi, alors qu’ils circulaient sur l’A36, en les contrôlant sur l’aire de Marchaux.
Placées en garde à vue, les deux mules du jour ont nié être au courant. Un transit « à l’insu de leur plein gré » ? L’argument est bien connu des autorités.
Le parquet bisontin a en tout cas évacué la possibilité d’une comparution immédiate – procédure classique dans ce genre de saisie – au profit d’un placement sous contrôle judiciaire. Une information judiciaire a même été ouverte, afin de poursuivre les investigations, notamment en Pologne. L’idée étant évidemment d’en apprendre davantage sur les commanditaires de ce transport illicite, dont la valeur marchande, à la revente au détail, avoisine les 90.000 euros.
Philipot, ses mignons, ses gestapettes, ses parachutées…
Minute n°2801 :
– « Florian Philippot a confié à l’un de ses fidèles une mission discrète : recenser tous les comptes Twitter qui ont apporté leur soutien à Marion Maréchal-Le Pen », écrivions-nous la semaine dernière. Or nous nous trompions : c’est à deux de ses fidèles qu’il a confié cette mission de basse police, apparemment trop volumineuse pour un seul. Et pas n’importe lesquels : tous deux sont conseillers régionaux et assistants au Parlement européen – et même, pour l’un des deux, secrétaire départemental d’une importante fédération du FN. Il faut croire que ça laisse encore des loisirs…
– A propos d’assistant au Parlement européen, Florian Philippot a recasé Loup Viallet, qui avait dû quitter un peu précipitamment son poste d’assistant à Strasbourg après avoir été pris par la patrouille dans le scandale des emplois fictifs. Ses fins de mois sont assurées, et toujours pas à la charge du parti. Le « délégué national à la prospective » du FN, également président du Collectif Mer & Francophonie, a été réembauché sur le budget alloué au groupe FN-Les Patriotes, présidé par Philippot, au conseil régional du Grand Est. Où il est toujours aussi débordé…
– L’élection présidentielle, c’est bien, mais il n’y a qu’un candidat, et ce sera Marine Le Pen, tandis qu’aux élections législatives, on peut tenter de faire élire des proches. C’est ce qu’a compris Florian Philippot, en faisant accorder l’investiture du FN à toute une flopée de collaborateurs. Kevin Pfeffer, par exemple, qu’il a déjà fait élire conseiller régional dans le Grand Est, où il l’a promu vice-président du groupe FN-Les Patriotes, et qu’il a également fait secrétaire départemental de Moselle, sera candidat dans la 7e circonscription de la Moselle, où le FN avait réalisé 45,09 % au premier tour des régionales de l’an dernier. Selon les calculs du FN, elle figure parmi les trente meilleures circonscriptions de France.
– Thomas Laval, également vice-président du groupe FN-Les Patriotes dans le Grand Est et ancien président du FN Sciences Po – il y a gagné le surnom, qui l’irrite au plus haut point, de « président Laval » –, a obtenu la 5e circonscription de la Marne que visait aussi Pascal Erre, militant historique du FN, et pour cause : c’était la sienne ! Ça ne l’est plus.
– La presse régionale s’en est fait l’écho et l’histoire est tristement vraie. Elle s’est déroulée jeudi dernier, dans l’hémicycle du conseil régional du Grand Est. Quand l’élu FN Jordan Grosse-Cruciani a voulu prendre la parole en séance plénière pour une explication de vote après que le FN avait été mis en cause, deux autres élus du groupe présidé par Florian Philippot, Thomas Laval et Eric Vilain, l’en ont empêché. Puis, se tournant vers lui et devant les élus LR qui en sont restés cois : « Tu ne parleras plus de la mandature, on va s’occuper de toi ! » Le crime de Jordan Grosse-Cruciani (qui est aussi secrétaire départemental des Vosges) ? Avoir cliqué sur le bouton « J’aime » d’un tweet de Marion Maréchal-Le Pen…
– Au sein du groupe FN-Les Patriotes du Grand Est, « L’Est républicain » estime qu’au moins « six des quarante-six élus » sont « tricards ». Dont Dominique Bilde, député au Parlement européen, qui a eu le malheur de citer Maurice Barrès dans un de ses discours. Dont Thierry Gourlot, ancien président du groupe FN au conseil régional de Lorraine et cadre historique, qui vient d’aggraver son cas en écrivant sur son site, à côté d’une photo où il pose en compagnie de Marion Maréchal-Le Pen : « L’“homme de bien“ a le devoir de prêter secours et assistance à une “femme seule et isolée”, ce que je fais sans hésitation et avec joie. » Pour paraphraser « L’Est répu » : pour l’investiture en Moselle, il ne part pas favori.
– Cette traque de l’« ennemi de l’intérieur » qui n’en finit pas, suivant l’agression caractérisée de Florian Philippot contre Marion Maréchal-Le Pen – réduite à une « chikaya » par Marine Le Pen –, provoque une onde de choc dont les conséquences sont potentiellement désastreuses. Témoin ces propos que nous a tenus un conseiller régional FN, sur lequel nous ne donnerons aucun élément permettant de l’identifier : « Si Philippot continue de traquer les élus FN qui soutiennent Marion, ça va se compliquer très vite pour les 500 signatures… » A bon entendeur salut.
– Dans la 4e circonscription de la Moselle, les électeurs vont être surpris par le très net changement de style. En 2012, les couleurs du FN étaient défendues par Cassandre Fristot, une ex-Miss Moselle qu’ils avaient portée au second tour avec plus de 24 % des voix (elle a depuis quitté le FN). En 2017, ce sera Marie-Amélie Dutheil de la Rochère, qui se définit comme la « missa dominica » de Florian Philippot et est la fille de l’ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre Chevènement, passé au Rassemblement Bleu Marine. Il y a quelques semaines, elle chantait l’Internationale avec papa, devant Sciences Po. Aux municipales de 2014, Marie-Amélie Dutheil de la Rochère avait été tête de liste dans le XIIIe arrondissement de Paris. Aux départementales de 2015, on l’avait retrouvée dans le canton de Doullens, dans la Somme. La voici maintenant à Sarrebourg. Le coup d’après, elle passe le Rhin ?
Le Rassemblement Bleu Marine investi un FM :. aux élections législatives
L’ex-patron de l’UDI dans l’Aude, Jean-François Daraud, a été investi sous l’étiquette du Rassemblement Bleu Marine, la formation satellite du Front national, dans la 2e circonscription de ce département pour les prochaines élections législatives.
Il organise mercredi une conférence de presse devant le siège de la loge, rue Cadet, dans le IXe arrondissement à Paris, pour dénoncer son exclusion du GOdF. Il sera soutenu par son avocat, (((Me Kuchukian))) et plusieurs élus du Front national, dont le FM :. député RBM Gilbert Collard, l’eurodéputé Edouard Ferrand et le FM :. Israélite, conseiller régional, (((Jean-Richard Sulzer))).
«Je suis totalement scandalisé de voir qu’une association, qui prône la fraternité, la tolérance et l’ouverture, décide de m’exclure alors que cela correspond exactement à ce que j’ai dit lors de ma présentation aux législatives. Le Grand Orient me reproche de faire de la politique mais ce sont eux qui en font! Je ne vais pas laisser les choses comme ça», tempête Daraud, en rappelant ses vingt années de franc-maçonnerie.
La décision de son exclusion a été prononcée par la chambre suprême de justice maçonnique au motif d’une incompatibilité entre son ralliement politique au RBM et ce que prône la loge.
Jean-François Daraud annonce qu’il envisagera tous les recours juridiques pour faire annuler une exclusion qu’il juge «incompatible avec les droits de la République, la Cour des droits de l’homme et la Cour européenne.»
Et ça veut diriger la France !
Étranger
Europe
Allemagne : l’auteur de l’attentat de Berlin est un envahisseur tunisien déjà connu
Après un cafouillage avec l’individu arrêté lundi soir, le parquet anti-terroriste allemand a finalement révélé l’identité du principal suspect de l’attentat au camion-bélier de Berlin comme étant Anis Amri, un envahisseur tunisien de 24 ans, arrivé en juillet 2015 en Allemagne Un avis de recherche assorti d’une récompense de 100 000 euros a été émis. Anis Amri mesure 1m78 et pèse environ 75 kilos. « Il pourrait être dangereux et armé », poursuit le parquet dans un communiqué.
Son avis de recherche précise qu’il est connu sous de multiples identités et nationalités et surtout qu’il n’est pas un inconnu pour les forces de l’ordre. Il est l’auteur de coups et blessures mais a disparu avant d’être jugé, et il est en outre considéré comme dangereux car lié à « un grand réseau islamiste ». En effet il avait été signalé en novembre au centre allemand de lutte contre le terrorisme. « La police judiciaire de Rhénanie du Nord-Westphalie avait initié une enquête auprès du parquet fédéral allemand en raison de suspicions sur la préparation d’un acte criminel grave représentant un danger pour l’État », a déclaré le ministre de l’Intérieur de cette région du l’ouest de l’Allemagne où le suspect a résidé cette année. De son côté, la brigade antiterroriste tunisienne a interrogé mercredi sa famille qui réside en Tunisie. Son profil et les éléments connus à son sujet, font craindre un nouveau passage à l’acte terroriste dans les heures ou les jours qui viennent, Ani Amri ayant vraisemblablement été activé pour une opération à caractère kamikaze.
Mardi soir, l’agence de propagande du groupe jjihadiste État islamique a revendiqué cet attentat. « Un soldat de l’EI a commis l’opération de Berlin en réponse aux appels à cibler les ressortissants des pays de la coalition internationale » contre l’État Islamique, a précisé l’agence Amaq.
Nouvel élément tragique, l’autopsie de Lukasz Urban, le chauffeur polonais retrouvé mort dans la cabine du camion, révèle qu’il était encore en vie au moment de l’attaque du marché de noël. Il était assis dans la cabine lorsque l’auteur présumé de l’attentat a foncé sur la foule. Selon les enquêteurs, le courageux chauffeur polonais serait battu avec le terroriste et aurait saisi le volant pour tenter d’arrêter le camion. Il aurait alors été poignardé à plusieurs reprises, avant d’être abattu par l’auteur de l’attentat, qui a pris la fuite…
L’homme était donc connu et redouté mais pourtant il disposait toujours d’un document d’identité fourni par l’Allemagne : un document l’autorisant à séjourner sur le territoire, celui remis à un étranger dont la demande d’asile a été rejetée sans pour autant qu’il puisse être expulsé (émis par les autorités locales de Kleve, une ville de Rhénanie du Nord-Westphalie, située à la frontière avec les Pays-Bas).
La folle politique d’immigration sans limite mise en place en Europe depuis plus de 40 ans, et pas seulement depuis « la crise des migrants », produit maintenant ses conséquences les plus visibles et néfastes ! Et ce n’est pas avec la classe politique responsable de ce naufrage que la sécurité des Européens, chez eux, pourra être assurée à nouveau. Révolution nationale et européenne !
Roumanie : une femme musulmane bientôt nommée Premier ministre
Le président du Parti social-démocrate roumain, vainqueur des élections législatives du 11 décembre, a annoncé mercredi avoir proposé au poste de Premier ministre une ancienne ministre du Développement, Sevil Shhaideh, 52 ans. Membre de la petite minorité turco-tatare musulmane vivant en Roumanie, Shhaideh est une proche de Liviu Dragnea, l’influent patron du PSD, dont les ambitions politiques sont contrariées par une condamnation cette année pour abus de pouvoir lors d’un référendum visant à destituer l’ancien président Traian Basescu en 2012. Sa candidature doit maintenant être approuvée par le président Klaus Iohannis, et ensuite faire l’objet d’un vote de confiance du Parlement.
Ancienne ministre du Développement, Sevil Shhaideh s’est marié en 2011 à un homme d’affaires syrien. Elle avait pour témoin Liviu Dragnea, le président du Parti social-démocrate et Nicuşor Constantinescu, président du Conseil de comté de Constanta.
Elle a été la première femme musulmane à devenir ministre du gouvernement en Roumanie et pourrait être la première femme musulmane à la tête d’un exécutif en Europe. Lors de son installation comme ministre du Développement le 20 mai 2015, Sevil Shhaideh avait prêté serment sur le Coran !
Ainsi, 27 ans après la révolution de 1989, ceux qui ont fait tirer sur les Roumains qui ont mis à bas la tyrannie communiste, tentent aujourd’hui d’imposer au peuple leur mafia islamique.
Allemagne : l’agresseur ultraviolent d’une jeune femme dans le métro est un tsigane
La police berlinoise a identifié l’homme responsable de l’agression gratuite dans le métro de la capitale allemande. La vidéo de la violente attaque était devenue virale après que la police a rendu publiques les images de la caméra de surveillance. La jeune femme, âgée de 26 ans, a ensuite été secourue par des passants. Victime d’une fracture du bras, elle a été hospitalisée.
L’individu serait en réalité un tsigane à papiers bulgares né dans la ville de Dobrich dans le nord de la Bulgarie et qui réside régulièrement dans le quartier Rrom « Maksuda » de Varna, une station balnéaire sur la côte de la mer Noire. Il se trouvait en Allemagne ayant fait une demande d’asile… Une chaîne de télévision bulgare affirme que le suspect, Svetoslav Stoykov, a déjà eu à faire à la justice et qu’il a un casier judiciaire chargé notamment pour des vols, vols qualifiés, actes de vandalisme et violences.
La police n’avait pas pu appréhender le suspect pensant qu’il était rentré dans son pays d’origine, la Bulgarie. Mais finalement Svetoslav Stoykov a été arrêté, à la gare routière de Berlin, où il se trouvait en compagnie de sa femme. Ils revenaient du sud de la France où il s’était caché à Nice chez des « parents » et où il s’ennuyait. Le conducteur du bus était aussi d’origine bulgare et lorsque le couple a commencé à discuter dans sa langue, il a reconnu l’agresseur de la vidéo et a appelé la police.
En vertu du droit pénal allemand, Svetoslav Stoykov risque six mois à dix ans de prison s’il est reconnu coupable d’avoir infligé des lésions corporelles graves à la victime.
De nombreux bulgares s’indignent sur les réseaux sociaux que le gitan Svetoslav Stoykov ait été désigné comme un « Bulgare » parce qu’il est porteur de papiers d’identité bulgares. Les médiats bulgares, comme la chaîne « Nova TV » n’hésitent pas à en rendre compte et à qualifier l’individu pour ce qu’il est : un Rrom !
Vidéo de Nova TV (sous-titrée en anglais) :
https://www.youtube.com/watch?v=ZxbOVtQcjk4
Autriche : arrestation d’un envahisseur marocain soupçonné d’un projet terroriste
Un envahisseur marocain ayant déposé une demande d’asile a été arrêté par les forces spéciales dans une commune des Alpes autrichiennes, non loin de la frontière allemande. Ce marocain âgé de 25 ans, placé en détention, fait l’objet d’un « soupçon de participation à une organisation terroriste », selon le parquet de Salzbourg qui a rendu son arrestation publique le 20 décembre. L’individu avait été arrêté la veille dans un centre d’accueil pour envahisseurs, à Fuschl. L’enquête a été ouverte le mois dernier sur la base « d’informations » évoquant « un présumé attentat terroriste à Salzbourg durant la période de Noël ou du Nouvel an », a précisé le parquet dans un communiqué. La perquisition menée dans le foyer a permis de saisir des équipements électroniques et « plus de 8 000 euros » en liquide ! Aucun matériel nécessaire à l’exécution d’un attentat n’a toutefois été découvert, a encore indiqué le parquet.
L’Autriche a par ailleurs annoncé le même jour un renforcement général de ses dispositifs de sécurité pour les fêtes, au lendemain de l’attentat de Berlin qui a causé la mort de douze personnes, percutées par un camion qui a foncé dans la foule. En effet l’Autriche, qui a accueilli plus de 130 000 envahisseurs depuis début 2015, a vu transiter par son territoire plusieurs auteurs des attentats de Paris de novembre 2015.
Italie : nouvelle prise d’otage dans un centre pour envahisseurs
Trois immigrés africains, un Nigérien et deux Guinéens, ont terminés leur soirée du lundi 19 décembre en prison. Ils sont accusés d’avoir pris en otage trois des volontaires qui œuvraient dans le centre pour envahisseurs où ils étaient accueillis dans la ville italienne de Potenza. Les clandestins réclamaient plus d’argent, et une nourriture de meilleure qualité.
Selon les rapports locaux les hommes ont reçu de la nourriture, des vêtements et une indemnité journalière de 3,30 £, mais ils se sont mit en colère et ont commencé à proférer des menaces : « Si vous ne nous donnez pas plus d’argent et une meilleure nourriture, nous allons vous tuer ». Les envahisseurs ont alors retenu deux travailleurs humanitaires en otage, ont menacé de leur couper la gorge et ont tenté de déclencher une émeute dans le centre du camp qui est géré par une organisation privée.
La police appelée sur les lieux a arrêté les 3 hommes qui ont passé 3 jours en prison avant d’être libéré sans suite…
Un médiat italien, se faisant l’écho de l’indignation de plus en plus grande de la population de souche, s’est insurgé contre cette « bienveillance » dont bénéficie les envahisseurs en Italie : « Beaucoup d’immigrants dans ces centres affirment : « nous avons besoin de plus d’argent, de la nourriture qui respecte nos origines et de conditions de vie plus humaines ». Ils exigent du « respect » et de « l’humanité », mais ils menacent d’abattre ceux qui tentent de les aider. Et aucun d’entre eux ne parle de travailler ou de s’intégrer »…
Monde
Escroquerie à un milliard pour le fonds d’investissement Platinum
Sept personnes ont été interpellées lundi dans le cadre de cette procédure, dont le fondateur et responsable des investissements, (((Mark Nordlicht))), a indiqué le procureur fédéral du district est de New York.
Un fonds d’investissement américain dénommé Platinum Partners, véhicule de placement ayant pignon sur rue, s’est avéré être une escroquerie qui a fait perdre un milliard de dollars à ses clients, a révélé lundi la justice américaine.
Ces individus devaient être présentés à un juge fédéral à Brooklyn, en vue de leur inculpation, principalement pour fraude liée à des titres de placement et à du conseil en investissement.
Créé en 2003, Platinum Partners était un fonds d’investissement alternatif spécialisé dans les énergies fossiles, qui indiquait gérer, en mars 2016, quelque 1,7 milliard de dollars d’actifs confiés par ses clients investisseurs.
Selon le procureur fédéral, les dirigeants de Platinum Partners se seraient livrés à une pyramide de Ponzi.
Le stratagème, aussi appelé cavalerie, consiste à se servir des fonds apportés par de nouveaux investisseurs pour satisfaire les demandes de clients anciens qui souhaitent récupérer leur argent. Ces fonds attirent en général les investisseurs en faisant miroiter un retour sur investissement mirobolant. Mais l’argent confié par les clients n’est pas investi ou fait l’objet de placements à risque, ce qui ne permet pas de le faire suffisamment fructifier. En outre, les responsables de ces fonds se servent au passage. Lorsque le mécanisme est découvert, il ne reste souvent qu’une maigre fraction des sommes que les clients sont en droit d’exiger.
Dans le cas de Platinum, les dirigeants auraient prélevé au passage plus de 100 millions de dollars au titre de frais de gestion, selon le document de l’inculpation.
Selon un porte-parole du procureur fédéral, les pertes des clients se monteraient à environ un milliard de dollars.
Le cas le plus connu de pyramide de Ponzi reste celui, révélé en 2008, de la société d’investissement créée par le financier (((Bernard Madoff))), qui a fait perdre plus de 20 milliards de dollars à des investisseurs, hors intérêt.
Platinum s’était spécialisé dans les actifs dits illiquides, c’est-à-dire qui sont difficiles à évaluer et à revendre, souvent parce qu’ils ne font pas l’objet d’une cotation continue.
Les dirigeants du fonds auraient en connaissance de cause, surévalué, parfois du simple au double, la valeur de ces actifs pour donner meilleure allure à leurs résultats.
Palestine occupée : Trump a fait un don de 10 000 $ aux colonies juives
En 2003, le président élu américain, Donald Trump avait fait un don de 10 000 dollars aux colonies juives en Cisjordanie occupée, selon une révélation d’un des dirigeants de la communauté du village dans la région de Ramallah dimanche.
Le don de Trump avait été fait en l’honneur de son ami (((David Friedman))), qui est par la suite devenu son conseiller. La semaine dernière, Trump l’a nommé prochain ambassadeur américain en Israël.
« Je vais vous dire un secret : quand (((Friedman))) était notre invité d’honneur lors d’un appel de fonds il y a des années, le président entrant Trump avait fait un don de 10 000 dollars », a déclaré (((Katz))).
Selon une déclaration fiscale, la fondation Donald J. Trump avait fait un don à l’association américaine Friends of Bet El Institutions, présidée par Friedman. Cette association ramasse de l’argent pour les colonies juives en Cisjordanie occupée par l’entité sioniste.
Google s’aplatit devant l’injonction antirévisionniste du judaïsme politique
Google est certainement un des plus puissants moteurs de recherche mais la hiérarchie des résultats semble parfois poser problème à certains. Jusqu’à présent, le géant n’a jamais voulu toucher à son précieux algorithme mais une affaire semble faire bouger les lignes.
Lors d’une requête en anglais « l’holocauste a-t-il eu lieu ? », c’est un site violemment négationniste, donc puni par la loi, qui remonte au premier rang sur pas moins de 14 millions de réponses. Malaise voire scandale. Google met régulièrement en avant la pertinence de ses résultats et de fait, avec ce type de question, les seules réponses qui ont vocation à bien remonter sont celles des négationnistes …
Pour autant, face à cette situation (et à d’autres : la même requête en français fait remonter en premier résultat le site de Robert Faurisson, négationniste français), Google consent aujourd’hui à quelques efforts. Il faut dire que le contexte est tendu : Facebook et Google ont été accusés de n’avoir rien fait face à la diffusion massive de fausses informations qui auraient favorisé l’élection de Donald Trump.
Et comme Facebook qui a cédé sur la censure des publications en confiant une partie du tri aux petites mains du milliardaire juif Georges Soros, Google a cédé à la pression des organisations juives et des oukases du judaïsme politique !
Google va revoir son algorithme afin d’écarter les résultats « qui ne font pas autorité » mais entend toujours proposer « une variété de contenus divers venus de différentes sources ». Car Google a bien du mal à sortir de sa légendaire neutralité : « Juger quelles pages internet sont les mieux à même de répondre à une question est un problème complexe et nous ne le faisons pas toujours de la meilleure façon », a expliqué le groupe américain dans son communiqué.
Concrètement, « Lorsque des informations ne faisant pas autorité se classent trop haut dans les résultats de recherches, nous développons une approche évolutive et automatisée pour résoudre le problème, plutôt que de les retirer une à une manuellement », poursuit le géant. Ces modifications « aideront à faire apparaître des contenus plus crédibles et de meilleure qualité ».
Mais qui sera juge des informations faisant ou ne faisant pas autorité ? Mystère, pour les naïfs…
États-Unis : enquête contre le Planning familial pour trafic de tissus de fœtus avortés
Le président du Comité Judiciaire du Sénat, le sénateur Chuck Grassley, a annoncé le renvoi de plusieurs sociétés affiliées à « Planned Parenthood », c’est à dire le Planning familial américain, puissant lobby de l’avortement et de la culture de mort, et des sociétés impliquées dans les ventes de tissus fœtaux, ainsi que la Fédération du Planning Familial des États-Unis, au FBI et au ministère de la Justice pour des poursuites éventuelles. Cette recommandation est l’un des fruits d’un rapport massif sur la recherche sur les tissus fœtaux humains.
L’enquête du Comité Judiciaire du Sénat a révélé que diverses sociétés de Planned Parenthood avaient violé les lois contre la vente de parties du corps humain par la vente illégale de tissus issus de fœtus humains avortés !
Le sénateur Grassley a confirmé son attention à ce qu’une enquête ait lieu sur les tripatouillages dégueulasses des organisations mises en cause qui ont pignon sur rue : « Je ne prends pas à la légère d’effectuer un renvoi criminel. Mais, le mépris apparent de la loi par ces entités a été alimenté par des décennies d’échec total du ministère de la Justice pour imposer le respect de la règlementation. Et, à moins d’un engagement renouvelé de toutes les personnes impliquées contre la commercialisation des parties du corps des fœtus avortés pour faire du profit, alors le problème est susceptible de se poursuivre ».
Le Comité judiciaire du Sénat a analysé plus de 20 000 pages de documents volontairement fournis par les organisations liées à l’industrie du commerce des tissus fœtaux. Un communiqué de presse du bureau du Grassley a noté : « Bien que l’impulsion de l’enquête a été la publication d’une série de vidéos concernant les transferts de tissu fœtal tournée en caméra cachée par le Center for Medical Progress, l’analyse et les conclusions du comité sont fondées uniquement sur les documents obtenus indépendamment des entreprises qui approvisionnent en tissus et du Planning familial ».
Le Center for Medical Progress est une organisation américaine pro-vie, non-lucrative, créée en 2013. Elle a réussi à faire déclencher cette enquête après de nombreuses péripéties, notamment en créant une fausse entreprise biomédicale, nommée « Biomax Procurement Services », afin de pouvoir enquêter dans le milieu des lobbys pro-avortement et des entreprises qui organisent un lucratif commerce avec des tissus prélevés sur les fœtus avortés.
Kiosque
Rivarol
N° 3263 du 22 décembre 2016 – Spécial 16 pages
Sommaire :
Assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara : Poutine dans le viseur ; Carnage sur un marché de Noël à Berlin : merci Madame Merkel ! ; Primaire de la gauche : pleins phares sur Montebourg et Peillon ; Police de la pensée : Jérôme Bourbon condamné à 20 000 euros !; Pendant que le terrorisme tue, le pouvoir persécute ses opposants ; Cette Histoire de la conquête de l’Algérie que les historiens de cour ont fait disparaître ; La gauche latino-americaine : de la pire des illusions à la pire désillusion ; Le Crapouillot renaît de ses cendres etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
22 décembre 1914 : naissance de Noël de Tissot (biographie)
Agenda
Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
31 décembre 2016 – 1 janvier 2017
© Jeune nation – 2016
L’Avocat de village, 162, Pieter Brueghel le Jeune
(Musée des beaux-arts – Gand)
Roque M., l’acteur porno gay devenu banquier puis agent secret chargé d’infiltrer les réseaux islamistes allemands, aurait amplement renseignés ces derniers.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-3993248/First-pictures-gay-porn-actor-Che-Guevara-tattoo-leaked-secrets-Islamist-jihadists-working-German-intelligence.html
http://www.lci.fr/international/converti-ancien-acteur-porno-gay-l-incroyable-portrait-de-l-agent-des-renseignements-allemands-2015229.html
http://www.bfmtv.com/international/allemagne-l-agent-des-renseignements-islamiste-etait-aussi-acteur-porno-1065367.html