2018, 136 pages, 17 €
Avec un texte d’Henry Garrett et une présentation des recherches d’Arthur Jensen, de J. Philippe Rushton, de Richard J. Herrnstein, de Charles Murray, de Richard Lynn, de Tatu Vanhanen et d’autres auteurs.
Ce petit livre s’adresse aux non-spécialistes, bien qu’il rassemble des textes de quelques-uns des plus grands spécialistes de l’étude du QI et des différences raciales, comme Henry Garrett, Arthur Jensen, J. Philippe Rushton, Richard Lynn ou encore Richard J. Herrnstein, coauteur, en 1994, de The Bell Curve, l’ouvrage le plus connu au monde parmi tous ceux qui ont étudié les problèmes soulevés par le quotient intellectuel en lien avec les races.
S’appuyant sur plusieurs enquêtes de grande ampleur et de très nombreux tests, les auteurs, après avoir rappelé que le QI mesure l’intelligence abstraite, non la dextérité manuelle ou les capacités à créer des liens sociaux, démontrent qu’il est pour ainsi dire universellement applicable, bien qu’il soit né en Occident. Il apparaît que les tenants de la détermination essentielle des capacités par le milieu ou la « culture seule » sont avant tout des idéologues enfermés dans leurs idées fausses, indifférents aux leçons répétées de l’expérience, toujours prêts à mettre en œuvre des politiques grosses de frustrations de toutes sortes pour les races concernées (aux États-Unis, les Blancs et les Noirs avant tout) : des politiques qui donnent forcément lieu à un mélange catastrophique de chaos vaguement contrôlé à base d’aides sociales, d’effets dysgéniques pour l’ensemble de la population et de totalitarisme à travers l’intervention invasive de l’État, comme pour faire disparaître toute trace de ce qu’est une société libre et ordonnée.
Un ouvrage en forme de plaidoyer pour le retour au réel.
Disponible sur la Boutique nationaliste