En anglais, l’acronyme ZOG (Zionist Occupation Government) désigne un État sous occupation juive, soit toutes les démocraties occidentales dont bien sûr la première, les États-Unis.
Nous évoquions déjà les excursions de groupe des congressmen en Israël ici :
Voici un deuxième exemple : Ginsburg, l’une des 9 juges à la Cour suprême vient de décéder. Juive, elle reçoit immédiatement un hommage de Netanyahu pour son travail accompli. Ci-dessous la traduction d’une brève du Time of Israel, à noter que Ginsburg est d’extrême gauche, Netanyahu de droite, mais c’est sans importance, les deux sont d’accord pour la destruction des piliers « oppressifs » de l’Occident.
Netanyahu sur Ginsburg : « Le peuple juif restera à jamais fier d’elle »
Suite à son décès intervenu à la fin des congés de Rosh Hashanah, le Premier ministre lui rend sur Tweeter un hommage appuyé et mérité : « Je me joins au deuil du peuple américain suite au décès de Ruth Bader Ginsburg, l’une des plus grandes juristes de notre temps à la Cour Suprême des États-Unis » , « Elle était fière de ses origines juives, à jamais fier d’elle sera le peuple Juif ».
Ginsburg est décédée ce vendredi à l’âge de 87 ans des suites d’un cancer du pancréas.
Native de New York, Ginsburg est la première femme Juive à occuper un siège à la plus haute instance juridique des USA [le premier Juif étant Louis Brandeis en 1916].
Ginsburg ne faisait pas mystère du poids prépondérant de son héritage juif dans la conduite de sa vie et de sa carrière, sur les murs de sa chambre, on retrouvait affichée l’injonction hébraïque de rechercher la justice.
« Je suis une juge née et élevée dans la fierté d’être Juif », disait-elle lors de son allocution devant l’American Jewish Commitee suite à sa nomination à la Cour Suprême en 1993. « L’exigence de justice traverse toute l’histoire et la tradition juive».
Au cours de ses 27 ans de carrière à la Cour, Ginsburg est apparue non seulement comme la figure éminente de l’aile progressiste de cette juridiction mais aussi comme une icône de la culture pop et du féminisme. Elle a su s’attirer les éloges des progressistes par des prises de positions cinglantes dans des affaires très médiatisées comme l’avortement et l’affirmative action.
Ginsburg attribuait ses prises de positions iconoclastes à ses racines juives, mettant souvent en avant son héritage comme clé de voûte de son action à la Cour.
« La Loi comme devant être au service des opprimés, des pauvres et des isolés, c’est une conception qui ressort comme une évidence du travail de tous mes prédécesseurs Juifs à la Cour Suprême », écrivait-elle dans un essai destiné à l’American Jewish Committee.
« Le commandement biblique : « La justice, c’est la justice que tu poursuivras » est le fil conducteur qui les relie tous ».
Son décès annonce une âpre bataille de succession entre les Républicains et les Démocrates à quelques semaines seulement des élections présidentielles, dans un pays déjà en proie a des fractures politiques, à l’épidémie de coronavirus et à ses conséquences économiques, aux manifestations contre les violences policières et les catastrophes environnementales.
Source : Time of Israel
Note JN : les Juifs se classant toujours parmi les victimes et la Loi devant être au service des oppressés on en déduit logiquement que la Loi doit prioritairement être à leur service.
Lorsque Netanyahu dit : « Le peuple juif restera à jamais fier d’elle ». On peut le comprendre, cette femme a fait avancer plus que d’autres les thèses du protocole de Sion.
Bien dit!
Si cette sorcière des temps modernes pouvait être remplacée par une personne opposée à une culture de mort, l’année 2020 finalement, serait bénie.