Ou les édifiantes similitudes de deux scandales de santé publique.
Quelle est l’utilité de l’expérience, sinon d’éclairer l’avenir ? Et pourquoi déterminer les causes des catastrophes sinon pour les dénoncer, les supprimer et éviter ainsi la répétition à long terme de leurs effets ? D’où la première question à se poser face au désastre sanitaire des années 2020 : avons-nous déjà connu une pareille tragédie et quelles en étaient les causes ?
Une question dont la réponse devrait être évidente et porter à réfléchir, s’agissant du drame du sang contaminé, considéré, depuis les années 1980, comme le plus révoltant scandale politico-sanitaire de notre histoire, et présentant de troublantes similitudes avec les errances caractérisant la gestion du Covid.
D’autant qu’à quarante ans de distance, on est confronté à la notabilité indiscutable du même lanceur d’alerte, le Prix Nobel Luc Montagnier qui, dans un cas comme dans l’autre, aura été attaqué par les mêmes médiocres, secondés par la même meute de journalistes à leur botte, pour avoir eu raison trop tôt. Luc Montagnier qui, le 17 août 1983 après avoir découvert le virus du SIDA1, écrivait à Philippe Lazar, directeur de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) pour lui signaler un risque de contamination par voie sanguine. Mais sans que ce dernier en tire les conséquences en termes de transfusion sanguine, ce qui sera à l’origine du scandale du sang contaminé causant des milliers de morts parmi les transfusés. Qui douterait aujourd’hui qu’on aurait dû écouter Montagnier ?
Et le même Luc Montagnier qui, quarante ans plus tard, en avril 2020, d’abord sur TF1 puis sur Cnews, sera l’un des premiers à affirmer que le Covid était une création de laboratoire, ce qui fera de lui la risée des « scientifiques » politiquement corrects, avant que l’on finisse par admettre un an plus tard… qu’on aurait dû écouter Montagnier !
Luc Montagnier encore qui, en janvier 1984, inaugurait un laboratoire de haute sécurité permettant la mise en culture du virus du Sida et l’élaboration du test « Eliza », dont 125 000 exemplaires par mois seront achetés par l’Allemagne, la Suisse, la Belgique, et les pays scandinaves… longtemps avant d’être homologués en France où le sang à transfuser, récolté sans être testé, et notamment dans les prisons parmi les toxicomanes, continuait de répandre la mort avec la complicité des autorités !
Mais les analogies avec la gestion du Covid deviennent encore plus troublantes, lorsqu’on se souvient que Georgina Dufoix, ministre des Affaires Sociales, s’était dans un premier temps opposée au remboursement des tests de dépistage du VIH par l’Assurance
Maladie, tandis qu’Edmond Hervé, Secrétaire d’Etat à la Santé déclarait en mai 1985 : « D’un point de vue sanitaire, le dépistage systématique a plus d’inconvénients que d’avantages ».
Troublante similitude, à quarante ans de distance, avec les propos d’un autre irresponsable, le Premier Ministre Edouard Philippe affirmant, le 1er avril 2020 : « Il n’y a pas de preuve que le port du masque dans la population apportera un bénéfice. Ce serait plutôt le contraire… »
Mais revenons à Luc Montagnier qui, en février 1985 publiait un article scientifique apportant la preuve que seule l’inactivation du virus par des techniques de chauffage permettait de préserver la santé des sujets transfusés, alors qu’à la même époque, l’un des responsables du CNTS (Comité National de Transfusion Sanguine), Gérard Jacquin, préconisait, pour des raisons financières et sans aucun égard pour les morts qui en résulteraient, que ce sang chauffé, seule garantie de survie pour les transfusés, ne soit mis à leur disposition qu’après écoulement de la totalité des stocks de sang contaminé ! A quarante ans de distance, les mêmes causes, à savoir l’incompétence et la corruption du marigot médical français, ne produisent-elles pas les mêmes effets ?
Poussant plus loin l’investigation, on constate en effet que les motifs financiers les plus inavouables convergent au fil des décennies :
Car, quels sont, dans les deux cas, ces similitudes financières ?
- En 1984 et 1985, c’est le coût jugé prohibitif des tests français de contamination par le SIDA qui motive, en un premier temps, le refus de leur remboursement par la sécurité sociale… Puis c’est paradoxalement le prix de revient moins élevé des mêmes tests, fabriqués à l’étranger par Abott, qui motive leur retard systématique d’homologation car s’opposant aux profits du concurrent français d’Abott : l’Institut Pasteur. Et c’est encore pour les motifs financiers les plus sordides que les poches de sang que l’on savait contaminées continueront de semer la mort : avant de passer à des produits plus sains, il ne fallait pas perdre un centime des retombées financières résultant de l’écoulement des stocks contaminés !
- A mettre en parallèle avec la même abjecte stratégie du profit, conduisant à refuser, en 2021, des traitements par l’Hydroxychloroquine, puis par l’Ivermectine et l’Azithromycine… Pourquoi ? Parce que les milliards de bénéfices attendus de la commercialisation des vaccins étaient conditionnés par l’obtention d’une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) dite « conditionnelle ». Conditionnelle… c’est-à- dire justifiée par une urgence sanitaire résultant de l’absence de toute autre médication. Hydroxychloroquine, Ivermectine et Azithromycine n’avaient donc qu’une seule contre-indication : reconnaître leur efficacité interdirait d’évoquer une prétendue « urgence sanitaire », faisant ainsi obstacle aux superbénéfices2 de quelques prédateurs industriels de la chimio-pharmacie ! Ce qui conduira à des attaques d’une violence inouïe orchestrée par les spadassins stipendiés de la chimio-pharmacie contre les Professeurs Montagnier, Joyeux, Raoult, Péronne, dont le crime inexpiable aura été de prendre la défense des malades…
Subsiste pourtant une grave question : L’évaluation du risque encouru par la population suite à l’obligation vaccinale, compte tenu des effets secondaires non vérifiés, à moyen et à plus long terme, de ces pseudo vaccins tels que le Pfizer. Question une fois de plus posée par le Professeur Montagnier, mais qui est bien loin d’être le seul, puisque même le docteur Michael Yeadom, qui est tout de même l’un des anciens vice-présidents et directeur scientifique de Pfizer se joint à lui pour sonner le tocsin…
Pourquoi « pseudo-vaccins » ? Parce qu’agissant sur la réplication de l’ARN3, il s’agit en réalité d’une thérapie génique, donc, selon Montagnier et nombre de médecins de premier ordre, d’une thérapie susceptible d’impacter sur le long terme le capital génétique de toute une population avec des conséquences mortifères non évaluées à ce jour.
D’autant que se pose la question de la fiabilité de la firme Pfizer, comme le suggère une question avec demande de réponse écrite du député RN Mathilde Androuët à l’Assemblée nationale « La commission a-t-elle pris en compte le passif du laboratoire Pfizer ? 4 » Un passif judicaire qui fait effectivement froid dans le dos, puisque cumulant au fil des décennies plus de 6 milliards de dollars de condamnations pécuniaires, pour plus de quarante mises en cause pour actes délictueux, notamment pour corruption, tromperie sur l’efficacité et les effets secondaires de certains médicaments, Géodon, Lyrica, Zyvox, Bextra… et même une plainte d’un gouvernement africain pour expérimentation sauvage sur des enfants de la Travafloxacine, ayant entraîné des infanticides5 !
Pourtant, rassurez-vous, braves gens, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes hexagonaux, puisque la plus rigoureuse autorité française, l’incorruptible Conseil Constitutionnel, a donné son accord concernant le passe sanitaire et l’obligation vaccinale. Un Conseil Constitutionnel d’autant plus crédible sur ce dossier que celui-ci est géré par le prestigieux cabinet américain Mc Kinsey.
Pure coïncidence – qu‘alliez-vous penser ? – si ce même cabinet Mc Kinsey est chargé du lobbying des firmes pharmaceutiques encaissant des milliards grâce au vaccin… Et même coïncidence lorsque des esprits manifestement « complotistes » s’étonnent qu’il soit dirigé depuis Paris par Victor Fabius6, fils du Président du Conseil Constitutionnel, un certain Laurent Fabius, qui fut Premier Ministre lors du scandale du sang contaminé…
Il serait peut-être temps de se demander de qui on se moque et quand viendra le jour de présenter l’addition…
Notes :
1 Découverte et Prix Nobel partagés avec Françoise Barré-Sinoussi.
2 Chiffre d’affaires prévisionnel de Pfizer pour 2021 : 80 milliards de dollars, dont au minimum 35 milliards résultant des vaccins Covid. Mais à revoir à la hausse puisque Pfizer conseille une troisième injection et impose une augmentation de son prix de vente ! Pour se faire une idée de la puissance de cette firme, on peut comparer ce chiffre avec le budget de la Défense Nationale d’un grand pays : 33 milliards de dollars pour la France en 2021.
3 Acide ribonucléique, pouvant lui-même agir sur l’ADN (Acide désoxyribonucléique) par l’action d’une enzyme, la
rétrotranscriptase.
4 Assemblée Nationale, question E-000178 du 13 janvier 2021.
5 D’où une indemnité de 75 millions de dollars versée par Pfizer au gouvernement Nigérian en 2009…
6 Rassurons-nous cependant, Victor est le fils non condamné de Laurent Fabius, à ne pas confondre avec son frère, Thomas, condamné plusieurs fois pour escroqueries d’un montant de plusieurs millions d’Euros au détriment de casinos en France et à l’étranger…
Oui, le sang français est contaminé à 90%, mais ce n’est pas à cause des labos…
tout ceci est vrai mais pas un mot de la vermine jaune aux yeux bridés
Ah bon ? Les yeux bridés ? Alors, comme ça, ce sont les « yeux bridés » qu’évoquent pour vous les noms d’Agnés Buzyn, de Jérome Salomon et de la famille Fabius ? Original… Mais vous devriez lire les pages 240 et suivantes de « Le nouveau rapport de la CIA » publié aux éditions Robert Laffont en 2009. On y évoque très précisément une prochaine pandémie mondiale entre 2020 et 2025. Pandémie à coronavirus originaire de Chine ! Comme quoi les américains en savaient plus que les Chinois, et avec plus de 10 ans d’avance… ça ne vous fait pas réfléchir ?