Sommaire
Sur l’après-attaque de Charlie hebdo
Vaine journée de chasse en Picardie
Les deux islamistes sur des listes de suspects en France aux États-Unis
Saïd Kouachi se serait préparé au Yémen
Tragi-comédie autour de la présence du Front national à la « marche républicaine »
Un policier en charge de l’affaire se suicide
Les petits d’occupants refusent « l’union nationale [sic] »
Réactions populaires contre l’occupation islamique à travers la France
Les frères Kouachi : des « héros »
En Allemagne : tout va bien pense Angela Merkel. Mais pas les Allemands
LES FAITS
Sur l’après-attaque de Charlie hebdo
Concernant l’attaque, Le Monde a publié un long récit des faits. La police a découvert dans la voiture des deux islamistes hier des drapeaux jihadistes et une dizaine de cocktails molotov. Les deux tueurs avaient vraisemblablement envisagé la possibilité d’autres actions ou de résister à une éventuelle arrestation. Leur fuite s’est arrêtée momentanément à la lisière de Paris après un accident qui les a conduits à abandonner leur voiture. C’est alors que l’un des deux hommes aurait perdu (ou abandonné volontairement une pièce d’identité sur place.
Après plus de 44 heures de traque, les milliers de policiers mobilisés ont été incapables de mettre la main sur les deux individus.
Vaine journée de chasse en Picardie
Plusieurs milliers de policiers et militaires ont été envoyés hier en Picardie quadriller la région de Villers-Cotterêts, près d’une station-essence où ont été aperçus les frères Kouachi. Ils ont commis un braquage dans le but de se ravitailler, ce qui supposerait un scénario imprévu pour eux. Comme les opérations la veille en région parisienne et dans l’est de la France, les opérations ont été vaines. Les fouilles de maisons, comme de forêts, les contrôles routiers et la surveillance des communications n’ont apporté aucun résultat. Seul élément nouveau : les tueurs sont armés d’un lance-roquettes.
Les deux islamistes sur des listes de suspects en France aux États-Unis
Les deux frères Kouachi étaient sous la « surveillance » (sic) des services de sécurité français selon Bernard Cazeneuve.
« Ces individus avaient fait l’objet de surveillance. Leur statut n’était pas judiciarisé. Il n’y avait pas d’éléments les concernant témoignant de l’imminence d’un attentat. […] Nous prenons 100 % de précaution, mais […] ce n’est pas le risque zéro. Nous sommes face à un risque exceptionnel qui peut conduire à d’autres manifestations de violence »
a déclaré le ministre de l’Intérieur, confirmant qu’il n’allait prendre aucune mesure concrète et radicale pour mettre hors d’état de nuire les islamistes en France et, au-delà, tous les criminels étrangers qui rendent la vie des Français insupportables.
Chérif Kouachi et Saïd Kouachi figuraient également sur une liste de terroristes aux États-Unis, parmi environ 1 000 000 d’autres « ennemis de l’Amérique ». Ils étaient également interdits de vol aux États-Unis, inscrits ici sur une liste de 47 000 personnes.
Saïd Kouachi se serait préparé au Yémen
Jeune nation relaye très régulièrement dans sa rubrique « le monde en guerre » l’état de guerre permanent au Yémen, où l’État est très largement dépossédé de ses pouvoirs, laissant notamment les groupes islamistes prospérer. C’est là, dans le puissant groupe al-Qaïda au Yémen, que se serait entraîné Saïd Kouachi. Jusqu’ici, les rares informations sur les tueurs concernaient le cadet, Chérif, présenté comme le chef du groupe.
L’aîné pourrait avoir tout autant sa part dans l’organisation de l’attaque contre Charlie hebdo comme pour les prochaines. Selon la presse américaine, relayant des informations des services secrets, il se serait rendu au Yémen en 2011 pour plusieurs mois. Il y aurait reçu une instruction terroriste.
RÉACTIONS
La journée a été marquée par une foultitude de manifestations de sidérations mentales, des professeurs mobilisant les élèves pour des « hommages » dans une institution vomit par Charlie hebdo ; des églises, plus vomies encore, ont vu le glas retentir pour des ennemis mortels de l’Église ; les drapeaux français, dont les rédacteurs du torchon ont souvent précisé ce qu’ils pensaient, ont été mis en berne.
Tragi-comédie autour de la présence du Front national à la « marche républicaine »
La grande affaire de la journée d’hier a été la polémique concernant la venue de la direction du Front national à une manifestation en soutien à un torchon qui réclamait… son interdiction. Les organisateurs – qui seraient selon la presse le gouvernement et le Parti socialiste (PS) –, n’ont pas envoyé d’invitation au parti d’extrême droite. Marine Le Pen y a trouvé une excuse facile pour ne pas se montrer dans une manifestation où elle n’était visiblement pas la bienvenue.
« En excluant le Front national, les partis du système [sic] ont réussi à transformer un moment d’unité nationale en un symbole de division et de sectarisme piteux. »
a annoncé Marine Le Pen, signifiant que son acceptation à la manifestation – qu’elle réclame – aurait signifié son intégration au « système » qu’elle prétend dénoncer.
Plusieurs dirigeants de gauche ont d’ailleurs fait savoir qu’elle était persona non grata.
Au contraire, le secrétaire général de l’UMP a précisé que le parti libéral-sioniste était totalement unanimement favorable à la venue du FN.
« C’est une position unanime: il n’est pas acceptable que le Front national soit exclu pour une manifestation d’unité nationale. On ne pourrait pas comprendre que certains soient exclus »
a déclaré Laurent Wauquiez.
Même François Bayrou et le très antifasciste – et très corrompu – Alain Juppé ont demandé à Marine Le Pen de se joindre à eux :
Un policier en charge de l’affaire se suicide
Le directeur adjoint du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Limoges s’est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi au sein des locaux de la police avec son arme de service. Âgé de 44 ans, il était, selon une source médiatique, affecté à la traque des deux tueurs islamistes. Le suicidé avait lui-même découvert le corps de l’un de ses collègues, un cadre du SRPJ comme lui, qui s’était donné la mort en novembre 2013.
Les petits d’occupants refusent « l’union nationale [sic] »
Sans surprise, plusieurs témoignages ont été rapportées par les grands médiats où des collégiens et lycéens ont refusé de s’associer à la scandaleuse « minute de silence » imposée par leur République. Il s’agissait dans la grande majorité des cas d’étrangers arabes ou africains, allant parfois jusqu’à faire pleurer les enseignants présents, voire à manifester publiquement leur rejet du torchon, en criant « Je ne suis pas Charlie ! »
Réactions populaires contre l’occupation islamique à travers la France
Plusieurs actes contre l’occupation islamiste de la France se sont produits après l’annonce de la liquidation du journal Charlie hebdo. Parmi les plus importants :
À Poitiers, ville symbole de la Reconquête française devant une première invasion au VIIIe siècle, le portail d’un lieu de culte islamiste a été redécoré avec le message « Mort aux arabes ». Il se serait ensuite excusé.
À Villefranche-sur-Saône, une explosion s’est produite près d’un lieu de culte islamiste. Il pourrait cependant s’agir d’une nouvelle affaire d’escroquerie à l’assurance commise par un étranger puisque les seuls dégâts constatés l’ont été dans un « kebab » installé près de là.
À Port-la-Nouvelle, deux coups de feu ont été tirés contre un autre lieu de culte islamiste. L’arme utilisée était quasiment inoffensive – un pistolet à grenailles – et les seuls dégâts constatés sont une vitre brisée. Le lieu de culte islamiste, situé dans une maison privée, accueille habituellement une quarantaine d’étrangers.
Au Mans, le lieu de culte islamiste installé aux Sabons a été visé par les tirs de quatre grenades à plâtre, dont une seule a explosé ; trois autres ont été retrouvées. Une balle aurait été tirée également. « La communauté musulmane ne répondra pas à la provocation » a osé un responsable islamiste local. Indifférent aux milliers d’attaques racistes antiblanches contre les Français, le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a fait le déplacement.
À Bourgoin-Jallieu, un individu de 17 ans aurait été frappé par un groupe de Français hier en marge de l’hommage au torchon. L’agression n’a pas été confirmée de source indépendante. Il n’y a eu aucune interpellation. Il n’a pas été précisé s’il s’était livré à des provocations avant les prétendus faits.
Par ailleurs, des badigeons contre l’invasion, contre l’islamisme ou pour la délivrance ont été aperçus dans plusieurs autres villes.
Bernard Cazeneuve, qui ne s’exprime jamais quand un Français est assassiné, a tenu à intervenir :
« Nous ne tolérerons aucun acte, aucune menace visant un lieu de culte, pas plus qu’aucune manifestation hostile dirigée contre les Français en raison de leur origine ou de leur religion. Les auteurs de tels actes doivent savoir qu’ils seront eux aussi recherchés, arrêtés et punis »
a déclaré Bernard Cazeneuve, visiblement plus confiant dans sa capacité à réprimer des millions de Français défendant leur pays que de retrouver deux tueurs étrangers.
Les frères Kouachi : des « héros »
« Des héros jihadistes ont tué douze journalistes et blessé plus de dix autres travaillant dans le journal Charlie Hebdo et cela pour venger le prophète Mahomet »
s’est félicité la radio al-Bayane de l’État islamique (ÉI).
Charb, le directeur de la revue Charlie hebdo, avait été placé sur la liste des criminels contre l’islam les plus recherchés, « morts ou vifs » par Inspire, la revue anglophone d’al-Qaïda. Sur les réseaux sociaux, les partisans d’al-Qaïda, de l’État islamique et de divers groupes terroristes, ont partagé la photo de Charb barré d’une croix rouge et accompagnée de messages de victoire et de félicitations envoyées aux deux tueurs.
En Allemagne : tout va bien pense Angela Merkel. Mais pas les Allemands
« Les [dhimmis] une relation de très bonne qualité avec la majorité des musulmans en Allemagne »
Angela Merkel.
Ce n’est pas exactement – au contraire – l’avis de la population : selon une enquête de la Fondation mondialiste Bertelsmann 57 % des Allemands interrogés rappellent que l’islam est une menace. Plus incroyable : 40 % des sondés se sentent « comme des étrangers dans leur propre pays ». Malgré 70 ans d’une terrible propagande juive dans le pays, plusieurs milliers d’Allemands – et désormais plusieurs dizaines de milliers – se mobilisent tous les lundis contre l’invasion.
MORT ET RENAISSANCE D’UN TORCHON
La scandaleuse utilisation de l’argent public pour sauver le torchon antifrançais
Le Fonds Google-AIPG « pour l’innovation numérique de la presse » a annoncé le financement de Charlie hebdo. Le fonds Presse et pluralisme a également annoncé une possible participation. Les groupes Canal+, Le Monde et Libération – où seront accueillis les rescapés – vont aider le torchon notamment grâce à une matérielle et humaine. Plusieurs autres journaux et organes du gouvernement, comme l’Agence France-Presse, devraient également « aider » le journal.
Plus grave : les groupes publics – et donc l’argent du contribuable – vont également aider le torchon antifrançais. Radio France et France Télévisions se sont associées au Monde pour annoncer une mise en commun de moyens.
Autre scandale, la direction de la Banque publique d’investissement (BPI), organisme possédé à 50 %, a annoncé sa volonté de souscrire cinquante abonnements ! Toujours avec l’argent du contribuable, le conseil général de l’Essonne, dirigée par l’extrémiste juif Jérôme Guedj, va abonner d’office les 42 conseillers généraux au torchon.
L’étrangère Fleur Pélerin a annoncé elle que le gouvernement était prêt à débloquer un million d’euros appartenant aux Français pour financer la reparution d’un torchon. La loi l’interdit pourtant. Mais l’étrangère a annoncé sa volonté de « changer les textes ».
DIVERS
Insoumis, mais pas trop
L’écrivain islamophobe Michel Houellebecq annoncé qu’il suspendait la promotion de son dernier livre, Soumission. Il a insisté sur la mort de l’« économiste » d’extrême gauche Bernard Maris pour justifier sa fuite. Son agent, François Samuelson, a refusé de confirmer que l’écrivain avait immédiatement « quitté Paris pour une destination tenue secrète » comme l’a annoncé France Info.
Je suis Shlomo
Le mot d’ordre, depuis le carnage de Charlie Hebdo, c’est « Je Suis Charlie ». En hébreu, Je Suis Charlie s’écrit ainsi :
אני שארלי
Avec les lettres identiques, dans un autre ordre, on obtient Je Suis Israël :
אני ישראל
Ce qui, pour ceux qui étudient la Torah, pourrait signifier beaucoup… Et en premier lieu: ceux qui attaquent Charlie sont les mêmes qui attaquent Israël. Tellement vrai !
JSS News, organe quotidien de la haine antifrançaise et de l’ultrajuifisme.
Humour involutionnaire
« Il est tombé au champ d’honneur de sa profession. »
Maryse Wolinski, veuve d’un individu qui vomissait « l’honneur ».
« On a perdu de très très bons dessinateurs. »
Catherine Siné. Cocaïne ?
« Les journalistes de Charlie sont [sic] incroyables, ils sont le paratonnerre de notre société, ils ont été foudroyés. C’est un événement planétaire de voir une rédaction décimée comme ça. »
Jean-Louis Borloo, sortie de cure.
« Est-ce qu’il a perdu la raison ? »
Dominique Many, avocat interrogatif.
« Résistons à l’esprit de guerre »
Dominique De Villepin, soixanthuitard (très) attardé.
« Le moment churchillien de la Ve République »
Bernard-Henri Lévy, « écrivain, philosophe » (sic).
« Le journal va continuer […] parce que ce n’est pas la connerie qui va gagner »
Patrick Pelloux, médecin intérimaire.
« Ils sont morts parce qu’ils étaient des soldats de la liberté »
Robert Badinter. Sauveur de criminels.
« Imaginez qu’au XIXe siècle on ait buté Zola, Hugo, Stendhal et Flaubert, vous vous rendez compte ? Au procès des caricatures, Élisabeth Badinter, qui était venue nous défendre, avait dit cette chose merveilleuse, comme toujours : “Si Philippe est condamné, et si Charlie est condamné, alors c’est le Silence qui s’abattra”. »
Philippe Val, ami des pédocriminels, au micro d’Ersin Leibowitch.
© Jeune nation – 2015